Translation for "bottom" to spanish
Translation examples
fondo
— Si vous essayez de me piquer encore une seule couronne, je vous traîne à Bottom Alley et je vous dévisse la tête.
—Intente usted sacarme una corona más, y le arrastraré al Corredor del Fondo y allí le desatornillaré la cabeza del resto del cuerpo.
Jacob parlait aussi des quarks en termes de up, down, top et bottom, de charme et d’étrangeté.
Jacob también mencionó seis tipos de quarks diferentes: up (arriba), down (abajo), top (cima), bottom (fondo), charm (encantados) y strange (extraños).
— Depuis le XXe siècle, les humains ont découvert six saveurs de quarks : up, down, top, bottom, strange et charmed.
—Desde el siglo XX los humanos hemos sabido de seis sabores de quarks: arriba, abajo, cima, fondo, extraño, y encanto.
Je lui aurais bien dit de se débrouiller tout seul pour trouver un lit à Bottom Alley si je n’avais entendu le Rabbi Ezra parler de rats.
Le hubiera dicho que hallara su propio camino en el Callejón del Fondo, si no hubiera oído algo que dijo el rabino Ezra acerca de ratas.
Avery était assis dans un des fauteuils inclinables, ses pieds se balançaient dans le vide et il mangeait un Slim Jim devant la télé en suivant ce qui se passait à Bikini Bottom.
Avery, sentado en una de las butacas del salón, balanceaba los pies y comía una barrita de cecina mientras veía las peripecias de Fondo de Bikini.
Nous fîmes demi-tour, descendîmes à Bottom Alley pour traverser la ville puis remonter par les escaliers roulants jusqu’au Cinq As, au niveau six ; c’est beaucoup plus long, mais plus rapide étant donné les circonstances.
Retrocedimos, descendimos directamente hasta el Callejón del Fondo, luego cruzamos la ciudad y volvimos a subir por la cadena elevadora del Acceso Cinco hasta el presurizado seis…, una gran vuelta, pero mucho más rápido.
Il leur fallut, à lui et à Herrera, trois ans pour reformer les Traumatics, avec Molly Tremain, une jolie blonde un peu dérangée qui chantait avec lui, et sortir leur premier album, Greetings from the Bottom of the Mine Shaft, produit par le plus petit des plus petits labels.
Herrera y él tardaron tres años en reconstituir los Traumatics, con la rubia guapa y maltrecha, Molly Tremain, como covocalista, y en sacar a la luz su primer elepé, Saludos desde el fondo del pozo de la mina, con una discográfica minúscula.
Il ne restera rien du Fond (la passerelle au-dessus du fleuve a déjà disparu) mais c’est peut-être aussi bien, puisque ce n’était pas vraiment une ville : seulement un quartier d’où, par temps calme, les gens de la vallée pouvaient entendre parfois chanter, parfois jouer du banjo, et s’il arrivait qu’un homme de la vallée ait affaire là-haut dans les collines – pour toucher un loyer ou une prime d’assurances – il pouvait y voir une femme au teint sombre exécuter quelques pas de cakewalk, esquisser un black-bottom, se déhancher au rythme entraînant d’un harmonica.
Ya no quedará nada del Fondo (el puente peatonal que cruzaba el río ya ha desaparecido), aunque tal vez sea mejor así, puesto que de todos modos no era una ciudad, sino sólo un barrio donde, en los días tranquilos, las gentes de las casas del valle a veces podían escuchar cantos, a veces algún banjo y, si un hombre del valle tenía que resolver casualmente algún asunto en esas colinas —el cobro de alquileres o de las primas del seguro—, quizá divisara a una mujer de piel oscura con un vestido floreado ejecutando unos pasos de cakewalk, dándose unos meneos, «tonteando un poco» al compás de las animadas notas de una armónica.
Personne ne parut disposé à le contredire, car Wong, avec soin, apparaissait avec le café, et Ronald, haussant les épaules, lâcha brusquement les Waring’s Pennsylvanians et le thème qui enchantait Oliveira surgit derrière un grincement terrible, une trompette anonyme, puis le piano, voilés par une brume de vieux phonographe et de très mauvais enregistrement, d’orchestre bon marché et comme antérieur au jazz, mais, après tout, c’était de ces vieux disques, des show-boats et des nuits de Storyville qu’était née la seule musique universelle du siècle, cette chose qui rapprochait les hommes plus et mieux que l’espéranto, l’Unesco ou les lignes aériennes, une musique assez primitive pour être universelle et assez bonne pour faire sa propre histoire avec schismes, reniements et hérésies, son charleston, son black-bottom, son shimmy, son fox-trot, son stomp, ses blues, pour admettre les classifications et les étiquettes, le style ceci et cela, le swing, le be-bop, le cool, va-et-vient du romantisme et du classicisme, hot et jazz cérébral, une musique-homme, une musique avec une histoire, à la différence de la stupide musique animale du bal, polka, valse, samba, une musique qui permet de se reconnaître et de s’estimer, à Copenhague comme à Mendoza ou à Capetown, qui rapproche les adolescents avec leurs disques sous le bras, qui leur donne des noms et des mélodies comme autant de messages chiffrés pour se reconnaître, se mieux connaître et se sentir moins seuls au milieu des chefs de bureau, des familles et des amours infiniment amères, une musique qui accueille toutes les imaginations et tous les goûts, la collection des 78 tours aphones avec Freddie Keppard ou Bunk Johnson, l’exclusivisme réactionnaire du Dixieland, la spécialisation académique chez Bix Beiderbecke ou le saut dans la grande aventure de Thelonius Monk, Horace Silver ou Thad Jones, le mauvais goût d’Erroll Garner ou d’Art Tatum, les repentirs et les abjurations, les préférences pour les petits ensembles, les enregistrements mystérieux avec pseudonymes et dénominations imposées par les maisons de disques ou les caprices du moment, et toute cette franc-maçonnerie du samedi soir dans la chambre d’étudiant ou les caves, avec des filles qui préfèrent danser en écoutant Star Dust ou When your man is going to put you down et qui exhalent une odeur douce et lente de parfum, de peau et de chaleur, elles se laissent embrasser vers la fin de la soirée, quelqu’un a mis The blues with a feeling et l’on danse presque immobile en se balançant seulement, et tout est trouble, sale et canaille, et tous les garçons ont envie d’arracher ces corsages tièdes tandis que les mains caressent une épaule, et toutes les filles ont la bouche entrouverte et elles s’abandonnent à la peur délicieuse et à la nuit et alors se dresse une trompette qui les possède toutes pour tous les hommes qui sont là, qui les prend d’une seule phrase chaude et les laisse retomber comme de l’herbe fauchée entre les bras de leur compagnon, et il y a une course immobile, un saut dans l’air de la nuit au-dessus de la ville, jusqu’à ce qu’un piano minutieux les rende à elles-mêmes, épuisées, réconciliées et toujours vierges, jusqu’au samedi suivant, tout cela en une musique qui effraie les bonnes gens des places d’orchestre pour qui il ne saurait y avoir de vérité sans programme imprimé et ouvreuse, et ainsi va le monde et le jazz est comme un oiseau qui émigre ou immigre ou transmigre, saute-barrière, moque-douanes, quelque chose qui court et se répond, et ce soir Ella Fitzgerald chante à Vienne tandis que Kenny Clarke inaugure une cave à Paris et qu’à Perpignan bondissent les doigts d’Oscar Peterson et que Satchmo est partout avec ce don d’ubiquité que lui a donné le Seigneur, à Birmingham, à Varsovie, à Milan, à Buenos Aires, à Genève, dans le monde entier, c’est inévitable, c’est la pluie et le pain et le sel, cela se fiche éperdument des rites nationaux, des traditions inviolables, de la langue et du folklore, un nuage sans frontières, un espion de l’air et de l’eau, un archétype, une chose d’avant, du plus profond, qui réconcilie les Mexicains avec les Norvégiens, les Russes avec les Espagnols, les réincorpore au sombre feu central oublié, les rend, mal et maladroitement et de façon précaire, à une origine trahie, leur montre qu’il y avait peut-être d’autres chemins et que celui qu’ils ont pris n’était pas l’unique et le meilleur ou peut-être qu’il y avait d’autres chemins et que celui qu’ils ont pris était le meilleur mais aussi peut-être qu’il y avait d’autres chemins doux à prendre et qu’ils ne les ont pas pris ou qu’ils les ont pris à moitié et qu’un homme est toujours un peu plus qu’un homme et un peu moins qu’un homme, plus qu’un homme parce qu’il renferme ce que le jazz pressent, éclaire et même anticipe, et moins qu’un homme parce qu’il a fait de cette liberté un jeu esthétique ou moral, un échiquier où il se réserve d’être la tour ou le cheval, une définition de la liberté que l’on apprend dans les écoles, précisément dans les écoles où l’on n’a jamais appris et où l’on n’apprendra jamais aux enfants la première mesure d’un ragtime et la première phrase d’un blues, etc., etc.
Nadie parecía dispuesto a contradecirlo porque Wong esmeradamente aparecía con el café y Ronald, encogiéndose de hombros, había soltado a los Waring’s Pennsylvanians y desde un chirriar terrible llegaba el tema que encantaba a Oliveira, una trompeta anónima y después el piano, todo entre un humo de fonógrafo viejo y pésima grabación, de orquesta barata y como anterior al jazz, al fin y al cabo de esos viejos discos, de los show boats y de las noches de Storyville había nacido la única música universal del siglo, algo que acercaba a los hombres más y mejor que el esperanto, la Unesco o las aerolíneas, una música bastante primitiva para alcanzar universalidad y bastante buena para hacer su propia historia, con cismas, renuncias y herejías, su charleston, su black bottom, su shimmy, su foxtrot, su stomp, sus blues, para admitir las clasificaciones y las etiquetas, el estilo esto y aquello, el swing, el bebop, el cool, ir y volver del romanticismo y el clasicismo, hot y jazz cerebral, una música-hombre, una música con historia a diferencia de la estúpida música animal de baile, la polka, el vals, la zamba, una música que permitía reconocerse y estimarse en Copenhague como en Mendoza o en Ciudad del Cabo, que acercaba a los adolescentes con sus discos bajo el brazo, que les daba nombres y melodías como cifras para reconocerse y adentrarse y sentirse menos solos rodeados de jefes de oficina, familias y amores infinitamente amargos, una música que permitía todas las imaginaciones y los gustos, la colección de afónicos 78 con Freddie Keppard o Bunk Johnson, la exclusividad reaccionaria del Dixieland, la especialización académica en Bix Beiderbecke o el salto a la gran aventura de Thelonius Monk, Horace Silver o Thad Jones, la cursilería de Erroll Garner o Art Tatum, los arrepentimientos y las abjuraciones, la predilección por los pequeños conjuntos, las misteriosas grabaciones con seudónimos y denominaciones impuestas por marcas de discos o caprichos del momento, y toda esa francmasonería de sábado por la noche en la pieza del estudiante o en el sótano de la peña, con muchachas que prefieren bailar mientras escuchan Star Dust o When your man is going to put you down, y huelen despacio y dulcemente a perfume y a piel y a calor, se dejan besar cuando es tarde y alguien ha puesto The blues with a feeling y casi no se baila, solamente se está de pie, balanceándose, y todo es turbio y sucio y canalla y cada hombre quisiera arrancar esos corpiños tibios mientras las manos acarician una espalda y las muchachas tienen la boca entreabierta y se van dando al miedo delicioso y a la noche, entonces sube una trompeta poseyéndolas por todos los hombres, tomándolas con una sola frase caliente que las deja caer como una planta cortada entre los brazos de los compañeros, y hay una inmóvil carrera, un salto al aire de la noche, sobre la ciudad, hasta que un piano minucioso las devuelve a sí mismas, exhaustas y reconciliadas y todavía vírgenes hasta el sábado siguiente, todo eso en una música que espanta a los cogotes de platea, a los que creen que nada es de verdad si no hay programas impresos y acomodadores, y así va el mundo y el jazz es como un pájaro que migra o emigra o inmigra o transmigra, saltabarreras, burlaaduanas, algo que corre y se difunde y esta noche en Viena está cantando Ella Fitzgerald mientras en París Kenny Clarke inaugura una cave y en Perpignan brincan los dedos de Oscar Peterson, y Satchmo por todas partes con el don de ubicuidad que le ha prestado el Señor, en Birmingham, en Varsovia, en Milán, en Buenos Aires, en Ginebra, en el mundo entero, es inevitable, es la lluvia y el pan y la sal, algo absolutamente indiferente a los ritos nacionales, a las tradiciones inviolables, al idioma y al folklore: una nube sin fronteras, un espía del aire y del agua, una forma arquetípica, algo de antes, de abajo, que reconcilia mexicanos con noruegos y rusos y españoles, los reincorpora al oscuro fuego central olvidado, torpe y mal y precariamente los devuelve a un origen traicionado, les señala que quizá había otros caminos y que el que tomaron no era el único y no era el mejor, o que quizás había otros caminos, y que el que tomaron era el mejor, pero que quizá había otros caminos dulces de caminar y que no los tomaron, o los tomaron a medias, y que un hombre es siempre más que un hombre y siempre menos que un hombre, más que un hombre porque encierra eso que el jazz alude y soslaya y hasta anticipa, y menos que un hombre porque de esa libertad ha hecho un juego estético o moral, un tablero de ajedrez donde se reserva ser el alfil o el caballo, una definición de libertad que se enseña en las escuelas, precisamente en las escuelas donde jamás se ha enseñado y jamás se enseñará a los niños el primer compás de un ragtime y la primera frase de un blues, etcétera, etcétera.
Avant de rentrer, nous fîmes un détour par Shocko Bottom, un coin de la ville où je n’aurais pas osé me promener seule quelques années plus tôt, et flânâmes un peu le long de la chaussée pavée éclairée de lampadaires.
Pero antes de regresar nos llegamos a Shockhoe Bottom y paseamos por el adoquinado bajo la luz de las farolas, en una zona de la ciudad a la que no hacía tanto tiempo no me habría aventurado acercarme.
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