Translation for "brabançon" to spanish
Brabançon
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Il n’est pas besoin d’une grande finesse pour arriver à connaître le caractère des jeunes Brabançons ; mais il faut un peu de tact pour trouver une méthode qui soit en rapport avec leurs facultés.
No se necesitaba ser un gran observador para detectar el carácter de los jóvenes de Brabante[20], pero sí se requería cierto tacto para adaptarse a su capacidad.
afin de pourvoir à leur entretien et à leur nourriture, ces Brabançons, Flamands, Bavarois et Bourguignons devaient se rabattre sur la population de l’Île-de-France et de la campagne au nord de Paris.
esto se desprendía ya del hecho de que él mismo hubiera reclutado un ejército muy numeroso, compuesto de habitantes de Brabante, Flandes, Baviera y Borgoña, los cuales, para su alojamiento y manutención, dependían de la población de Ile de France y del campo al norte de Paris.
non loin, sur une image nocturne peuplée d’hommes hâves et de bêtes fuyantes dans une forêt spectre, il y avait le pauvre Téméraire de Bourgogne que le pingre à mort détesta, le Don Quichotte de Charolais, l’élégant, le prodigue, remporté, au lendemain de sa dernière bataille perdue après tant d’autres, cadavre parmi les cadavres « tout nus et engelés » et les bannières bourguignonnes, brabançonnes, tombées avec leurs devises matamores, le ci-devant duc et comte à plat ventre dans la glace qui garda dans son étau cette chair ducale, nez, bouche et joue quand on voulut l’en retirer, les loups de la vieille Lorraine emportant à pleine gueule cette viande défaite, volontaire, qui si obstinément avait désiré l’Empire et le désastre, avait dans ce but tant chevauché, machiné, assiégé et sacrifié des foules, en pure perte guerroyé et désespéré, s’était les derniers temps perdue dans le vin, et était là depuis deux jours quand ils le cherchèrent et le trouvèrent dans ce grand froid de haute époque du jour des Rois de l’année 1477, et qu’un autre barbier, mais celui-ci obscur et en larmes, qui avait coutume de faire la barbe de Charles et non pas sa politique, penché sur ce quartier de boucherie s’écria, ainsi qu’on le pouvait lire en légende de l’image, ainsi que les vieux chroniqueurs nous disent qu’il a dit ce jour-là, qu’il a donc vraiment dit et c’est miracle que nous l’entendions, tandis que son haleine précaire faisait un petit nuage vite disparu : « Hélas, c’est mon gentil maître », puis le fit porter bien honnêtement, « dedans de beaux linges mis, en la maison de Georges Marquiez, en une chambre derrière », dans Nancy où les rois enfin délivrés de ce frère abusif dont le pourchas avait si longtemps été leur raison d’être, venaient contempler ce qui en restait et gentiment y pleuraient, morte, la meilleure part d’eux-mêmes.
no lejos de allí, en una imagen nocturna poblada de hombres macilentos y de bestias que huían en un bosque espectral, estaba el pobre Temerario de Borgoña a quien el roñoso detestó a muerte, el don Quijote de Charoláis, el elegante, el pródigo, el iracundo, al día siguiente de su última batalla perdida después de tantas otras, cadáver entre los cadáveres «todos desnudos y helados» y los estandartes de Borgoña, de Brabante, caídos con sus temas fanfarrones, el ex duque y conde de bruces en el hielo que conservó entre sus tenazas aquella carne ducal, nariz, boca y mejilla cuando quisieron retirarlo de allí, los lobos de la vieja Lorena llevándose entre las fauces aquella carne destrozada, voluntariosa, que tan obstinadamente había deseado el Imperio y el desastre, que con este fin tanto había cabalgado, maquinado, sitiado y sacrificado muchedumbres, guerreado sólo para perder y, desesperado, en los últimos tiempos se había perdido en el vino, y estaba allí desde hacía dos días cuando lo buscaron y lo encontraron en aquel gran frío de tiempos lejanos del día de Reyes del año 1477, cuando otro barbero, pero éste oscuro y deshecho en llanto, que acostumbraba hacer la barba de Carlos y no su política, inclinado sobre ese trozo de carne exclamó, como se podía leer en el pie de grabado, como los viejos cronistas nos dicen que dijo aquel día, como entonces dijo en verdad, y es milagroso que lo oigamos, mientras su precario aliento formaba una nubecita que pronto desapareció: «Es, ay, mi noble amo», luego hizo que lo llevaran decorosamente, «entre finas sábanas, a la casa de Georges Marquiez, en una habitación de atrás», en Nancy donde los reyes, por fin liberados de ese hermano abusivo cuya persecución había sido tanto tiempo su razón de ser, venían a contemplar lo que de él quedaba y lloraban noblemente, muerta, a la mejor parte de sí mismos.
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