Translation for "apporté sur moi" to spanish
Apporté sur moi
Translation examples
— Je ne l’ai pas apporté avec moi.
—No lo traje conmigo.
Je t’en ai apporté un.
Te traje uno para que lo quemes.
– Tu n’as pas apporté de costume ? -Non.
– ¿Es que no tienes un traje? – No.
« Je n'ai pas apporté mon maillot.
—No tengo traje de baño.
J’ai apporté le costume !
¡He traído el traje!
— Je vous ai apporté un cadeau.
—Le traje un regalo.
Il l’avait apportée d’Espagne.
La trajo desde España.
– Vous les avez apportés du Japon ?
—¿Las trajo de Japón?
— Je t’apporte de l’aspirine. »
—Te traje una aspirina.
Il avait apporté une poupée avec lui.
Le trajo una muñeca.
atraído sobre mí
Quelqu’un avait été attiré par leur couleur et les avait apportés là.
Alguien, atraído por su tonalidad, las había recogido y las había llevado hasta allí.
Les deux lions s’étaient séparés trois jours plus tôt, lorsque l’aîné avait été attiré par une odeur irrésistible apportée par la brise d’avant l’aube.
Los dos leones se habían separado tres días antes, cuando el más grande había sido atraído por un perfume irresistible en la brisa fresca de antes del amanecer.
Ces braves marins avaient connu des situations semblables sans perdre courage, mais lorsque la rumeur courut que les femmes avaient apporté le malheur, ils commencèrent à murmurer.
Esos bravos marineros habían pasado por situaciones similares sin perder el ánimo, pero cuando se corrió la voz de que las mujeres habían atraído la desgracia, empezaron a murmurar.
Je t’ai apporté des clients fidèles ! Des gens qui dépensent leurs thunes ! — Barre-toi, il me fait en montrant la porte du doigt. — Alors c’est ça, hein, je suis viré ?
«¡Yo he atraído a algunos clientes fieles que se dejan aquí buenas sumas de dinero!». «Anda y vete, joder», dice señalando la puerta. «De modo que ya está. ¿Estoy despedido?».
Et plus tard, bien après, quand j’ai songé que l’écriture pourrait apporter quelque soulagement à ma solitude et à ma frustration, je l’ai refoulée, m’en suis méfié comme d’un de ces amis vers lequel on revient encore et encore pour chaque fois le quitter rabaissé, mortifié ou gavé d’autosatisfaction.
Y más adelante, mucho después del comienzo, cuando pensé que escribir podría proporcionarme una breve remisión de mi soledad y mis pensamientos reprimidos, lo rehuí, desconfié de ello como de uno de esos amigos hacia los que te sientes atraído una y otra vez, pero que tras cada contacto con ellos salen depreciados, debilitados o demasiado consentidos.
C’est un professionnel de l’intelligence, avec une barbiche pointue à la française et une moustache grise, duveteuse, conquérante, comme un chevalier français, mais son odeur, qu’apporte la tempête, est désagréable : il sent l’hôpital. Et le cigare. Qui diable pouvait donc l’amener à la coopérative du Centre économique, je vous le demande ?
Este señor es un trabajador intelectual; usa barba en punta bien recortada y bigote entrecano y abundante como el de un altivo caballero francés, pero a través de la tempestad se desprende de él un olor desagradable. Un olor de hospital. Y de cigarro. «Me pregunto qué demonio pudo haberlo atraído a la cooperativa de la Economía Central.
Chagall retrouve à la Ruche de nombreux compatriotes attirés, eux aussi, par le prestige de Paris. Lipchitz, Zadkine, Archipenko, Soutine qui maintiendront, autour du jeune peintre, le parfum de sa terre natale. Les auteurs des premières études sur Chagall relevaient déjà que Paris avait influencé sa manière picturale, avait apporté une nervosité frêle et une netteté aux lignes qui répondent avec assurance et justesse à la couleur et pour beaucoup, la commandent.
Al principio, aislado en su pequeña habitación de Impasse du Maine en La Ruche, Chagall encontró numerosos compatriotas a los que también había atraído el prestigio de París: Lipchitz, Zadkine, Archipenko y Sutin, todos ellos destinados a mantener el “aroma” de su tierra natal. Desde su llegada, Chagall quería “descubrirlo todo”. Ante sus sorprendidos ojos, la pintura se le reveló.
Les premières semaines qui suivirent l’arrivée de Vendredi, l’île administrée avait ainsi par la force des choses regagné toute la sollicitude de Robinson, redevenu pour un temps au moins gouverneur, général, pasteur… Il crut même un moment que la présence du nouveau venu allait apporter à son organisation une justification, un poids, un équilibre qui mettraient fin définitivement aux périls qui l’avaient menacée, de même que certains navires n’acquièrent leur tenue de mer normale que chargés d’un certain fret.
Las primeras semanas que siguieron a la llegada de Viernes, la isla administrada había atraído de nuevo, por la fuerza de las cosas, toda la atención de Robinsón, reconvertido durante un tiempo, al menos, en gobernador, general, pastor… Creyó incluso, por un momento, que la presencia del recién llegado iba a aportar a su organización una justificación, un peso, un equilibrio que acabaría definitivamente con los peligros que le habían amenazado, del mismo modo que algunos navíos no adquieren su fondo normal más que cargados con un determinado flete.
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