Translation for "alit" to spanish
Translation examples
Grand-mère est alitée et ne peut plus lire, grand-mère a besoin d’une radio, vraiment, n’ouvrez pas les bagages.
La abuela está en cama y no tiene fuerzas para leer, la abuela necesita la radio, de verdad, no abran las maletas.
L’atroce vérité était que, en lisant ce passage, et malgré ces allitérations ridicules, il avait eu une érection. De savoir maintenant que Cindy s’adonnait à la lecture de ce genre de livres, qu’elle l’affectionnait sans doute, avait rendu la situation bien pire.
El tremendo quid de la cuestión era que el párrafo que acababa de leer, estilo aparte, le había provocado una erección, y el hecho de saber que Cindy Whiting leía y probablemente disfrutaba de aquellas cosas empeoró en cierto modo la situación.
Je cessai de lire pour aller chercher mon téléphone portable ; non pas parce que je voulais passer un coup de fil – ce qui était impossible à cause de la mauvaise réception dans cette partie de Galveston –, mais parce que je désirais jeter un coup d’œil à la photo de la liste trouvée chez Gaynor Allitt.
Dejé de leer y fui en busca del móvil, no porque quisiera hacer una llamada —cosa imposible debido a la mala cobertura en esa parte de Galveston— sino porque quería echar un vistazo a la fotografía de la lista de nombres que había encontrado en la casa de Gaynor Allitt.
Puis, après son départ pour la boutique, les enfants y reviendraient, les uns après les autres, et elle vit, grâce à son imagination qui avait puisé dans la douleur et la nostalgie une force prodigieuse, sa maison et ses occupants comme s’ils étaient présents. Elle vit son seigneur ôter sa djoubba et son cafetan sans son aide, une aide dont elle redoutait qu’il n’ait pris l’habitude de se passer depuis son long alitement. Elle essaya de lire les pensées et les intentions qui tournoyaient sous son front : ressentait-il le vide qu’elle avait laissé derrière elle ? Quelle avait pu être sa sensation en ne trouvant plus trace d’elle à la maison ?
Con su imaginación, que del dolor y la tristeza había extraído una fuerza prodigiosa, vio la casa y su gente como si estuviesen presentes. Vio al señor quitándose la yubba y el caftán sin su ayuda, una ayuda de la que temía que se hubiera acostumbrado a prescindir a partir de su larga convalecencia, e intentó leer los pensamientos e intenciones que le rondaban por la cabeza: ¿Habría sentido el señor el vacío que había quedado tras ella?, ¿qué sensación habría tenido al no encontrar ni rastro suyo en la casa?, ¿no se le vendría su nombre a la punta de la lengua por una u otra razón? Y ahí estaban los hijos que volvían; ahí estaban precipitándose hacia la sala, tras tanto tiempo de desear que llegara la reunión del café;
Elle y soigna Carie et les enfants, ce qui permit à Carie de rester alitée sans se préoccuper d'Edwin et d'Edith.
Wang Amah estuvo con ellos en Chefoo, también, y cuidaba a Carie y a los niños, haciendo posible que aquélla quedase libre de preocupación por éstos.
Je suis restée alitée pendant cinq mois, persuadée que je n’allais pas me remettre et, pendant les périodes où je me sentais mieux, j’ai relu tes premiers livres – tout ce que j’avais lu à dix-neuf ou vingt ans.
Estuve enferma, en cama, durante cinco meses, y estaba bastante convencida de que no me iba a recuperar, y, en los mejores momentos, leía tus primeros libros, que son lo único que leía cuando tenía diecinueve o veinte años.
Pendant les six derniers mois de sa vie, lorsque les médecins eurent abandonné l’espoir de le sauver, il resta alité dans la chambre d’amis des Fanshawe, regardant la cour par la fenêtre, lisant un livre de temps à autre, prenant ses antalgiques et sommeillant.
Durante los últimos seis meses de su vida, después de que los médicos perdieran la esperanza de salvarle, permanecía tumbado en la habitación de invitados de la casa de los Fanshawe, mirando el jardín por la ventana, leyendo algún que otro libro, tomando sus analgésicos, adormilándose.
En revanche, sa mère avait été contaminée par sa passion et elle avait rendu l’âme sous un roman allemand en traduction danoise, elle était alitée et plongée dans la lecture au moment où la mort était venue, rapide et douce, et le livre était tombé grand ouvert sur son visage.
Pero la madre se contagió de su interés y murió mientras leía una novela alemana traducida al danés; estaba tumbada en la cama, leyendo, cuando la muerte se acercó a ella, rápida pero dulce, y el libro se quedó abierto encima del rostro de la buena mujer.
Jahanara Bégum était alitée le plus souvent et habitait chez Saqib et sa famille dans une aile de la vieille maison de Chitli Qabar (l’autre était louée à un jeune homme étrange et méfiant qui vivait au milieu de piles hautes comme des tours de livres d’occasion en anglais ; il en élevait sur son lit et sur toute surface horizontale disponible).
Yahanara Begum pasaba casi todo el tiempo en la cama y vivía con Saqib y su familia en una parte de la antigua casa de Chitlu Qabar (la otra mitad la alquilaban a un joven tímido que vivía rodeado de torres de libros ingleses de segunda mano apilados en el suelo, sobre la cama y en cualquier superficie horizontal disponible).
Les premières à l’affecter de la sorte étaient virtuelles, idéales, et classiques. Il s’agissait des représentations allégoriques des nations du monde dans les caricatures politiques de Tenniel, qu’il découvrit dans les volumes reliés de la revue Punch que son père empruntait à son intention, avec de nombreux autres livres, à la bibliothèque du Bromley Literary Institute, quand il se retrouva alité dans le salon d’Atlas House à l’âge de sept ou huit ans, à la suite d’une fracture de la jambe.
Lo primero que lo afectó en este sentido fueron estímulos virtuales, ideales y clásicos: las figuras alegóricas que representaban las naciones del mundo en las viñetas políticas que Tenniel publicaba en Punch. Su padre solía llevarle los números encuadernados de esta revista, junto a muchos otros libros que sacaba de la biblioteca del Instituto de Literatura de Bromley, durante la temporada en que, a los siete años, tuvo que pasar unas semanas recluido en el salón de Atlas House porque se había roto una pierna.
Le dossier de la police de Portland contenait une liste, photocopiée à partir du livre, des cent un professeurs considérés par Horowitz comme des universitaires empoisonnant l’esprit des étudiants d’aujourd’hui. Lorsque je jetai un coup d’œil à cette impressionnante nomenclature, je ne fus guère surpris de découvrir que près d’une douzaine de noms de la liste de Gaynor Allitt apparaissaient également dans le livre de Horowitz : à savoir Noam Chomsky, Eric Foner, Ward Churchill, Peter McLaren, Gayle Rubin, Caroline Higgins, David Barash, Angela Davis, Alison Jaggar, José Angel Gutierrez et Joseph Massad.
El informe policial de Portland incluía un listado —fotocopiado del libro— de los ciento un profesores que Horowitz había descrito como los académicos que emponzoñaban la mente de los universitarios de hoy en día, y cuando le eché un vistazo no me sorprendió mucho descubrir que casi una docena de los nombres de la lista de Gaynor Allitt también figuraban en la obra de Horowitz, a saber: Noam Chomsky, Eric Foner, Ward Churchill, Peter McLaren, Gayle Rubin, Caroline Higgins, David Barash, Angela Davis, Alison Jaggar, José Ángel Gutiérrez y Joseph Massad.
Sa richesse va d’homonymes (Persia et Per-shore) en onomatopées et allitérations (yaps et yelps, yammers et yowls, growling et grizzling, whickering et whining, snickering et snarling, mumping et moaning) sans compter des listes descriptives dont l’humour naît de la longueur (paraphernalia, insignia, symbols, memoranda, books of recipes, arcana, apparatus, bags and bottles of miscellaneous spells in Artaxerxes workshop), et d’étonnants tours de style : « Le Lunehomme s’évanouit immédiatement dans l’air fin, et quiconque n’a jamais été y voir vous dira quel extrême degré de finesse atteint cet air. » L’ouvrage inclut également nombre d’expressions enfantines – whizz, splosh, tummy, uncomfy – particulièrement intéressantes en ce sens que leurs pareilles se rencontrent rarement dans les ouvrages publiés de Tolkien, ayant été omis ab initio dans ses manuscrits ou bien supprimés lors d’une révision, tel « tummy » qui, dans Le Hobbit devient « estomac ». Ici, aucun doute : ce sont des survivants de la version orale de l’histoire, contée aux enfants Tolkien. Il est réconfortant, aussi, de voir Tolkien inclure, dans Roverandom, des mots comme « paraphernalia », « phosphorescent », « primordial », « rigmarole », car de nos jours un tel langage est regardé comme difficile pour les jeunes enfants. Tolkien là-dessus eût été en désaccord.
Contiene gran número de semihomónimos (Persia y Pershore) y de onomatopeyas y aliteraciones, de listas descriptivas que producen hilaridad por su extensión (tales como «parafernalia, insignias, símbolos, apuntes, libros de recetas, secretos, aparatos, bolsas y botellas con hechizos de diversa naturaleza» en el taller de Artajerjes), así como giros decididamente inesperados «[El Hombre de la Luna] desapareció inmediatamente en el aire tenue; y todo aquel que ha estado allí te dirá lo sumamente tenue que es el aire en la luna». Contiene asimismo palabras y expresiones «infantiles» de especial interés, pues rara vez aparecen en los textos publicados de Tolkien, ya que fueron omitidas ab initio en los manuscritos o eliminadas durante su revisión. En este caso proceden a buen seguro de la historia, pues ésta fue contada originalmente de viva voz por Tolkien a sus hijos. El hecho de que Tolkien también incluya en Roverandom palabras como parafernalia y fosforescente, primordial y galimatías resulta refrescante en estos tiempos, cuando tales palabras se consideran «demasiado difíciles» para los niños, idea que con toda seguridad Tolkien no habría compartido.
Un mois, ou peut-être même une semaine auparavant, je lui avais lu à haute voix de bout en bout et à sa totale satisfaction les épreuves des Travailleurs de la mer de Victor Hugo, un jour où, ne se sentant pas bien du tout, il était resté alité.
Tan sólo un mes antes de aquel suceso, o puede que fuera incluso la semana anterior, le había leído en voz alta las pruebas de su traducción de Los trabajadores del mar, de Victor Hugo, habida cuenta de que él guardaba cama y no se encontraba nada bien.
— Je ne peux pas vous le dire. » Allitt sourit avec amertume et secoua la tête.
—No se lo puedo decir. —Allitt sonrió con amargura y movió la cabeza—.
— À vrai dire, étant donné que mon père est alité, Shinzō donnait des cours à sa place jusqu’à l’automne dernier où il est parti subitement.
—A decir verdad, puesto que mi padre está postrado en cama, Shinzō ha dado las clases en su lugar, hasta el otoño pasado, cuando se marchó súbitamente.
Aux yeux désapprobateurs de l’Église Izrael des hommes et des femmes de bien, ce que Gaynor Allitt avait à dire lui aurait garanti ce sobriquet quand bien même sa façon de s’habiller n’y serait pas parvenue.
A los estrictos ojos de la Iglesia Izrael de los Hombres Buenos y las Mujeres Buenas, lo que tenía que decir Gaynor Allitt sin duda le habría valido ese apodo, aunque no así su manera de vestir.
En vérité, l’ancien était impeccable, le roi s’étant alité à cause d’éternuements et d’une gorge chatouilleuse peu de temps après qu’on nous eut annoncé le décès de Nolieti, la veille, dans les Jardins Cachés.
A decir verdad, el viejo estaba inmaculado, puesto que el rey se había metido en cama aquejado de un pequeño dolor de garganta y unos ataques de tos poco después de que se nos comunicara la noticia de la muerte de Nolieti en el Jardín Oculto, el día anterior.
Et elle est restée alitée toute une journée, en proie à de grands maux, le poison lui rongeant le ventre ; à présent, elle a disparu sans laisser de traces, et ces juifs ont l’effronterie de prétendre que ses cousins l’ont emmenée à Paris.
Y pasó todo el día en la cama con dolores cada vez más fuertes, mientras el veneno le mordía en el estómago, y ahora ha desaparecido sin dejar huella y esos judíos tienen el descaro de decir que sus primos se la han llevado a París.
Il y avait un an qu’elle était alitée et, jusque-là, elle jouissait d’une lucidité exceptionnelle : tous les matins, elle donnait des instructions pour qu’on mît de l’eau à l’autel où se trouvait la tablette funéraire de son mari et elle était capable de rédiger des lettres de remerciements adressées aux personnes qui lui avaient rendu visite.
A pesar de que llevaba cerca de un año postrada en la cama, casi se podría decir que hasta entonces se había mantenido incluso más lúcida que los que la rodeaban. Todas las mañanas pedía que cambiaran el agua del altar familiar, donde se encontraba la tablilla mortuoria de su difunto marido, y a veces se tumbaba boca abajo en la cama y escribía cartas de agradecimiento para la gente que la había visitado.
Ce merveilleux Grand Bazar, raconta Mme Landau, Paul le lui avait décrit en détail, un jour de l’été 1975 où, à la suite d’une opération de la cataracte, il était alité les yeux bandés dans une chambre d’hôpital de Berne, et voyait, comme il l’avait dit lui-même, aussi claires que dans le rêve le plus précis, des choses dont il n’aurait pas cru qu’elles fussent encore présentes en lui.
Una vez, contó madame Landau, Paul le describió aquel emporio con pelos y señales, cuando en el verano de 1975 se recuperaba en un hospital de Berna, con los ojos vendados, de una operación de cataratas y veía —como solía decir, con la claridad del sueño— cosas de las que no había creído que aún moraran en él.
Car est-elle… que c’était un enfant souffreteux, un enfant qui… toujours alité, cloué au lit par l’asthme ou l’otite, une bronchite inguérissable et une angine de poitrine, un peu d’asthme chronique c’est vrai mais des jours d’affilée au lit alors qu’un peu de soleil et d’air frais ne pouv… – sonnez, j’ai mal – une petite clochette en argent posée à côté du museau de la fusée, qu’il faisait tinter pour la convoquer.
Porque fue ella… Él fue siempre un niño enfermo que… Siempre estaba en la cama por el asma o los oídos, la bronquitis constante, la gripe de vías superiores, sí es cierto que tenía asma crónica pero pasaba días enteros en la cama cuando un poco de sol y aire fresco no podían… Una llamada quería decir «me duele»… Tenía una campanilla plateada junto al morro del cohete para llamarla y que ella acudiera.
C’était le soir, juste après le lever du jour. Cette journée fragmentée, aux divertissements artificiels, lui avait littéralement filé entre les doigts, elle s’était volatilisée, ce qui l’étonnait joyeusement, ou du moins le laissait songeur, son jeune âge le préservant de l’épouvante. Il avait tout juste l’impression d’y voir encore. Une bonne dizaine de jours après le début de son alitement, vers cette heure-là, donc avant que Joachim ne revînt du dîner et de la soirée en société, on frappa à la porte ; Hans dit « Entrez » d’un air interrogateur, Lodovico Settembrini apparut sur le seuil et, d’un seul coup, une clarté éblouissante envahit la chambre.
Había caído la noche y podía creerse que apenas había pasado la mañana. Esa jornada dividida y artificialmente abreviada se había disgregado y desvanecido entre sus dedos, como pudo comprobar con sorpresa y reflexión, pues todavía no se hallaba en la edad de espantarse. Un día —quizá habían pasado diez o doce desde que Hans Castorp guardaba cama— llamaron a la puerta a esa hora, es decir, antes de que Joachim hubiese vuelto de la comida y de la hora de conversación que seguía, y a su contestación de «adelante» el interlocutor de Hans Castorp, Lodovico Settembrini, apareció en el umbral al mismo tiempo que una claridad resplandeciente se difundió en la habitación, pues el primer movimiento del visitante tras abrir la puerta había sido el de la lámpara del techo y, reflejada por el cielo raso blanco, una luz temblorosa llenó la estancia.
Cette journée fragmentée, aux divertissements artificiels, lui avait littéralement filé entre les doigts, elle s’était volatilisée, ce qui l’étonnait joyeusement, ou du moins le laissait songeur, son jeune âge le préservant de l’épouvante. Il avait tout juste l’impression d’y voir encore. Une bonne dizaine de jours après le début de son alitement, vers cette heure-là, donc avant que Joachim ne revînt du dîner et de la soirée en société, on frappa à la porte ; Hans dit « Entrez » d’un air interrogateur, Lodovico Settembrini apparut sur le seuil et, d’un seul coup, une clarté éblouissante envahit la chambre. Car le premier mouvement du visiteur, avant de refermer la porte, fut d’allumer le plafonnier dont la lumière, réfléchie par le blanc du plafond et des meubles, emplit instantanément la pièce d’une clarté vibrante.
Aquel día subdividido y artificialmente abreviado se había deshecho entre sus dedos, se había evaporado, como pudo comprobar felizmente sorprendido —o, en el mejor de los casos, pensativo—; porque el horror ante esta fugacidad es algo aún ajeno a su edad. Sus ojos no habían dejado de mirar el mundo del «todavía». Un día —quizás habían pasado diez o doce desde que Hans Castorp guardaba cama— llamaron a la puerta a esa hora, es decir, antes de que Joachim hubiese subido de cenar y de la pequeña tertulia que seguía a la cena, y tras un dubitativo «Adelante», apareció en el umbral Lodovico Settembrini, al tiempo que un fogonazo de luz inundaba la habitación, pues el primer movimiento del visitante, aún con la puerta abierta, había sido dar la luz de la lámpara del techo, la cual, reflejada por el blanco del techo, al instante llenó la estancia de titilante claridad.
Si je me réfère à mes notes, je constate que le 14 avril je reçus un télégramme de Lyon m’avisant que Holmes, malade, était alité à l’Hôtel Dulong.
Al consultar mis notas, veo que fue el 14 de abril cuando recibí un telegrama desde Lyon, en el que se me informaba de que Holmes estaba enfermo en el hotel Dulong.
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