Translation for "banne" to spanish
Translation examples
quelques boutiquiers avaient commencé à abaisser leurs bannes ;
algunos tenderos habían empezado a bajar los toldos;
Elle se tenait avec Piet sous la banne de la librairie ;
Ella y Piet permanecieron bajo el toldo de la librería;
Quelques passants s'étaient réfugiés à l'abri de la banne, sur la terrasse.
Unos viandantes se habían refugiado bajo el toldo, en la terraza de la cervecería.
Un vendeur de rhum et de gâteaux ouvrit son kiosque et installa la banne.
Un vendedor de bizcochos borrachos abrió su puesto y sacó el toldo.
La boutique du fleuriste offrait toujours ses bouquets sous la banne de sa devanture.
La florista continuaba vendiendo sus capullos bajo el toldo.
Les buissons s’agitaient, les bannes claquaient aux devantures, les rambardes des galeries faisaient un bruit de ferraille.
Los matorrales se agitaban, los toldos batían sobre los escaparates y las barandillas de los porches repiqueteaban.
Elle se promena tranquillement en tâchant de profiter au maximum de l’ombre prodiguée par les larges bannes des magasins.
Caminó con ligereza por la acera, cuidándose de no salirse de la sombra que proporcionaban los amplios toldos de las tiendas;
J'allai m'installer sous la banne d'un petit bistrot situé à l'angle de la rue des Deux-Ponts.
Me instalé bajo el toldo de un pequeño café situado en la esquina de la calle de Deux-Ponts.
Mais la banne de la guimbarde date des premiers temps des bannes, quand la technologie, solide pour tout ce qui est toile et trame, se souciait cependant peu de l’imperméabilité, c’était un siècle et un endroit faits pour des gens capables de laisser sécher leurs vêtements sur leur corps, avec, et ce n’était même pas toujours le cas, un verre d’eau-de-vie pour unique protection.
Pero el toldo de la galera viene de los primeros tiempos de los toldos, la tecnología, sólida en la tela y en la trama, cuidaba poco de impermeabilidades, era el siglo y el lugar de las personas capaces de secarse la ropa en el cuerpo teniendo por toda protección, y no siempre, un vaso de aguardiente.
En face du Corner Pocket, de l'autre côté de la rue, se trouvait une entreprise de pompes funèbres: DESPEGNI FUNERAL PARLOR, lisait-on sur la banne.
Enfrente del Corner Pocket había una funeraria; POMPAS FÚNEBRES DESPEGNI, se leía en el toldo verde.
« Tiens, dit Piet à Marta en écartant la banne qui les protégeait du soleil pour qu’elle puisse se hisser sur la rambarde.
—Mira —le dijo Piet a Marta, apartando la marquesina para que pudiera trepar por las riostras—.
Carlene attendit sous une banne tandis que Kiki sortait sous la neige pour héler un taxi.
Carlene esperó bajo una marquesina mientras Kiki, arrostrando la humedad, buscaba un taxi.
Des bannes rouges abritaient les vitrines de luxueuses librairies et parfumeries, lesquelles alternaient avec des représentations diplomatiques étrangères.
Marquesinas rojas protegían los escaparates de las librerías y perfumerías de lujo, que alternaban con las oficinas de burócratas extranjeros.
Une fois dans la rue, loin du consulat, il adopta le pas nonchalant du flâneur, passant devant les bannes rouges et les vitrines scintillantes.
Cuando salió a la calle y se alejó del consulado, redujo el paso, adoptando el aire de un paseante sin rumbo fijo al pasar frente a las marquesinas rojas y los espléndidos escaparates.
Trois pâtés de maisons plus loin, sous la banne d’un mont-de-piété, Levi aborda un jeune Noir qui lui indiqua avec précision son chemin, avec des mots que Levi comprit.
Tres calles más allá, bajo la marquesina de una tienda de empeños, Levi preguntó la dirección a un hermano joven, que le dio indicaciones concretas en una lengua que él reconoció.
La bourgade était un entassement de joyeux bâtiments trapus, certains encadrés de fausses façades en demi-étage au-dessus de bannes et de vitrines, un ou deux en pierre calcaire et trois au moins en briques solides.
El pueblo consistía en unos alegres, macizos y abigarrados edificios, algunos enmarcados con medias fachadas sobre marquesinas y escaparates, un par de ellos de piedra caliza y al menos tres de ladrillos macizos.
Ce jour-là, nous reposant, nous allâmes au Louvre… Sur les trottoirs, ils sont larges à Paris… Sous des bannes de toile, des cafés, des tables, des tables… Il y avait des toilettes… beaucoup de monde… des étrangers… On a peine à y croire ; cela semble un rêve. Des cochers, en chapeaux haut-de-forme, avec de longs fouets… Aux petites tables, on mange des glaces, des bouchées-zéphyr, des croquettes… On boit quelque chose de coloré… Que de lumière ! C’est comme un rêve !… Seigneur, comme un rêve !… Dans des paniers, des pêches, des abricots, des fraises… si grosses !… J’en sens encore maintenant l’odeur… Des chapeaux blancs avec de la dentelle dorée et des rubans… C’était alors la mode… Et des fleurs, des fleurs… à pleines charrettes, à pleins paniers, en gerbes, sur les bras !… Roses, lilas, lis… Je ressens leur odeur sucrée… Je me souviens d’un vieillard étrange avec trois tournesols à la poitrine qui disait, à chacun : « S’il vous plaît, messieurs ! » On lui donnait, et il répondait : « Merci, monsieur ».
Ese día estuvimos descansando, estuvimos en el Louvre… Por las aceras (en París son anchas, con marquesinas de lienzo) cafés con mesas y más mesas… unos modelitos, tantísima gente de toda clase… extranjeros… Costaba trabajo creerlo, parecía un sueño… Dios mío, como un sueño… Melocotones en las cestas, albaricoques, unas fresas tan grandes, incluso ahora huelen… Sombreros blancos con encajes y cintas blancas, esa era la moda. Y flores, flores… carretas enteras, en cestos, en los pechos, en las manos… rosas, lilas, azucenas… Recuerdo su dulce aroma. Recuerdo a un viejecito estrafalario que iba con tres girasoles en el pecho y abordaba a todos: «¡Voyez, monsieur!» Le soltaban dinero y decían: «¡Merci, monsieur!» Pronto hará cuarenta años y aún recuerdo mi primavera.
Depuis longtemps déjà, il méprisait la vulgaire plante qui s'épanouit sur les éventaires des marchés parisiens, dans des pots mouillés, sous de vertes bannes ou sous de rougeâtres parasols.
Desde largo tiempo atrás desdeñaba las variedades corrientes, de todos los días, que florecen en los puestos de mercado en París, en macetas húmedas, bajo toldillos verdes o parasoles rojos.
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