Translation for "c-route" to spanish
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Nous étions en route pour les forêts avoisinantes et nous allions chercher les écorces d’arbres laissées par les bûcherons.
Íbamos a los bosques circundantes y recogíamos las cortezas que habían dejado los leñadores.
Il y avait un parking au bord de la route, récemment construit, semblait-il : on avait abattu des arbres, répandu des morceaux d’écorce sur le sol.
Había un aparcamiento junto a la carretera. Parecía recién construido, habían talado árboles y en tierra quedaban restos de corteza.
La radio se remit en route quelques instants plus tard : on rapportait que la Chrysler entrait dans le parc récréatif du barrage d’Hansen.
La radio cobró vida al cabo de unos momentos para informar de que el Chrysler en el que viajaba Cortez estaba entrando en la zona recreativa de la presa Hansen.
Ainsi cette bienfaisante source, après nous avoir désaltéré pendant la route, allait me guider à travers les sinuosités de l’écorce terrestre.
De esta suerte, aquel bienhechor manantial, después de satisfacer nuestra sed durante todo el camino, iba a guiarme ahora a través de las sinuosidades de la corteza terrestre.
Je connais les cartes des fonds marins, des cartes signalant les faiblesses du bouclier terrestre, d’autres encore tracées sur des parchemins et indiquant les diverses routes des Croisades.
Conocía mapas del fondo del mar, mapas que representan los puntos débiles de la corteza terrestre, mapas pintados en piel con las diversas rutas de las Cruzadas.
C’étaient ses mains, qui contenaient en elles toute la ville, sales de la poussière des routes et de l’écorce des arbres ; ses doigts avaient l’odeur du chanvre, du vin, des pommes acides, des vieilles pièces et des grenouilles vertes comme des cornichons.
Y allí las manos, con todo el pueblo en ellas, con suciedad de los caminos, y astillas de corteza de árbol, los dedos que olían a cañamo y uvas y manzanas ácidas, viejas monedas o ranas verdes.
Il semblait à ce pilote de vingt quatre ans, comme il devait le raconter par la suite, « que c’était l’écorce de la terre elle-même qui s’ébranlait pour courir à fond de train vers l’Elbe », le dernier grand obstacle sur la route de Berlin.
A aquel piloto de 24 años le parecía, como más tarde recordaba, que «la misma corteza de la Tierra se estaba abriendo y se precipitaba hacia el Elba», la última gran barrera de agua antes de Berlín.
— Je vous demande pardon, monsieur, mais si vous souhaitez déjeuner, votre repas a été préparé, dit-il en montrant l’endroit où le gros camion était stationné, dans un bosquet d’arbres à fièvre, à deux cents mètres de la route. — Parfait.
—Disculpe, señor, pero su almuerzo ha sido preparado, si usted desea compartirlo. —Señaló hacia donde el camión grande estaba estacionado en un bosquecillo de acacias de corteza amarilla a doscientos metros del camino. —Bien.
s’écriait-il, tu n’as rien oublié de ce qui pouvait ouvrir à d’autres mortels les routes de l’écorce terrestre, et tes semblables peuvent retrouver les traces que tes pieds ont laissées, il y trois siècles, au fond de ces souterrains obscurs!
—exclamó—, ¡no has olvidado ninguno de los detalles que podían abrir a otros mortales las vías de la corteza terrestre, y así, tus semejantes pueden hallar, al cabo de tres siglos, las huellas que tus plantas dejaron en el seno de estos subterráneos obscuros!
Elle était à trente mètres de la route, au bout d’une allée de gravier recouverte d’une croûte de glace et de neige tassée.
La casa distaba unos setenta metros de la carretera y se encontraba al final del camino de entrada, hecho de grava y entonces recubierto por una costra de hielo y una capa de nieve.
Ils empruntèrent une route allant vers Richmond, au nord, franchirent un canal fétide recouvert d’une croûte salée venant des régions nordiques désertifiées.
Los tres tomaron una ruta hacia el norte hasta Richmond, por sobre un canal fangoso con una costra de sal consecuencia de las tierras baldías al norte.
que quelques ampoules, escarres, gerçures, avec une belle teinte de poterie étrusque, la délégation et son président se remirent en route pour Tarascon, via Genève.
más que algunas ampollas, costras y grietas, que le daban un bonito aspecto de cerámica etrusca, la delegación y su presidente se pusieron en marcha para Tarascón, vía Ginebra.
La gelée, qui rendait les routes dangereuses, l'avait revêtu d'une parure blanche, lui donnant un air innocent. Mais pas d'erreur possible : la mort avait frappé.
La helada nocturna, tan peligrosa en las carreteras, lo recubría como una costra de azúcar que le confería cierto aspecto inocuo, pero no había ninguna duda de que aquello era un muerto.
Les clôtures, le long de la route, étaient recouvertes d’une croûte si épaisse qu’elles formaient une palissade continue avec une gelée blanche d’une épaisseur de vingt centimètres sur chaque face.
Las cercas al lado de la carretera estaban tan cubiertas de costras que formaban una empalizada continua; a los lados de las estacas había una escarcha blanca de por lo menos quince centímetros de espesor.
Sa muselière de chiffon s’est complètement mouillée pendant la route à cause de la respiration. Il y a des coins où elle a gelé, où c’est devenu une croûte glacée. Choukhov la fait glisser de sa figure sur son cou et se tourne dos au vent.
El trapo que protege el rostro durante la marcha se ha empapado durante el camino por la respiración, convirtiéndose en una costra helada. Sujov se lo apartó de la cara y volvió la espalda al viento.
La croûte, coupante, m'entailla les poignets et les chevilles jusqu'à ce que le sang coulât, et le bord de la route fut bientôt longé de cristaux roses ressemblant à de pâles, très pâles, morceaux de pastèque.
La costra exterior era afilada, y me corté los tobillos y las muñecas, empezando a sangrar a chorros, con lo que la orilla de la vereda quedó regada de cristales rosados, semejantes a pálidos, muy pálidos trozos de sandía.
La route écarlate s’arrêtait devant un portail d’acier noir ménagé dans la clôture métallique. De l’autre côté, un chemin cabossé, dont la teinte rappelait des croûtes rougeâtres, se dirigeait vers le château. — Qu’est-ce qu’on fait, maintenant ? demanda Dalton.
El Camino Rojo llevaba hasta la puerta de hierro negra. Al otro lado se extendía un camino oscuro e irregular, del color que adquieren las costras viejas. —¿Qué hacemos? —preguntó Dalton.
Le chinook, se dit-elle. Elle quitta la route et prit à droite, gravit une congère gelée sur un paravalanche, et se mit en marche dans les tourbillons d’herbes sèches et la croûte de glace des prairies d’élevage.
El chinook, pensó. Abandonó la carretera hacia la derecha y subió por una acumulación de nieve hasta pasar por encima de una valla paranieves, y se puso a elegir el camino campo a través entre matas de hierba seca y costras de praderas heladas.
Et tout cela pour un cirage parfait, luisant comme un crâne de chauve après un été de plein soleil, ou bien une croûte de terre séchée, une poussière des routes, un éclat de pluie déposés sur un cuir dur et creux.
Todo dependía de un embetunado perfecto, reluciente como el cráneo de un calvo después de un verano de mucho sol o, por el contrario, de una costra de tierra seca, una película de polvo del camino o unas gotas de lluvia sobre un cuero seco y agrietado.
La paisible Virginie luttait bravement de tous ses faibles moyens contre une houle longue et creuse qui lui mettait le nez dans la plume à chaque battement, mais elle traçait sa route avec une obstination fidèle qui fit venir une larme d’attendrissement à l’œil goguenard de Van Deyssel.
El apacible Virginia luchaba con bravura con todos sus débiles medios contra un oleaje prolongado y de altura, que hundía su proa en el mar a cada embate; pero trazaba su ruta con una obstinación tan fiel que hizo brotar una lágrima de ternura en el ojo burlón de Van Deyssel.
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