Translation for "back" to spanish
Translation examples
Up jumped the mackerel with his striped back.
Saltó la caballa con su espalda rayada.
21. Rhyming slang : Fleetwood Mac (groupe britannique) / back (« dos »).
[20] Argot rimado: Fleetwood Mac (grupo norteamericano de blues y rock) por back («espalda»).
Elle prit l’habitude de s’entendre surnommée « wet back » et « Latino » par certains de ses camarades blancs, filles ou garçons.
Empezó a acostumbrarse a que algunas chicas blancas y también algunos chicos la llamaran «espalda mojada» y «spi’c», es decir, hispana.
Elle ne prêtait en fait attention à personne – toutes ses pensées tournées vers la fête d’anniversaire qui approchait à grands pas – quand une femme qu’elle croisait l’empoigna brusquement, lui ceinturant le torse comme si Lizzie était un running back des Atlanta Falcons, tentant de franchir la « ligne d’image », comme l’avait appelée une fois sa fille Gwynnie.
En realidad no prestaba atención a nadie, absorta como estaba en la próxima fiesta de cumpleaños, cuando una mujer que pasó por su lado de repente la agarró por la espalda como si ella fuera un jugador de fútbol americano intentando cruzar la «línea de espinaca», como la había llamado en una ocasión su hija Gwynnie.
et Harry, bang, bang, bang, mes mains, tremblez plus, tremblez plus, stop SVP, stop, personne m’aime, personne se soucie de moi, ma tête pense pas de la même façon, ça doit être la descente à cause des drogues, pourquoi dans ces moments-là on s’enfonce, on s’enfonce, alors que quand on plane, ça dure jamais longtemps, on peut que finir par tomber et la chute est interminable et je descends de plus en plus bas, je passe à travers la chaussée pour aller en enfer, personne va me voir courir à travers la nuit, courir plus vite fait ralentir le reste, mais tout va plus vite que moi, et des trous s’ouvrent dans la route, et une palissade en zinc m’empêche de voir les maisons, cours, cours, cours, en plein dans des gens que j’avais pas entendus avant de les voir, vite derrière ce buisson, ils jouent aux dominos, quelqu’un a dû me voir, quelqu’un doit être derrière moi, non, ils sont tous sous le réverbère, quatre hommes à la table, trois qui regardent, deux femmes, celui au bout de la table est adossé à la palissade, il abat un domino, puis un autre, puis un autre, ça fait clac et la table tremble, les femmes crient et rient, et Tina Charles chante à la radio love to love but my baby he loves to dance he wants to dance he loves to dance he’s got to dance, mais personne autour, je les déteste car ceux du ghetto sont pas censés être heureux, personne devrait rire, tout le monde devrait être malheureux, moi j’ai jamais rigolé sauf peut-être deux fois dans toute ma vie, et dire toute ma vie me fait me sentir vieux même si j’ai pas encore vingt ans, et tout ce que j’ai, c’est ma femme, une brave fille, et c’est vers elle que je cours, mais c’est pas la direction et je voudrais seulement m’échapper, ramper avec le genou gauche puis le droit, gauche, droit, gauche, droit, quelqu’un arrose cette haie, gadoue sur mon genou, et dans mon poing, Dieu Alléluia Jésus, fais qu’y ait pas de chien, mais je suis en train de ramper comme un chien dans la cour de quelqu’un, sûrement en territoire PNP car tous les murs sont orange et ces gens sont trop heureux, si seulement j’avais mon gun, ces gens savent pas ce que c’est de tuer ce putain de Christ, pierre dans la gadoue, ouille, ouille, ouille, bomboclat, oh, merde, la femme a entendu, une qui jouait pas, où il est mon gun, mon gun, mon gun, mais elle rit encore et dit un chien errant là-bas, alors je rampe, je rampe, jusqu’à plus entendre les dominos, puis je cours, je cours, jusqu’à la route principale, une voiture miaule, aïe-aïe-aïe, je fais un bond en arrière et je traverse la route en courant jusqu’au talus, je sais pas comment, Dieu seul sait comment, ou Satan, mais je me retrouve sur la voie ferrée, la voie me pousse et me tracte, et me ramène à la cabane, on chante take me back to the track, Jack1 mais c’est la radio dans ma tête qui me ramène là où tout a commencé, et est-ce qu’on va penser que c’était politique, mais c’est politique, le Blanc s’en fout des courses de chevaux, j’me rappelle quand le Blanc et le Cubain ont dit tu connais la différence entre braquer son gun et tirer, et me voici au champ de courses mais il fait trop sombre pour savoir si c’est vraiment un champ de courses, et une traverse suit une autre traverse, aucun train doit circuler aussi tard mais y en a un qui passe tôt le matin, avant le chant du coq, et si je me couchais ici pour m’endormir et me réveiller en enfer, non, c’est pas moi qui parle c’est la descente, putain, j’espère que Weeper est retourné à la cabane avec de quoi se faire des rails mais y a pas de cabane, juste une voie ferrée qui va je sais pas où, ça pourrait me ramener à la campagne ou même en territoire PNP, mais au moins ça sent la mer, on a dû l’amener à l’hôpital, un hôpital qui méprise les Rastas, mais t’es là maintenant aux urgences avec plein de docteurs blancs autour de toi, l’infirmière dit il a perdu beaucoup de sang, docteur, et le docteur dit j’ai besoin de bla-bla-bla pour bla-bla-bla sur le bla-bla-bla, et il saisit deux électrodes, il dit écartez-vous et il t’électrochoque le cœur, la musique arrive, pas une jolie musique mais une qui me fait couler la sueur dans le cou, l’infirmière regarde ailleurs et le docteur dit on l’a perdu, tout devient noir, si seulement ma tête voulait bien arrêter de voyager et laisser faire mes pieds parce que là ils vont nulle part, mais voici la lune, une moitié de lune sauf qu’elle est orange, le ciel est noir et rouge, et bomboclat de bomboclat, ma cheville, une bouteille cassée, des rats et de la crotte sur cette voie ferrée, papa disait que la chasse d’eau dans les trains envoie la crotte direct sur la voie et c’est quoi le pire, les bouteilles cassées ou la crotte séchée, je sais pas, je vois la cabane, je peux dérouler une serviette et dormir s’il vous plaît, car c’est pas une maison mais c’est ma maison, de plus en plus proche, qui regarde, qui guette, qui a mis un piège, plus près, plus près, la porte devrait pas s’ouvrir aussi facilement, je sais pas, je dis je sais pas, j’ai envie d’une ligne, envie d’une dose, salaud de Weeper, file-moi une dose, la cabane a jamais paru aussi petite, la fenêtre est toute noire et dedans c’est encore plus sombre et plus noir que noir, et puis je me réveille en train de me noyer jusqu’à ce que je touche du bois. Ça sent le fauve mais j’vois personne.
¿Tendrás suerte, escoria? Y Harry dispara blam blam blam manos dejen de temblarme dejen de temblarme por favor dejen el tembleque nadie me quiere a nadie le importo mi cabeza no se da cuenta de que son las cosas que pasan cuando estás bajando de la droga cuando te da el bajón solo te hundes y te hundes y el delirio no es más que un sitio muy alto del que luego bajas y bajas y caes y nunca dejas de caer y sigues bajando y bajando y pronto te hundes en el camino y por debajo del camino y hasta el infierno nadie me va a ver correr en plena noche si corres más deprisa el mundo irá más despacio pero todo se mueve más rápido que yo y la calle está llena de baches y de vallas de zinc que no me dejan ver las casas corro corro y me topo con una gente a la que no he oído antes de verla corre métete en estos matorrales están jugando al dominó alguien debe de haberme visto debe de haber alguien detrás de mí pues no están todos debajo de la farola cuatro hombres sentaos a la mesa tres hombres mirando a dos mujeres el tipo que va ganando tiene la espalda apoyada en la verja y da un golpe con una pieza de dominó en la mesa y otra y otra dando un golpe tras otro y la mesa tiembla y las mujeres gritan y se ríen y en el radio lo que están poniendo es love to love but my baby he loves to dance he wants to dance he loves to dance he’s got to dance pero aquí no hay más nadie y los odio porque la gente del gueto no debería estar feliz, nadie debería reírse aquí, to el mundo debería sufrir, yo no porque yo sí que no me río nunca, yo me debo haber reído dos veces na más en la vida entera y cuando digo mi vida entera me parece que estoy viejo pero todavía yo no cumplí ni veinte y lo único que tengo en el mundo es a mi mujer y ahora vuelvo corriendo con ella pero no vuelvo corriendo con ella lo único que quiero es desaparecer y esconderme con la rodilla izquierda y luego la derecha la izquierda y la derecha la izquierda y la derecha alguien regó este seto tengo fango en las rodillas y en los puños Dios aleluya Cristo que no haya perros por aquí porque estoy gateando como un perro por el jardín de una casa y esta debe de ser zona del PNP porque todas las vallas están pintaditas de naranja y la gente está demasiao contenta coño yo debería tener aquí mi arma esta gente ni sabe cómo se mata al cabrón Jesucristo hay una piedra en el fango au au au au pinga cojones la mujer me ha oído la mujer que no está jugando dónde está mi arma dónde está mi arma dónde está mi arma pero ella se ríe de nuevo y dice: hay un perro callejero por ahí y yo gateo yo gateo hasta que ella ya no me puede oír y ya no se oye ni el dominó ni na y entonces corro corro corro hasta llegar a la calle principal un carro me grita y yo le contesto con otro grito ¡yiiiiiii! y brinco por la carretera hasta el terraplén no sé ni cómo, solo Dios sabe cómo o quizá el que lo sabe es Satanás pero ya estoy en medio de las vías del tren las vías me empujan de un lao pa’l otro y me llevan de regreso a la caseta alguien canta take me back to the track Jack pero es la radio de mi mente lo que me está devolviendo a como empezó todo esto y tal vez la gente va a pensar que es un rollo político pero es que es político al blanco le importaba un cojón la carrerita de caballos me acuerdo cuando el blanco y el cubano dijeron que había que conocer la diferencia entre apuntar con el arma y dispararla y ahora estoy aquí en el hipódromo pero está demasiao oscuro para saber de verdá si es un hipódromo pero después de un tablón de madera viene otro y a esta hora de la noche no creo que pasen trenes pero hay uno que pasa antes de que amanezca, casi antes de que cante el gallo a lo mejor lo que yo debería hacer es tirarme a dormir aquí en las vías y despertarme en el infierno no, no soy yo quien habla, es la resaca esta, por Dios, espero que Llorón haya vuelto a la caseta y que tenga unas rayas pero no hay caseta y solo hay unas vías que van pa todas partes hasta me podrían llevar de vuelta al campo o hasta a una zona del PNP pero yo huelo el mar segurito ahora se lo llevarán pa un hospital pero a un hospital que desprecia a los rastas y ahora estás en urgencias rodeao de médicos blancos y esos médicos dicen «necesito bla bla bla bla para bla bla bla bla en el bla bla blastato» luego uno agarra dos paletas dice apártense y te mete una descarga eléctrica en el pecho la música sube de volumen no es una música bonita sino de esa que me hace sudar el pescuezo la enfermera quita primero la mirada y el médico dice: se nos fue, todo el mundo se puso negro ojalá mi cabeza dejara de volar y les cediera ese trabajo solo a mis pies porque no están yendo a ningún lao pero aquí la luna está partida por la mitá y anaranjada el cielo negro y rojo y yo el comemierda que soy se ha descojonao un tobillo, botellas ratas y mierda en las vías del tren mi padre dice que los inodoros del tren vacían la porquería directamente en las vías y cosas peores, botellas rotas o mierda seca no lo sé ahí está la caseta puedo tirar una toalla en el suelo y dormir por favor porque esto no es una casa pero ahora es mi casa y cada vez más y más cerca y quién mira quién vigila quién tiende la trampa más y más cerca la puerta no debería abrirse con tanta facilidad no lo sé digo que no lo sé necesito una raya necesito volarme la cabeza Llorón maricón dame una raya la caseta antes no parecía tan pequeña al otro lao de la ventana se ve to negro y dentro cada vez está más oscuro y luego negro por completo y luego me despierto ahogándome hasta que toco madera. Huelo a un hombre sucio aquí dentro conmigo pero no veo a nadie.
Mais, on s'est dit, pourquoi pas faire ça sous forme de flash-back ?
Por eso hemos pensado ¿por qué no hacerlo como un salto atrás?
Ainsi prend fin le premier épisode du flash-back.
Así termina el primer episodio de su mirada atrás.
Un glissement en douceur – pas de flash-back ni de sueurs en pleine nuit.
Una bella pendiente suave: nada de vueltas mentales hacia atrás ni de sudores nocturnos.
Sur quoi, pour mettre les choses au clair, Paul se lance dans un long flash-back.
A continuación, para aclarar las cosas, Pablo lanza una larga mirada atrás.
— Et donc, on pourrait faire un numéro de flash-back où c'est Antonio qui le réciterait. On a répété. » Ha.
—Pues que podemos hacerlo como un salto atrás, solo que contado por Antonio. Hemos estado ensayándolo. ¡Ah!
Et qu’un jour, en dépit de flash-back occasionnels proches du syndrome post-traumatique, elles seraient remises de leur année d’esclavage et fières d’avoir survécu au boulot d’assistante le plus dur du monde.
Que un día volverían la vista atrás para contemplar aquel año de esclavitud y, a pesar de algún que otro momento de estrés postraumático, se sentirían orgullosas de haber sobrevivido al más duro trabajo de asistente del mundo entero.
Le lendemain, un dimanche, ils avaient roulé à travers la campagne qui faisait demi-tour vers l’automne, et moins d’un mois après ils dansaient au son des Swinging Johnsons jouant Too Late to Turn Back Now.
Al día siguiente, domingo, pasearon en coche por el campo, que perdía el aspecto invernal a pasos agigantados para regresar al otoño, y menos de un mes más tarde estaban bailando al son de The Swinging Johnsons: “Demasiado tarde para echarse atrás”.
Dans un flash-back, je me suis revu chargeant une statue grandeur nature de la muse Calliope sur mon char du soleil. Ce jour-là, le poids de mon ornement de capot m’avait fait chuter en piqué et m’écraser en Chine : en était né le désert de Gobi.
Me acordé de cuando instalé una estatua de Calíope de tamaño real en mi carro solar y el peso añadido me hizo caer en picado en China y crear el desierto de Gobi. Leo miró atrás, con la cara manchada de hollín.
et découvrant qu’elle pouvait même se souvenir du nom du groupe venu de Boston (The Swinging Johnsons, plutôt rigolo) et de la chanson sur laquelle ils avaient ouvert le bal devant tous leurs amis : une reprise de Too Late to Turn Back Now[23], de Cornelius Brothers and Sister Rose.
y descubrió que incluso recordaba el nombre del grupo de Boston (The Swinging Johnsons, qué gracioso[2]) y la canción que habían bailado delante de sus amigos, una versión de “Demasiado tarde para echarse atrás”, de Cornelius Brothers y Sister Rose.
— Hello, hello, it’s good to be back
—Hola, hola, qué bueno volver a…
— Il aurait fait le ménage sur le marché et Sweno aurait pu faire un come-back », répondit Lennox. Malcolm acquiesça.
—Habría despejado el campo para que Sweno pudiera volver —dijo Lennox. Malcolm asintió.
Rien d’étonnant à ce qu’il n’ait pas réussi son come-back, après la guerre, quand il avait perdu contre Neusel et contre Vogt.
No es de extrañar que, después de la guerra, cuando perdió en Hamburgo contra Neusel y Vogt, no pudiera volver al cuadrilátero.
Le sujet du jour était : « Si je pouvais remonter dans le temps », si bien que William et Sunil passèrent toute la séance à fredonner la chanson de Cher, If I Could Turn Back Time.
El tema de la sesión era «Si pudiera volver en el tiempo», y eso significó que William y Sunil estuvieron una hora y media tarareando o silbando la canción de Cher sin darse cuenta.
Avant que le « flash-back » puisse être considéré comme définitivement terminé et que la lumière des projecteurs puisse être de nouveau braquée sur le samedi, il ne reste plus qu’à rendre compte du déroulement chez Mme Woltersheim de la soirée du vendredi et de la nuit du vendredi au samedi.
Antes de considerar definitivamente terminado el reflujo y volver al sábado, falta informar sobre lo que sucedió la noche del viernes al sábado en casa de la señora Woltersheim.
Pour Thomas Harris Get me a gun Go back into my room I’m gonna get me a gun One with a barrel or two You know I’m better off dead than Singing these suicide blues.
Para Thomas Harris Me haré con un arma, volveré a mi habitación. Voy a hacerme con un arma, una con un cañón o dos. Mejor estar muerto que cantando este blues del suicidio.
Son parfait come-back.
Su perfecto regreso a los escenarios.
Bousille le come-back de maman.
Jódele el regreso a tu mamaíta.
J’ai raté le plus grand come-back de l’histoire du football américain.
¡El más grande regreso en la historia del futbol americano y no lo vi!
Bend, oh, bend your mains’l, we’re back to Yankeeland –
Inclinad, inclinad vuestras mayores, vamos de regreso a la tierra de los yanquis
Je vais bientôt faire mon come-back. — On s’ennuie sans vous, Nate. Il raccrocha lentement et se repassa leur dialogue.
Ya es hora de que regrese. –Aquí ha sido todo muy aburrido. Nate colgó muy despacio y volvió a repasar las palabras de su secretaria.
Pilton a fait un come-back avec son album solo d’un concept nouveau, Craighouse, basé sur son expérience en hôpital psychiatrique.
Pilton regresó con un elepé en solitario titulado Craighouse, una creación conceptual basada en sus experiencias en el psiquiátrico.
Rose Angrush Zimmer faisait un come-back depuis le lit de son infirmité – mais on ne retourne jamais que d’où on est parti.
Rose Angrush Zimmer estaba preparando su regreso desde el lecho de la enfermedad… si bien uno solo podía regresar hasta donde lo había dejado.
Elle repartit peu après, et pour autant que je sache, elle n’est jamais revenue. Mais je vis dans la terreur qu’elle ne tente un come-back, un de ces jours.
Volvió a marcharse de la ciudad poco después y, que yo sepa, desde entonces no ha regresado. Vivo con el constante temor de que regrese algún día.
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