Translation for "boulet" to spanish
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Translation examples
Encore une boulette et c’est fini.
Otra bola y se acabó.
ils traîneront à leurs pieds un boulet… 
arrastrarán una bola…».
Olivier lui jeta une boulette.
Olivier le arrojó una bola de arroz.
Je ne savais pas que je traînais ce boulet.
No sabía que arrastraba esa bola negra.
Pierini lui lança une boulette de papier.
Pierini le tiró una bola de papel.
Nous continuons aussi la fabrication des boulets.
También seguimos fabricando carbón de bola.
De ce jour, on lui enlève les fers et le boulet.
Desde ese día, le quitan los hierros y la bola.
Lui voulait magnifier celle d’un boulet de charbon.
Él quería ampliar una bola de carbón.
Dans la gueule du premier, on introduit un boulet de cinq kilos ;
Uno de ellos se carga con una bola de cinco kilos;
Réfléchis un peu, ma petite tête en boulet de canon.
Piensa un poco, mi cabecita bola de cañón.
Ce truc est en boulettes de papier ?
¿Esa cosa está hecha de pelotas de papel arrugado?
Il fit une boulette de la lettre et la laissa tomber dans le crachoir.
Hizo una pelota con la carta y la tiró a la escupidera.
une de ses mains était ballante, une boulette de papier froissé mollement tenue.
Medio escondida en esa mano, había una arrugada pelota de papel.
Pas encore temps. » J’ai décollé le papier et l’ai froissé en une boulette que j’ai jetée vers le bois.
Todavía no es el momento. —Hice una pelota con el papel, lo arrojé al bosque.
Ce temps est largement suffisant pour la cuisson des pois chiches et la préparation des boulettes, qui n’ont rien de mystérieux.
Ese tiempo alcanza y sobra para cocer los garbanzos y preparar las pelotas, que no tienen misterio.
Les joueurs et miss Fenstermaker traitèrent le projectile comme s’il s’était agi d’un boulet rouge.
Los jugadores y Miss Fenstermaker esquivaron la pelota como si fuera una bala de cañón al rojo.
J’ai reporté mon attention sur Knotcher, qui s’apprêtait à lancer une autre boulette géante sur Casey.
En vez de eso, pasé a observar a Knotcher, que estaba a punto de lanzar otra gigantesca pelota empapada de saliva a Casey.
Et il jeta une nouvelle boulette de terre au chènevis près de sa ligne à laquelle un chevesne se prit aussitôt.
Y echó otra pelota de tierra con cañamones junto a su aparejo, en el que no tardó a prenderse un gobio.
Aussi fut-ce sans excès de panique que je me heurtai soudain à lui en évitant un ballon lancé comme un boulet de canon.
Así pues, al esquivar una pelota lanzada como una bala de cañón, tropecé de repente con él sin excesivo pánico.
Les pieds d’Agaja se déplaçaient à la vitesse de l’éclair, il fit tournoyer et jongler la balle qui obéissait à ses moindres désirs, et puis BLAM ! – il tira un boulet pile dans la lucarne droite. Tout le monde applaudit.
Los pies de Agaja, veloces como el rayo, giraban, hacían malabarismos con el balón y lo obligaban a acatar cada uno de sus deseos. Y entonces, ¡PUM!, lo lanzó de lleno a la parte derecha de la portería. Todos aplaudieron.
Dejan Stanković me l’avait passée, j’attirai un type vers moi qui se précipitait dans ma direction et je courus vers le but. Chaque fois que je poussais le ballon, il y avait un petit filet d’eau qui giclait puis je vis que je pouvais tirer, pas un boulet de canon, rien de tel. C’était un tir rasant qui entra en frappant l’intérieur du poteau gauche.
Fue un pase de Dejan Stanković; atraje a un jugador contrario, que se abalanzó sobre mí mientras iba hacia la portería. Cada vez que tocaba el balón se levantaba una cortina de agua. Entonces vi un hueco y disparé, aunque no con fuerza, ni mucho menos. Fue un tiro raso que dio en el poste izquierdo y entró.
Deux agrandissements de trois mètres de La Photo ont été disposés de chaque côté de l’estrade déserte. J’erre sans but dans la salle de danse, piquant au passage des boulettes de viande et me sentant très mal.
A ambos lados de la plataforma vacía del conferenciante se alzan dos gigantescas ampliaciones de su fotografía. Me paseo por la pista de baile, mordisqueando albóndigas y saboreando una desagradable sensación en el cuerpo.
Elle avait réagi par un petit rire surpris, ne voyait-il donc pas qu’elle était quasiment tout le temps collée à son petit ami, mais cela avait suffi pour qu’elle ne le lâche plus du regard, ferait-il la même proposition à d’autres filles, et surtout, ce qu’elle ne comprenait pas, c’était pourquoi il ne prenait aucune photo, comme si rien n’en valait la peine à ses yeux, il déambulait parmi ses invités, très droit, buvait beaucoup et dansait un peu, lorsqu’elle l’avait vu, à la fin de la soirée, collé pour un slow à une fille qu’elle ne connaissait pas, jupe courte et longs cheveux blonds, elle s’était sentie trompée, pendant tout ce temps son Ethan à elle la gavait de paroles et de délicieux amuse-gueules dont il remplissait son assiette sans se rendre compte que plus la soirée avançait, plus il devenait un boulet.
¿Eres nueva en la ciudad?, le pregunta, o algo así, ella responde de inmediato a pesar de que en el transcurso de la charla comprende que el nuevo, irónicamente, es él y que la fiesta en realidad también la organiza él, una especie de inauguración de la casa si podemos llamar casa a ese cuartucho de azotea, cuando le dice estás invitada a quedarte cuando todos se hayan ido, ella ríe sorprendida, acaso no ha notado que tiene novio, estuvo todo el tiempo al lado de Eitan, comenzó a seguirlo con la mirada, veamos si se lo propone a otras chicas, lo más sorprendente era que no tomara una sola fotografía, como si no valieran la pena, se pasea muy orgulloso entre los invitados, bebe sin descanso, casi no baila y cuando por fin lo ve bailando con una desconocida de minifalda cortísima y largos cabellos rubios siente un ataque de celos como si la hubiese traicionado, mientras tanto su Eitan le susurra al oído, cuida de servir comida en su plato, se transforma en el transcurso de una sola noche en una pesada piedra atada a su cuello.
— C’est étrange… murmura le chef de la police en regardant les boulets rougeoyant sur une grille.
—¡Qué raro! —murmuró el jefe de policía contemplando las esferas rojizas que coronaban una verja.
Si les boulets de canon étaient pleins, les obus étaient une sphère creuse en fer remplie de poudre.
Las balas de cañón eran macizas, pero las bombas de metralla consistían en una esfera de hierro hueca rellena de pólvora.
Par terre, près d’eux, traînaient plusieurs filets contenant des sphères de bronze qui ressemblaient à des boulets de canon.
Al lado de los ogros había varias bolsas de malla llenas de esferas de bronce, como balas de cañón.
Il vit la sphère se soulever, s’élever dans les airs, lentement d’abord. Puis elle prit de la vitesse, vint vers lui comme un énorme boulet de canon qu’on eût tiré sur lui.
La esfera, notó, se levantaba, se alzaba en el aire, se elevaba lentamente al principio y luego ganaba velocidad hasta ir hacia él como una colosal bala de cañón directamente disparada a su cuerpo.
Sa longue chevelure argentée flottant derrière elle, Dame Alustriel de Lunargent tenait les rênes de son chariot magique d’une main. De l’autre, elle effectua une série de mouvements qui firent apparaître une nouvelle minuscule boulette enflammée dans la paume de sa main.
Ondeando al viento el largo y plateado cabello, la dama Alustriel de Luna Plateada sujetaba las riendas del mágico carro de fuego con una mano, mientras que con la otra realizaba una serie de movimientos que resultaron en otra esfera reluciente.
Cette habitude déplaisait au sujet dépressif, qui pourtant aurait été la première à admettre que la raison principale en était que cela attirait son attention sur les doigts et ongles de la thérapeute, la conduisant à comparer ceux-ci avec les siens propres. Le sujet dépressif avait confié, à la fois à sa thérapeute et à son Échafaudage émotionnel, qu’elle se rappelait plus clairement qu’elle ne l’eût souhaité, dans son troisième internat, avoir une fois vu sa compagne de chambre s’entretenir au téléphone avec un garçon anonyme tout en grimaçant et en gesticulant pour signifier l’ennui et le dégoût qu’il lui inspirait, cette compagne de chambre pleine d’assurance, populaire et séduisante ayant fini par se livrer à la pantomime outrée de quelqu’un qui toque à une porte et l’ayant poursuivie (c.-à-d. la pantomime) avec une expression désespérée jusqu’à ce que le sujet dépressif comprît qu’elle était censée ouvrir la porte de la chambre, sortir sur le palier et cogner bruyamment à la porte ouverte afin de fournir à sa camarade un prétexte pour raccrocher. Étudiante, le sujet dépressif n’avait jamais reparlé de cette histoire de garçon au téléphone et de pantomime mensongère à la compagne de chambre en question – compagne avec laquelle elle n’avait jamais tilté ni ressenti d’affinités, du tout, à qui elle avait voué une haine mi-aigre mi-servile l’ayant acculée au dégoût d’elle-même et avec qui elle n’avait fait aucun effort pour maintenir le contact après cet interminable second semestre de deuxième année de fac – mais elle (c.-à-d. le sujet dépressif) avait partagé le souvenir atroce de l’incident avec plusieurs des amies de son Échafaudage émotionnel, auxquelles elle avait également confié combien il lui avait paru incommensurablement horrible et pathétique d’être ce garçon anonyme à l’autre bout du fil – un garçon essayant en toute sincérité de prendre un risque émotionnel, de se tourner vers l’arrogante compagne de chambre et de communiquer avec elle, dans l’ignorance de son statut de boulet importun, l’ignorance pathétique du mépris et de l’ennui silencieusement mimés à l’autre bout du fil – et combien elle, le sujet dépressif, redoutait plus que presque tout au monde de se retrouver un jour dans la situation de quelqu’un pour se débarrasser de qui au téléphone il fallait faire silencieusement appel à une tierce personne qui aidât à inventer un prétexte de raccrocher.
La costumbre personal o tic inconsciente más llamativo de la psiquiatra de la persona deprimida consistía en juntar las yemas de los dedos en su regazo mientras escuchaba con atención a la persona deprimida, manipular aquellos dedos ociosamente de forma que sus manos entrelazadas formaran diversas formas envolventes —por ejemplo, un cubo, una esfera, una pirámide, un cilindro— y finalmente quedarse aparentemente estudiando o contemplando aquellas formas. A la persona deprimida le desagradaba aquel hábito, aunque era la primera en admitir que se debía básicamente a que le llamaba la atención sobre los dedos y las uñas de la psiquiatra y la obligaba a compararlos con los suyos propios. La persona deprimida había explicado tanto a su psiquiatra como a su Sistema de Apoyo que recordaba, con demasiada nitidez, haber visto a su compañera de habitación en su tercer internado hablando con algún chico desconocido por el teléfono de su habitación y que ella (es decir, la compañera de habitación) había hecho muecas y gestos de repulsión y de aburrimiento relativos a la llamada, y que aquella compañera de habitación atractiva, popular y llena de confianza finalmente le había hecho a la persona deprimida una pantomima exagerada de alguien llamando a una puerta y había prolongado aquella pantomima con una expresión desesperada hasta que la persona deprimida había comprendido que tenía que abrir la puerta de la habitación, salir afuera y llamar con fuerza a la puerta abierta a fin de darle a su compañera una excusa para colgar el teléfono. En sus años de estudiante, la persona deprimida nunca había comentado con nadie aquel incidente de la llamada del chico ni la mendaz pantomima de aquella compañera de habitación —una compañera con quien la persona deprimida nunca había conectado ni congeniado, a quien le recriminaba con amargura y llena de vergüenza que hubiera provocado que la persona deprimida se despreciara a sí misma, y con quien no había hecho ningún intento de mantener el contacto después de que terminara aquel interminable segundo semestre de su segundo año—, pero ella (es decir, la persona deprimida) sí que había explicado su recuerdo angustioso de aquel incidente a muchas de sus amigas del Sistema de Apoyo, y también había explicado lo insondablemente espantosa y patética que se habría sentido de ser aquel chico desconocido y anónimo, un chico que asumía de buena fe un riesgo emocional, intentaba dirigirse a la compañera de habitación llena de confianza y conectar con ella, y no imaginaba que estaba siendo una carga indeseable y patéticamente inconsciente de la pantomima silenciosa, del aburrimiento y el desprecio que estaban teniendo lugar al otro lado del teléfono, y que lo que la persona deprimida más temía en el mundo era estar alguna vez en la situación de alguien que obliga a otra persona a avisar en silencio a una tercera persona que se encuentra en la misma habitación en busca de ayuda para obtener una excusa para colgar el teléfono. Por tanto, la persona deprimida siempre imploraba a cualquier amiga con quien hablara por teléfono que ella (es decir, la amiga) dijera en el mismo segundo en que empezara a aburrirse, se sintiera frustrada, repelida o creyera que tenía otras cosas más urgentes o interesantes que hacer, que por el amor de Dios fuera completamente franca y sincera y que no pasara ni un segundo más al teléfono con la persona deprimida de lo que realmente le apeteciera a ella (es decir, a la amiga).
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