Translation for "boutés" to spanish
Translation examples
Après avoir tissé entre eux des bouts effilochés, il les avait épissés et enduits de cire à bougie.
Las había tejido con harapos y desechos que había empalmado y, luego, embadurnado con cera de vela.
Dans l’épissure du bout, il y avait un anneau au travers duquel le câble fut passé pour former une boucle semblable à un énorme collet à lapin.
Un anillo había sido empalmado en uno de los cabos y el cable sobresalía formando un lazo como un enorme cepo de conejos.
— Courage téméraire ! Il faut croire qu’il suit sa queue jusqu’au bout. — Courage de merde ! » Elle a ravalé son souffle en dardant sur moi le rayon vert de sa colère. « Une actrice !
—Hace falta valor —observé—. Debe pasarse la vida empalmado. —¡Y una mierda valor! —exclamó, respirando hondo y con una mueca de ira—. ¡Una actriz!
Parce qu’il n’y a que ça qui l’intéresse, dans la vie, mais ça l’intéresse à fond : la première fois qu’on s’embrasse, la première fois qu’il soulève son pull et pose une main sur son soutien-gorge, puis fouille du bout des doigts pour l’écarter, s’en débarrasser, la première fois qu’elle a posé sa main à plat contre sa queue encore dans son pantalon, et qu’il bandait si dur qu’elle a cru défaillir, la première fois qu’il a cassé son poignet pour glisser sa paume ouverte contre sa chatte, et que directement deux doigts se sont glissés en elle, qu’il l’a possédée en la doigtant comme jamais elle n’avait été doigtée et qu’elle a joui direct, debout, bassin soulevé vers lui, les yeux plantés dans les siens pour qu’il puisse voir l’effet qu’il lui faisait.
Porque en la vida solo le interesa eso, pero le interesa mucho: la primera vez que besa a alguien, la primera vez que él le levanta el jersey y le coloca la mano en el sujetador, mueve la punta de los dedos para apartarlo, para quitárselo, la primera vez que ha apoyado la palma de la mano contra su polla, todavía dentro del pantalón, y que estaba tan empalmado que ha creído que iba a desmayarse, la primera vez que él se ha dislocado la muñeca para deslizarle la palma de la mano abierta por el coño, y que dos dedos se han introducido directamente en ella, que la ha penetrado con los dedos como nunca lo habían hecho y que ha gozado al instante, de pie, con la pelvis levantada hacia él y los ojos clavados en los suyos para que pudiera ver el efecto que le causaba.
Une légion d’horreurs au nombre de plusieurs centaines, à demi nues ou habillées de tenues attiques ou bibliques, ou vêtues de toilettes surgies d’un rêve fébrile, d’une garde-robe de peaux de bêtes et de soyeuses fanfreluches et de morceaux d’uniformes encore marqués du sang de leurs précédents propriétaires, manteaux de dragons transpercés, jaquettes de cavalerie à brandebourgs et passements, l’un en haut-de-forme et un autre avec un parapluie et un autre avec des bas blancs et un voile de mariée taché de sang et quelques-uns coiffés de couvre-chefs de plumes de grue ou de casques de peau brute rehaussés de cornes de taureau ou de bison et un autre arborant une jaquette à queue-de-morue mise devant derrière mais à part cela tout nu et un autre dans l’armure d’un conquistador espagnol, le plastron et les épaulières montrant encore les profondes indentations d’anciens coups de masse d’armes ou de sabre portés dans un autre pays par des hommes dont le squelette n’était que poussière, et beaucoup avec leurs nattes traînant à terre nouées au crin enchevêtré d’autres animaux et les oreilles et la queue de leurs chevaux galonnées de bouts de toile de vive couleur et un autre sur un cheval dont la tête tout entière était peinte au vermillon et tous les visages des cavaliers criards et grotesques grimés comme une compagnie de clowns à cheval, mort hilare, tous hurlant dans une langue barbare et chargeant au galop comme une horde surgie d’un enfer encore plus atroce que la terre sulfureuse du Jugement chrétien, éructant et jappant et enveloppés de fumée comme ces créatures vaporeuses des régions inconnaissables où l’œil s’égare et la lèvre palpite et bave.
Una legión de horribles, cientos de ellos, medio desnudos o ataviados con trajes áticos o bíblicos o de un vestuario de pesadilla, con pieles de animales y con sedas y trozos de uniforme que aún tenían rastros de la sangre de sus anteriores dueños, capas de dragones asesinados, casacas del cuerpo de caballería con galones y alamares, uno con sombrero de copa y uno con un paraguas y uno más con medias blancas y un velo de novia sucio de sangre y varios con tocados de plumas de grulla o cascos de cuero en verde que lucían cornamentas de toro o de búfalo y uno con una levita puesta del revés y aparte de eso desnudo y uno con armadura de conquistador español, muy mellados el peto y las hombreras por antiguos golpes de maza o sable hechos en otro país por hombres cuyos huesos eran ya puro polvo, y muchos con sus trenzas empalmadas con pelo de otras bestias y arrastrando por el suelo y las orejas y colas de sus caballos adornadas con pedazos de tela de vistosos colores y uno que montaba un caballo con la cabeza pintada totalmente de escarlata y todos los jinetes grotescos y chillones con la cara embadurnada como un grupo de payasos a caballo, cómicos y letales, aullando en una lengua bárbara y lanzándose sobre ellos como una horda venida de un infierno más terrible aún que la tierra de azufre de cristiana creencia, dando alaridos y envueltos en humo como esos seres vaporosos de las regiones incognoscibles donde el ojo se extravía y el labio vibra y babea.
Alors le chargé de cours, ayant retroussé ou frisé, ou calamistré ses moustaches, part d’un air dégagé sur une piste toute nouvelle, sans se soucier de la désespérée qui agite son mouchoir, et rappelle, dans ses propos, les douces nuits, les angoisses communes, et les communications impatiemment attendues à des sociétés savantes de second ordre, les articles complimenteurs dans des revues-à-côté, scientifiques et littéraires, où Horace, le poète latin, est cité à tout bout de champ quand l’auteur ramenant à de justes proportions le sujet qu’il traite veut montrer en même temps que le charme et la culture de son esprit… que disais-je ? veut montrer qu’on ne la lui fait pas… desinit in piscem. Vous me la copierez. Le dessein qui me pousse à raconter cette aventure, et l’infini de ses détails, par exemple qui marche devant, si André Breton porte aujourd’hui sa canne, — une belle canne, au reste, que les garçons de café apprécient comme il se doit, achetée chez un antiquaire de la rue Saint-Sulpice, qui vend aussi de faux étains, une canne de provenance douteuse, africaine pour les uns, asiatique pour d’autres, pour d’autres encore due au génie exotique et intellectuel de Gauguin, l’homme du corail et de l’eau verte, une canne ornée de reliefs obscènes, hommes, femmes et bêtes, en veux-tu, en voilà, limaces rampant vers les vulves, postures faciles à comprendre, et drôle de spectacle terrifiant un nègre barbu qui bande vers le bas — ce dessein qui me pousse à raconter cette promenade somnambulique dans le creux de l’indulgence édilique, là où tout le conseil municipal réuni a décidé que nous porterions sans risquer la prison nos petites révoltes nocturnes et l’insociabilité de nos cœurs, ce dessein me paraît tout soudain assez mystérieux.
Entonces, sin preocuparse por aquella desesperada criatura que agita el pañuelo, el académico, tras haberse retorcido, rizado o engominado el bigote, con aire desenvuelto, emprende su camino por una pista completamente nueva y se pone a recordar aquellas deliciosas noches, las angustias que compartían y las comunicaciones impacientemente esperadas en sociedades científicas de segunda categoría, los artículos aduladores en revistas científicas o literarias de dudosa calidad donde Horacio, el poeta latino, es citado cada dos por tres cuando el autor, que restituye al tema que está tratando las proporciones justas, quiere demostrar a la vez que el encanto y la cultura de su espíritu…, ¿qué estaba diciendo?, ¡ah, sí!, que cuando quiere demostrar que a él no se las dan… desinit in piscem. Me la copiaréis. El designio que me empuja a contar esta aventura con todo lujo de detalles, por ejemplo, quién anda delante, si André Breton lleva hoy o no su bastón —un precioso bastón, por lo demás, que los camareros del café aprecian como es debido, comprado en un anticuario de la rue Saint-Sulpice, que también vende objetos de peltre; un bastón de dudosa procedencia, africano para unos, asiático para otros, incluso para algunos se debe al exótico e intelectual genio de Gauguin, el hombre del coral y el agua verde, un bastón hermoseado con relieves obscenos, hombres, mujeres y animales a patadas, babosas que trepan a las vulvas, posturas de fácil comprensión y, en la parte inferior, el cómico y aterrador espectáculo de un negro barbudo que está empalmado—, decía que el designio que me empuja a contar este paseo sonámbulo por lo más profundo de la indulgencia edílica, donde, en una sesión plenaria, el consejo municipal ha decidido que nuestras revueltillas nocturnas y la insociabilidad de nuestros corazones no nos conducirían a la cárcel, ese designio me parece, de repente, de lo más misterioso.
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