Translation for "aurore" to spanish
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Et pleura jusqu’à l’aurore.
y lloró hasta el amanecer.
C’est l’aurore du monde.
Es el amanecer del mundo.
Nous serons rentrés d’ici l’aurore.
Volveremos al amanecer.
Quels glaciers, quelles aurores !
¡Qué glaciares, qué amaneceres!
— Nous serons partis aux aurores.
–Nos iremos al amanecer.
Il a téléphoné aux aurores.
Ha telefoneado al amanecer.
Il faut que je me réveille à l’aurore.
Tengo que levantarme al amanecer.
La triple aurore sera bientôt sur eux.
El tercer amanecer está casi sobre ellos.
— Nous attendrons l’aurore… Milva ?
—Esperaremos hasta el amanecer... ¿Milva?
Je reviens toujours à l’aurore.
Yo siempre vuelvo al amanecer.
C’est l’aurore, ou l’aube.
Es la aurora, o el alba.
Ce n’était pas l’aurore, c’était l’aube;
No era la aurora, era el alba;
L’aurore approchait.
El alba se iba acercando;
L’aurore était passée depuis longtemps ;
El alba había pasado;
C’était l’aurore, tout était désert.
Era al alba; el lugar estaba desierto.
Pour marcher vers l’aurore.
para caminar hacia el alba.
C’est qu’ils doivent se lever à l’aurore.
Y es que deben levantarse al alba.
— Aurore… C’est un joli nom.
Alba. Qué nombre más bonito.
— Un samedi matin aux aurores ?
–¿Al romper el alba, un sábado?
Et je vis ma dernière aurore.
Y presencié mi última madrugada.
Avec lui s’en fut l’aurore chevauchant la lune.
«Con él partió la madrugada, cabalgando la luna.»
La fête bat son plein jusqu’aux aurores.
La fiesta no decae hasta la madrugada.
Ils sont restés au chevet de mon fils jusqu’aux aurores.
Se quedaron junto al crío hasta la madrugada.
Tous les matins je me lève aux aurores.
Todas las mañanas me levanto de madrugada.
C’étaient ces bêtes qui propageaient l’aurore à travers les plaines.
Esos animales traían la madrugada a las llanuras.
– Vous allez encore nous faire lever aux aurores ?
—¿Otra vez nos va a obligar a levantarnos a la madrugada?
Ce dimanche-là, aux aurores, le téléphone sonne.
En la madrugada del domingo, el teléfono la despierta sobresaltada.
-8h30. — Mais pourquoi on va a l’école aux aurores ?
—A las ocho y diez. —Pero ¿por qué hay que ir al colegio de madrugada?
C’est plus facile que d’attendre l’aurore et l’envolée des canards sauvages.
Es más fácil que esperar los patos salvajes de madrugada.
— L’Aurore était donc à vous ?
—¿La Aurora era tuya?
fit Mannering. — Aurore, répondit Frost. — Aurore. — C’est ça.
—preguntó Mannering. —Aurora —dijo Frost. —Aurora. —Eso es.
Une miraculeuse aurore;
Una milagrosa aurora;
Les aurores se volatilisent.
La aurora se disipa.
Il s’est approché d’Aurore.
Se acercó a Aurora.
À nouveau l’aurore.
De nuevo la aurora.
— Le projet Aurore ?
-¿El Proyecto Aurora?
Le visage de Maria Cláudia ressemblait à une aurore printanière.
—el rostro de María Claudia parecía una alborada de primavera.
Telles furent les merveilles qu’accomplit la vierge d’Alca à l’aurore de sa glorieuse éternité: elles avaient la douceur et le vague de l’aube.
Tales fueron los milagros que realizó la virgen de Alca en los comienzos de su gloriosa eternidad, y que tenía la vaga dulzura de las alboradas.
Leonov, mille fois plus brillant que le soleil de midi, à cet endroit du système solaire, avait fait naître une aurore trompeuse sur le monde qu’il quittait pour toujours.
Era la propia Leonov, muchas veces más brillante que el sol joviano del atardecer, que había causado una falsa alborada al mundo que abandonaba para siempre.
Par la suite, et durant nos trente années de vie commune, j’ai contemplé les couleurs de l’aurore dans l’espoir de ressentir un jour autre chose que de la terreur.
A partir de entonces, y durante los siguientes treinta años que pasamos juntos, contemplaba los colores de la alborada esperando sentir cualquier cosa menos terror.
C’est cela qui sonne si juste ; cela qui égalise toutes choses, le soir de la bataille et son aurore, la petite fourmi et l’Éternité, le puits profond et les étoiles, comme dans le souvenir d’un homme qui va mourir.
Y eso es lo que suena tan bien afinado, lo que lo iguala todo con el mismo rasero, la tarde cayendo tras la batalla y la siguiente alborada, la hormiguita y la Eternidad, el pozo hondo y las estrellas, igual que en los recuerdos de un hombre que va a morir.
Qu’on n’aille pas imaginer, toutefois, que l’esprit des chiens est comme un nuage paisible qui passe imperceptiblement, une aurore printanière baignée de lumière douce, un bassin dans un jardin où voguent des cygnes blancs, s’il en était ainsi Trouvé ne se serait pas mis soudain à glapir plaintivement, Et moi, et moi.
No se piense, con todo, que el espíritu de los perros es una nube bonanzosa que levemente pasa, una alborada primaveral de suave luz, un estanque de jardín con cisnes blancos deslizándose, si así fuese no se habría puesto Encontrado, de súbito, a gemir con tanta lástima, Y yo, y yo, decía.
Et maintenant, en attendant l’arrivée d’Adalberto, il y a une chose qui m’intrigue, à quoi est due cette bonne entente entre le latifundium et la garde, Est-ce de la naïveté de votre part ou de la distraction, nous en sommes à ce stade du récit et vous avez encore des doutes, ou alors est-ce une ruse, vous faites semblant de douter, ce sont peut-être des artifices de rhétorique, un effet de répétition, mais quoi qu’il en soit même un enfant sait que la garde est ici pour garder le latifundium, Le garder contre quoi, il ne peut pas s’enfuir, Contre les dangers du vol, du pillage et autres perversités, car ces gens dont nous n’avons cessé de parler sont de mauvaise caste, imaginez-vous que des misérables qui, toute leur vie durant et durant celle de leurs parents et grands-parents, et celle des parents de leurs grands-parents, ont eu faim, ne vont pas convoiter le bien d’autrui, Est-ce donc mal de convoiter, C’est le pire qui soit, Vous vous moquez de moi, Bien sûr, mais il ne manque pas de gens ici pour prendre au sérieux l’idée que cette horde de culs-terreux veut voler les terres, ces très saints domaines qui viennent de loin, et donc la garde a été envoyée ici pour leur faire respecter l’ordre, pas même un soupir n’est toléré ici, Et la garde aime ça, La garde aime, la garde a ses compensations, l’uniforme, la botte, la carabine, l’autorité d’en user et d’en abuser, et la gratitude du latifundium, je m’en vais vous donner un exemple, pour cette opération militaire extraordinaire, le caporal Tacabo va recevoir plusieurs décalitres d’huile, plusieurs cargaisons de bois, et le garde, lui, si l’autre en reçoit soixante-dix, en recevra moins pour des raisons de hiérarchie, mais il en aura trente ou quarante, dans ces cas-là le latifundium est très correct, il ne manque jamais d’honorer ce genre de dettes et malgré tout la garde est facile à contenter, j’imagine ce que ça sera à Lisbonne, à huis clos, De bien tristes histoires, Ne vous mettez pas à pleurer, que feriez-vous si vous deviez venir de loin avec un sac de bûches sur le dos après avoir déboisé, haletant comme une bête de somme, et que la garde surgisse au milieu du chemin, arme braquée sur vous, haut les mains, qu’est-ce que vous transbahutez là, vous répondez, je viens d’ici ou de là, et ils s’informent pour savoir si c’est vrai, car si c’est faux, tu nous le paieras, Plutôt José Gato, au moins lui, Plutôt José Gato, mais le pire encore c’est de tomber plus loin sur une charretée de six cents ou sept cents ou mille kilos de bois bien scié et bien rangé destinée aux gardes, offerte par le latifundium en paiement de leurs bons et loyaux services, Les gens se vendent pour peu, Se vendre pour peu ou pour beaucoup ne fait aucune différence, le mal ne réside pas dans les centimes ou les millions. La conversation ne se poursuivit pas, d’ailleurs elle n’avait plus d’intérêt, dans la mesure où le narrateur avait pu dire tout ce qu’il avait à dire, c’est son privilège, et maintenant voici Adalberto et son armée, il arrête son automobile, les portières s’ouvrent, c’est une invasion, un débarquement, de là-haut ils adressent de grands signes au berger, mais ce berger est un fainéant, un animal rendu sournois par la solitude, il était assis, assis il est resté et, montrant ostensiblement combien il lui en coûtait, il a fini par se lever et a hurlé, Que se passe-t-il, et le caporal Tacabo fait sonner la charge, à l’attaque, ordonne d’appuyer sur le bouton de la bombe, mieux vaut ne pas prêter attention à ces exagérations guerrières, qu’y pouvons-nous, les occasions sont si rares, le berger a déjà tout compris, la même chose était arrivée à son père, en lui c’est comme une aurore de rires, ça se voit à la plissure de ses yeux, c’est à se rouler par terre, Alors, on fait ça sans demander l’autorisation, la question émane du caporal Tacabo qui fulmine, seigneur de la loi et de la carabine, Amende de cinq escudos par tête de brebis, calculons, six cents brebis à cinq escudos, six fois cinq font trente, mettons maintenant les zéros, un jeu d’enfant, trois mille escudos d’amende, la pâture revient bien cher, alors le berger dit, Y a sûrement erreur, les brebis elles sont au patron qui m’écoute et moi je suis sur ses terres à lui, Hé ho, qu’est-ce que tu nous chantes là, s’est fâché le caporal Tacabo, le soldat qui l’accompagnait s’est mis à regarder les nuages et Adalberto, raccommodant les choses, Alors, comme ça, tout ça m’appartient, Oui, monsieur, et moi je suis le berger de ces brebis, ces brebis sont à vous, Muses chéries, disparaissez, la chanson est finie.
Ya se apea Adalberto a la puerta del puesto de la guardia, es una nube de polvo, y aunque el cuerpo le pese por la edad y otros excesos, entra ligero, el espacio no es holgado pero aun así permitió sin demasiado embarazo el paso y la consignada operación de entrar y salir en el tiempo de los treinta y tres escudos, han de acordarse, y cuando sale lleva compañía, es el cabo Tacabo y un número, se meten en el coche, Dios santo, doña María, adonde irá la guardia con esas prisas, no lo saben las viejas del poyo de la puerta, pero sí lo sabemos nosotros, vienen aquí al rebaño que paciendo está, mientras el mayoral descansa bajo una encina y los ayudantes dan la vuelta para amparar a los ovinos, con refuerzo de los perros, es maniobra de baja estrategia, pero tiene su aquel, mantener un rebaño tan grande pastando junto, sin excesos de apertura, hasta a una oveja le gusta respirar con amplitud, Y ahora, mientras Adalberto llega, una cosa me preocupa, ese entendimiento perfecto entre el latifundio y la guardia, por qué será, Simplicidad suya, o distracción, estar en este punto del relato y tener dudas todavía, o será quizá astucia o artificio de retórica, efecto de repetición, pero, sea lo que fuere, hasta un chiquillo sabe que la guardia está aquí para guardar el latifundio, Guardarlo de qué, si él no huye, De los peligros de robo, saqueo y perversidades varias, que esta gente de la que venimos hablando es de mala casta, imagine, unos miserables que en toda su vida y en la vida de sus padres y de los abuelos y de los padres de los abuelos no han hecho más que pasar hambre, cómo no han de codiciar los bienes ajenos, Y eso es malo, la codicia, Es lo peor que hay, Se está burlando de mí, Sí, lo estoy, pero hay por ahí quien tome muy en serio que esta caterva de rústicos quiere robar las tierras, las santísimas propiedades que de lejos vienen, y entonces se puso aquí a la guardia para mantenerlos en orden, aquí nadie mueve un dedo, Y a la guardia le gusta esto, A la guardia le gusta, la guardia tiene sus compensaciones, uniforme, bota, carabina, autoridad para usar y abusar, y la gratitud de los latifundistas, voy a darle un ejemplo, por esta operación militar extraordinaria, el cabo Tacabo recibirá unas decenas de litros de aceite, unos carros de leña, y el guardia, si el otro recibe setenta, recibirá un poco menos, por cuestión de jerarquía, pero se llevará sus treinta o cuarenta, en eso el latifundio es muy cumplidor, nunca queda a deber lo que le hacen, y la guardia, además, es fácil de contentar, imagino lo que pasará en Lisboa a puerta cerrada, Son casos tristes, No se ponga a llorar, entonces qué haría si viniera de lejos con un saco de astillas a cuestas, tras el desmate, cargado y jadeando como un animal de carga, y le sale un guardia al camino, apuntándole con el arma, manos arriba, qué es lo que llevas ahí, y responder, vengo de tal sitio y tal otro, y ellos van a ver si es verdad, y si no lo es, que Dios le ayude, Mejor José Gato, al menos ése, Mejor José Gato, pero lo malo es encontrarse un poco más adelante con una carrada de seis o setecientos o mil kilos de leña bien serrada e igualada para los guardias, oferta del latifundio en paga de sus buenos y leales servicios, Hay gente que se vende por muy poco, Venderse por poco o por mucho no es diferente, lo malo no está en que sea por un céntimo o por un millón. No siguió la charla, no interesaba ya, pero pudo el narrador decir lo que quería, éste es su privilegio, y ahora sí, ahí está Adalberto y su ejército, se paró el coche, se abren las puertas, es una invasión, un desembarco, y desde lo alto hacen grandes gestos al mayoral, pero este mayoral es un vago, un animal curtido en estas soledades, sentado estaba, sentado se queda, y por fin, mostrando ostentosamente el trabajo que esto le cuesta, se pone en pie y pega un grito, Qué pasa, y el cabo Tacabo manda tocar a la carga, al ataque, apretar el botón de las bombas, mejor es no hacer caso de estas exageraciones bélicas, qué le vamos a hacer, tienen tan pocas oportunidades, ahora ya el pastor se ha dado cuenta de todo, lo mismo le ocurrió una vez a su padre, todo en su interior es una alborada de risa, se le nota en las arruguillas de los ojos, está a punto de revolcarse en el suelo, Crees tú que se puede andar así, sin pedir permiso, la pregunta es del cabo Tacabo, que fulmina, señor de la ley y de la carabina, Multa de cinco escudos por cada oveja, hagamos cuentas, seiscientas ovejas a cinco escudos, seis veces cinco treinta, vamos a ponerle los ceros, qué broma, tres mil escudos de multa, muy caros están los pastos, y entonces dice el pastor, Hay aquí un error, las ovejas son del patrón que me está oyendo, y yo estoy en tierras que son suyas, Oh, qué has dicho, se indignó Tacabo, el número miró a las nubes, y Adalberto, mosqueado, Entonces esto es mío, Sí señor, y yo soy el mayoral de estas ovejas, estas ovejas son suyas, Musas queridas id, se ha acabado la canción.
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