Translation for "centraméricain" to spanish
Translation examples
Les Guatémaltèques ont ouvert la frontière sud pour envahir le Mexique de travailleurs centraméricains.
Los guatemaltecos abrieron la frontera sur para invadir a México con trabajadores centroamericanos.
Un Indien minuscule et sans doute centraméricain passe en portant une énorme poubelle en caoutchouc contenant les ordures d’un restaurant.
Un indio diminuto y sin duda centroamericano pasa cargando un cubo enorme de goma con la basura de un restaurante.
On voit des drapeaux sur les poussettes des bébés, sur les fauteuils roulants des invalides, sur les colliers des chiens, sur les cannes des aveugles, sur les chapeaux de cow-boy et sur les visières des casquettes portées à l’envers, sur les cages des oiselleries, sur les bicyclettes des petits livreurs de nourriture centraméricains qui rusent avec la circulation et la foule des trottoirs, sur les limousines funéraires aux vitres fumées.
Hay banderas en los carritos de los bebés y en las sillas de los inválidos, en los collares de los perros, en los bastones de los ciegos, en los sombreros de cowboy y en las viseras de las gorras puestas del revés, sobre las jaulas de las pajarerías, en las bicicletas de los menudos repartidores centroamericanos de comida que sortean el tráfico y la gente de las aceras y en las limusinas funerarias de cristales ahumados.
Comment peuvent résister au froid du petit matin les ouvriers qui montent les poutrelles des gratte-ciel en construction, les Centraméricains chétifs qui viennent de climats chauds et qui sortent du métro encore à la nuit pour aller prendre leur poste de travail dans les immondes cuisines des restaurants bon marché ou dans les entrepôts souterrains dont les trappes métalliques ouvrent sur les trottoirs.
Cómo resistirán el frío del amanecer los albañiles que suben a las vigas de los rascacielos en construcción, los desmedrados centroamericanos que vienen de climas cálidos y salen del metro todavía de noche para empezar su turno de trabajo en las cocinas inmundas de los restaurantes baratos o en los almacenes subterráneos cuyas trampillas metálicas se abren en las aceras.
et aussi combien peuvent gagner ces pâles caissières qui passent la nuit à veiller, attendant qu’arrive un client solitaire pour acheter avant l’aube une côtelette ou un pot de confiture, quel peut être le salaire de ces Centraméricains qui restent la nuit entière à la porte des boutiques de légumes assis sur un carton, uniquement pour surveiller la marchandise ou vendre une bricole, très couverts, le visage fatigué par le manque de sommeil et que les tubes au néon font paraître plus maigre encore.
y también cuánto ganarán esas cajeras pálidas que pasan en vela la noche, esperando a que llegue un solitario a comprarse una chuleta o un bote de mermelada antes del amanecer, cuál será el salario de esos centroamericanos que permanecen la noche entera a la puerta de las fruterías, sentados sobre una caja de cartón, tan sólo para vigilar el género o para vender algo, muy abrigados, con una cara de fatiga y de falta de sueño que vuelven más demacrada las luces de neón.
Le café est un endroit protégé où je suis tranquille, où personne ne va me chasser de la table que j’occupe ni me reprocher d’être resté deux heures sans dépenser un sou, mais dans le monde extérieur, de l’autre côté des vitres, la ville est agressive et la vie dure et impitoyable pour celui qui doit la gagner en travaillant de ses mains, et à peine le soleil a-t-il disparu que s’est mis à souffler aux carrefours un vent glacé et coupant comme un rasoir, contre lequel se défendent en se recroquevillant les Centraméricains minuscules qui sortent par la porte arrière des restaurants après avoir fait la plonge pendant dix ou douze heures, ou ceux qui circulent à bicyclette sur les trottoirs ou parmi les voitures, livrant à domicile des sacs de nourriture.
El café es un sitio abrigado en el que se está tranquilo, en el que nadie me va a echar de la mesa que ocupo ni a reprocharme que lleve dos horas sin hacer ningún gasto, pero en el mundo exterior, al otro lado de los ventanales, la ciudad es agresiva y la vida es inmisericorde y áspera para el que tiene que ganársela con el trabajo de sus manos, y apenas se fue el sol ha empezado a soplar el viento helado que corta como una cuchilla en las esquinas, contra el que se defienden encogiéndose los centroamericanos diminutos que salen por las puertas traseras de los restaurantes después de fregar platos durante diez o doce horas, o los que circulan en bicicleta por las aceras y entre los coches, repartiendo bolsas de comida a domicilio.
La famille paternelle de Control était d’origine centraméricaine, hispanique et indienne : il avait les cheveux bruns et les mains de son père, le nez menu ainsi que la taille de sa mère, et une couleur de peau qui était un mélange des deux.
La familia de su padre era originaria de Centroamérica: hispanos e indios. Control tenía las manos y el pelo negro de su padre, la nariz fina y la altura de su madre, y un color de piel a medio camino entre ambos.
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