Translation for "afghani" to spanish

Afghani

• afgani
• afghanistan

Translation examples

afgani

Il va vous demander cinq mille afghanis.
Os cobrará cinco mil afganíes.

— Nous n’avons pas trente mille afghanis », fit Ellis en secouant la tête.
Ellis movió la cabeza. – No tenemos treinta mil afganíes.

Ellis compta l’argent et dit à Jane : « Cinq cents afghanis par poisson... ça fait combien ? — Cinq cents afghanis, ça fait cinquante francs. — Fichtre, dit Ellis.
Ellis contó el dinero. – Quinientos afganíes por pescado. ¿Eso cuánto significa? -Quinientos afganíes equivalen a cincuenta francos franceses, cinco libras. – Diez dólares -calculó Ellis-.

Et avait appris, en arrivant à Quetta, qu’on avait mis une prime de cinq millions d’afghanis sur sa tête – mais en Afghanistan seulement.
Fue en esa ciudad donde supo que el precio de su cabeza se había establecido en cinco millones de afganíes. Pero solo en Afganistán.

Et les cinq millions d’afghanis qui auraient pu le rendre riche pour le restant de ses jours ne le tentaient pas le moins du monde.
Para ser justos, la recompensa de cinco millones de afganíes que le harían rico de por vida no lo tentaba en lo más mínimo.

Nahda : littéralement « réveil », renaissance arabe sous l’impulsion de Djamel ed-din al-Afghani et de l’Égyptien Mohamed ‘Abdou.
Nahda: literalmente, despertar, renacimiento árabe impulsado por Yamal al-din al-Afgani y el egipcio Muhammad Abduh.

À trois heures du matin, un défilé militaire descendit la grand-rue de Harat, cornets à piston pétaradant, grosses caisses grondant : le spectacle tenait de ces cauchemars plus que bizarres que font les vieillards dans les romans allemands… Le matin, je demandai à López s’il avait entendu le défilé ; il ne daigna pas me répondre. Il était inquiet, m’avoua-t-il. Tout en coassant comme un agent de change et en agitant désespérément des poignets cliquetant de bracelets, il annonça sa mauvaise nouvelle : le dollar était à 50 afghanis, « du vol ».
A las tres de la madrugada siguiente hubo un desfile que bajó por la calle principal de Herāt, con cornetas y tambores. Era como esas extrañas pesadillas que los ancianos tienen en las novelas alemanas. Le pregunté a López si había oído el bullicio del desfile, pero no hizo caso de mi pregunta. Estaba preocupado, según dijo agitando desesperadamente las muñecas adornadas con brazaletes, porque tenía malas noticias: el dólar se cotizaba a cincuenta afganíes.