Translation for "bats-les" to spanish
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Quand ils attaquent, on les peut vaincre, et presque toujours on les bat malgré leur courage.
Cuando atacan es posible vencerlos y casi siempre los derrotamos a pesar de su coraje.
De sorte que même si je la bats ce soir, il lui suffira de revenir d’entre les morts et de me lancer un nouveau défi demain.
Así que aunque consiga vencerla esta noche, regresará y volverá a retarme mañana.
Rares sont ceux qui acceptent de défendre les faibles, les cerveaux les plus brillants se mettent au service du pouvoir, c’est tellement plus excitant de représenter le gouvernement, les banques, les nantis ! Mais toi, quand tu enfiles ta robe dans la salle d’audience, c’est justement là que tu te sens puissant, en plaidant pour les désarmés et les humiliés face au système capable de les broyer, parfois même tu arrives à gagner et alors tu ne te sens plus du tout démuni, sauf que ces dernières années tu peux compter tes victoires sur les doigts de la main, il revoit le visage de Soliman marqué par la déception, est-ce lui, Avner, qui a moins de force ou le pays qui s’est musclé ? Qui se bat avec davantage de rage parce qu’il se sent fragilisé justement ? Il lève les yeux, contemple par la fenêtre l’arbre qui fleurit avec assurance comme si l’hiver ne reviendrait jamais, Anati, j’ai besoin de votre aide, c’est vraiment urgent, répète-t-il, parce que soudain, il est sûr que s’il arrivait à retrouver la voiture dorée, donc le couple qui roulait dedans, il pourrait aussi retarder l’exécution de la sentence rendue par le tribunal d’en haut.
Pocos son los que están dispuestos a representar a los que nada tienen, las mentes más brillantes se ponen a disposición de los más poderosos, qué tentador resulta llevar adelante casos para el Gobierno, para los bancos, para los ricos del planeta, pero cuando te pones la toga en la sala de la Corte Suprema sientes que tienes poder justo porque argumentas en nombre de los débiles y de los humillados frente a poderosísimas fuerzas y hasta logras vencerlas, algunas veces, aun si disminuyeron tus victorias en los últimos años, ahora recuerda la decepción en el rostro de Solimán, ¿fue él, Abner, el que se debilitó con los años o acaso fue el Estado el que se fortaleció? O quizá el Estado se debilitó y es por eso que se defiende con todas sus fuerzas, sus ojos van desde las carpetas hacia el árbol que florece como si el invierno no fuera a regresar jamás. Anati, necesito tu ayuda, es muy urgente, repite, de pronto siente que si lograse localizar el automóvil y, consecuentemente, a la pareja que en él partió, también conseguirá retrasar la firma de la sentencia de los tribunales celestiales.
N’aie pas peur, je me disais, te sauve pas – bats-les à leur propre jeu de merde.
No hacía más que decirme a mí mismo «no te asustes, no huyas, tienes que ganarles en su propio juego de los cojones».
Je tiens un ranch qui fait travailler une vingtaine de cow-boys formidables, et je les bats au poker.
Dirijo un rancho en el que hay un par de docenas de vaqueros locos, y a todos ellos puedo ganarles al póquer.
En plus, il est très fort et le bat systématiquement dans les batailles de boules de neige, en hiver.
Además era tan fuerte que Joel nunca había podido ganarle en las batallas de nieve de los inviernos.
Il est amusant et bien plus gentil qu’il n’y paraît… en outre je le bats aux dames et on ne pourra pas passer tout notre temps au lit comme tu le fais avec Mère. — Danaé ! — Quoi ?
Es divertido y, en el fondo, mucho mejor chico de lo que aparenta. Además, puedo ganarle a las damas, ya que no podemos pasarnos todo el tiempo en la cama como hacéis vos y madre. —¡Danae! —¿Qué? —Levantó la mirada hacia él—.
Son apparente piété est seulement politique, c’est tout, c’est pourquoi on doit attendre la disparition de Jerónimo pour introniser Iris avec son fils dans ses bras, même si les cardinaux me disent que non, qu’est-ce que ça peut me faire si je dispose de la fortune de Jerónimo, avec, je pourrai construire le sanctuaire qui fera perdurer le nom qu’ils ont voulu ensevelir, vous autres, en attendant, restez avec moi tranquilles, non, vous ne mourrez pas, l’enfant arrivera à faire son miracle avant votre mort pour vous emmener au ciel dans un endroit exactement pareil à ici, mais il faut attendre, attendre en chantant toutes et en priant, mais aussi en jouant au canodrome avec lequel je vous dépouille de tout, les vieilles grelottent de froid dans la chapelle, elles n’ont plus de chaussures, je fais un tas à côté de moi des affaires que je gagne et ensuite je les mets de côté pour l’enfant, rien n’est pour moi, tout sera pour l’enfant, maintenant des langues, du coton, de l’eau de Cologne, du talc de la meilleure qualité, des cierges, des fleurs, plus tard il aura d’autres besoins, il pourra avoir besoin d’un de ces effets que j’ai gagné aux vieilles, je suis toujours la chienne jaune, je ne peux pas m’en détacher, je suis obligée de la faire courir par monts et par vaux, à travers champs, de lui faire franchir des marais et des lacs, elle revit dans mes mains, ce n’est pas que je veuille vous gagner ces affaires, pauvres vieilles, pourquoi aurais-je besoin de ces saletés si ce n’est pour choisir la plus crasseuse et la plus mitée et remplacer un autre vêtement un peu moins sale et déchiré que j’avais sur moi, moi je ne veux pas gagner, c’est la chienne qui m’oblige à gagner en courant sur la piste, un, deux, trois, quatre, à l’eau, je recule, deux, trois, à toi, Rita, à toi Rosa, maintenant, à moi, l’ombre de la chienne jaune sur le mur est énorme, elle vibre et elle court tandis que se consument les cierges et que grandit mon tas de guenilles pour l’enfant, pour le cas où, car la chienne jaune me force à la faire servilement gagner, encore et encore, que ne cesse de grandir le tas de saletés que les sorcières me remettent en pleurnichant, leurs pauvres talismans dont je ne veux pas, moi, mais la chienne qui court sur les murs de la chapelle désaffectée où trônent Iris et l’enfant, occupant la présidence, et les vieilles pleurent, elles doivent jouer, elles aussi bien que moi, on obéit à la chienne, on est avides, nos mains arrachent des vêtements, s’emparent de montres pourries, du calendrier qui porte encore la dernière page d’il y a sept ans, des chaussons, du bas unique, du bonnet de bain framboise, j’ai gagné, j’ai gagné, la chienne jaune a encore gagné car elle est invincible et je crie et je leur arrache ce qu’elles me supplient de ne pas leur prendre, quoique je ne veuille pas, moi, abuser de ces vieilles, que je ne veuille pas les dépouiller, mais la chienne jaune le veut, je lui obéis parce qu’elle court comme ça, qu’elle aboie et hurle à la Lune et franchit des mares, un, deux, trois quatre, cinq, six, c’est encore à moi, quelle chance, misiá Inesita, ça y est, elle démarre, cinq, un, deux, trois, quatre, cinq, son ombre est énorme sur le mur, les vieilles ne voient pas combien grande et vivante est l’ombre de la chienne, car elles ne voient que le terrain de jeu et leur peur que je prenne possession de quelques baleines de parapluie, d’un cache-nez déteint, c’est ça qu’elles voient, cours, cours, chienne, allez, Iris, laisse ton enfant, qu’on le change, viens jouer avec moi, qu’est-ce que tu paries, moi, eh bien, j’aimerais ton manteau café contre ces pantoufles qui viennent de Rosa Pérez, joue la première, quatre, un, deux, trois, quatre, maintenant la chienne blanche, un, deux, pas de chance, et la chienne bleue court sur le terrain, et la chienne rouge sur le terrain, mais la chienne jaune ne cesse de courir, elle se met les pattes en sang pour arriver la première au but, et ainsi j’ai arraché le manteau café des épaules d’Iris qui essaie de m’en empêcher, j’ai froid, mais je m’en moque, bien que j’aie de la peine que la bienheureuse ait froid, je me bats pour te l’enlever parce que la chienne le veut, qu’est-ce que ça peut faire que tu aies froid, Iris, maintenant tu as eu ton enfant, ce qui fait que tu n’es plus grosse, eh bien si tu veux, à titre de grande faveur, comme c’est toi la bienheureuse, demain je te donnerai la revanche, on verra si tu peux regagner le manteau pour ne pas avoir froid, toi avec ton bébé amoureux dans ton lit, pour sûr que tu ne vas pas te refroidir, les bébés, ça tient très chaud quand ils dorment dans le lit de leur maman, et moi rien ne me réchauffe, mes os ne cessent de se refroidir davantage, toujours davantage, et je ne sais que faire pour les réchauffer.
Su aparente piedad es sólo política, nada más, y por eso tenemos que esperar que desaparezca Jerónimo para entronizar a la Iris con su hijo en brazos, aunque me digan que no los cardenales a mí qué me importa si tengo la fortuna de Jerónimo en mis manos y puedo construir con ella el santuario que haga perdurar el nombre que ellos quisieron sepultar, ustedes, mientras tanto, aquí conmigo, tranquilas, no, no se van a morir, el niño va a alcanzar a hacer su milagro antes de que mueran para llevarlas al cielo, a un sitio exactamente igual a éste, pero tenemos que esperar, esperar todas cantando y rezando, pero también jugando al canódromo con que las voy despojando de todo, las viejas tiritan de frío en la capilla, no tienen zapatos, yo hago un montón a mi lado con las cosas que voy ganando y después las guardo para el niño, nada es para mí, todo será para el niño, ahora pañales, algodón, colonia, talco del mejor, cirios, flores, después serán otras sus necesidades y puede necesitar alguna de estas cosas que les he ido ganando a las viejas, yo siempre soy la perra amarilla, no puedo desprenderme de ella, tengo la obligación de hacerla correr por los montes y los caminos y por los campos y hacerla vadear esteros y lagos, en mis manos revive, no es que quiera ganarles las cosas, pobres viejas, para qué necesito mugres si no es para elegir la más mugrienta y apolillada para cambiarla por otra prenda un poco menos sucia y rota que llevaba puesta, yo no quiero ganar, es la perra la que me obliga a ganar corriendo por la pista, uno, dos, tres, cuatro, agua, atrás, dos, tres, tú, Rita, tú Rosa, a mí ahora, la sombra de la perra amarilla es enorme sobre el muro y vibra y corre mientras los cirios se consumen y mi pila de harapos para el niño, por si acaso, porque la perra amarilla me impone la servidumbre de hacerla ganar una y otra vez, crece y crece mi montón de porquerías que las brujas me entregan llorosas, sus pobres talismanes que no quiero yo sino la perra que corre por las paredes de la capilla execrada donde la Iris y el niño presiden entronados, y las viejas lloran, tienen que jugar, ellas, como yo, obedecemos a la perra, somos ávidas, nuestras manos arrancan vestiduras, se apoderan de relojes descompuestos, del calendario con la última página de hace siete años, de las zapatillas, de la media impar, de la gorra de bañista color frambuesa, gané, gané, la perra amarilla ganó otra vez porque es invencible y yo grito y les arrebato lo que me ruegan que no les cobre aunque yo no quiero abusar con estas ancianas, no quiero despojarlas, pero la perra amarilla quiere, yo la obedezco porque así corre y ladra y le aúlla a la luna y vadea charcos, uno, dos, tres, cuatro, cinco, seis, me toca otra vez, qué suerte misiá Inesita, ya empezó, cinco, uno, dos tres, cuatro, cinco, enorme en la pared su sombra, las viejas no ven qué grande y qué viva es la sombra de la perra porque ellas sólo ven mi tablero y el miedo de que les arrebate unas varillas de paraguas, una bufanda desteñida, eso ven, corre, corre, perra, ya Iris, deja a tu niño para que te lo cambien, ven a jugar conmigo, qué cosa apuestas, bueno, me gusta tu abrigo café, contra él van las zapatillas estas que eran de la Rosa Pérez, tira tú primero, cuatro, uno, dos, tres, cuatro ahora la perra blanca, uno, dos, mala suerte, y corre la perra azul por el tablero y la perra colorada por el tablero, pero la perra amarilla corre y corre ensangrentándose las patas para llegar primero a la meta y así yo arranqué el abrigo café de los hombros de la Iris que trata de impedírmelo, tengo frío, pero a mí no me importa aunque me da pena que la beata tenga frío, lucho por quitártelo porque la perra lo quiere, qué te importa que te dé frío, Iris, ya tuviste a tu niño así es que ya no estás inflada, bueno, si quieres, como un gran favor, porque eres la beata, mañana te daré la revancha para ver si me puedes ganar el abrigo de vuelta para que no tengas frío, tú con tu guagua amorosa en tu cama sí que no vas a pasar frío, las guaguas calientan mucho cuando duermen en la misma cama que su mamá, y yo no me caliento con nada, mis huesos se van enfriando más y más y más y más y no sé qué hacer para que se calienten.
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