Translation for "brasse" to spanish
Brasse
Translation examples
Pour pouvoir nager pendant un certain temps, je suis généralement forcée d’alterner les mouvements, de passer du crawl à l’indienne, puis à la brasse et à la planche.
Cuando he de nadar un rato, por lo general tengo que cambiar de estilo: del crol paso a la braza de costado, de ésta a la braza de pecho y a continuación descanso.
En lisant le livre de prières, il gesticulait des deux bras, comme un nageur s’entraînant à la brasse coulée, les doigts de sa main droite s’étendant jusqu’au dard de soleil qui traversait le vitrail brisé et projetant des ombres sur la médaille d’Owen.
Cuando levantó la vista del Libro de Liturgia, movió los brazos en el ademán de un nadador que practica la braza de pecho, y los dedos de su mano derecha se extendieron hacia el rayo de sol que penetraba por el orificio hecho por la pelota en la vidriera; los dedos de Mr. Merrill que entraban y salían del haz de luz hacían titilar la medalla de Owen Meany.
Pourtant presque aussitôt après ils se retrouvèrent dans la chambre de Suzy, ôtant vite leurs vêtements comme sur une plage lorsque depuis l’eau vive on vous appelle et vous courez, les draps se roulent en vagues et vous plongez, flottez et nagez très longtemps, brasses papillons et brasses coulées, ensuite épuisés vous revenez, vous tombez sur le sable parmi les nœuds de serviettes éponges, silencieux et trempés vous restez allongés, pleins de sable et de sel puis de sueur, vous brûlez, vos paupières sont fermées sous le soleil qui luit, sous le ciel de lit.
Sin embargo, casi inmediatamente después se hallaron en la habitación de Suzy, quitándose rápidamente la ropa como en una playa cuando desde el agua viva nos llaman y corremos, las sábanas se enrollan en olas, y nos zambullimos, flotamos y nadamos mucho rato, braza mariposa y braza de pecho, luego agotados volvemos, caemos en la arena entre los nudos de toallas, silenciosos y empapados permanecemos tendidos llenos de arena y sal, y luego de sudor, ardemos, se nos cierran los párpados bajo el dosel del cielo reluciente, bajo el dosel de la cama.
Je n’eus pas non plus le courage de le lui rappeler, les femmes de Bal Harbour qui, en 1981, s’étaient entichées de lui – à l’époque où, veuf de fraîche date, il allait tous les jours à midi à la piscine du condo faire ses quinze minutes de brasse lente et méthodique, puis en maillot de bain et peignoir, s’asseyait au soleil pour raconter aux « filles » les blagues de la Y d’Elizabeth – ne raffoleraient peut-être plus de la compagnie de l’homme qu’il était en 1988.
Tampoco podía recordarle ahora que a las mujeres de Bal Harbour a quienes volvió locas allá por 1981 –cuando apareció por la piscina de la urbanización, viudo reciente, haciendo quince minutos de braza de pecho todas las mañanas, a su manera, despacio, para sentarse luego a tomar el sol, con su bañador y su albornoz, y contarles a las «chicas» los chistes de la YMHA de Elizabeth– quizá no les entusiasmara tanto la compañía del hombre que él era en este momento, en 1988.
malgré les admonestations du doigt tendu du pêcheur et de la lettre du Premier ministre, j’étais continuellement détourné de mes merveilles par les événements infimes de la vie quotidienne, parce que j’avais faim ou sommeil, que je faisais des singeries avec le Singe, que j’allais au cinéma voir La Femme cobra ou Veracruz, parce que je désirais avoir des pantalons longs, et à cause de cette inexplicable chaleur en-dessous-de-la-ceinture engendrée par la perspective du bal pendant lequel les garçons du collège de la Cathédrale et John Connon seraient autorisés à danser le boston et la danse mexicaine du chapeau avec les filles de l’institution sœur – comme Masha Miovic, la championne de brasse (« Hé ! hé ! » disait Keith-la-glande) et Elizabeth Purkiss et Janet Jackson – des Européennes, mon Dieu, qui portaient des chemisiers vagues et qui embrassaient ! – en bref, mon attention était continuellement mobilisée par la douloureuse et absorbante torture qui consistait à grandir.
a pesar de las advertencias siempre presentes del dedo indicador del pescador y de la carta del Primer Ministro, me veía distraído constantemente de las maravillas de mi olfato por los minúsculos acontecimientos de la vida diaria, por el hecho de tener hambre o sueño, de andar por ahí haciendo el mono con el Mono, o de ir al cine a ver La mujer cobra o Veracruz, por mi creciente deseo de llevar pantalones largos y por el inexplicable calor por-debajo-del-cinturón engendrado por la fiesta del colegio en la que nosotros, los chicos de la Cathedral and John Connon Boy’s High School, podríamos bailar el box-step y el Baile del Sombrero Mexicano con las chicas de nuestra institución gemela… como Masha Miovic, campeona de braza de pecho («Ji, ji», decía Glandulitas Keith Colaco) y Elizabeth Purkiss y Janey Jackson —¡chicas europeas, Dios santo, de faldas amplias y costumbres besuqueantes!— en pocas palabras, mi atención se veía continuamente ocupada por la tortura dolorosa y absorbente de hacerme mayor.
braza
— Brasses, chérie, on dit brasses.
Brazas, querida, brazas.
– Trois cents brasses !
—¡Trescientas brazas!
La sonde annonçait dix-huit brasses, puis peu après six brasses.
El escandallo indicó dieciocho brazas, poco después seis brazas.
« Qu’est-ce qu’une brasse  ? demanda Peg.
—¿Qué es una braza? —preguntó Peg.
– Quatre brasses environ.
—Unas cuatro brazas.
Il était à plusieurs brasses de profondeur.
Estaba a varias brazas abajo.
— Vous en passerez à plus de vingt brasses.
—Pasaréis a veinte brazas de ella.
— Près de mille brasses.
—Casi mil brazos —le dijo Ido.
Ma spécialité c’était de flotter sur le dos, ça et la brasse.
Mi especialidad era espalda y braza.
— Cent seize brasses, plafonnant.
–Ciento dieciséis brazas, disminuyendo rápidamente.
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