Translation for "aboiement" to spanish
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Translation examples
Pas un aboiement de chien.
Ni siquiera un perro que ladrara.
Les aboiements avaient cessé.
Los perros habían dejado de ladrar.
Le chien aboie de nouveau.
El perro vuelve a ladrar.
Dans le fond, des aboiements de chien.
En el fondo se oía ladrar a un perro.
Rex se lève et aboie.
Rex se levanta y se pone a ladrar.
Puis leur parvint l’aboiement d’un chien.
Luego oyeron ladrar a un perro.
Au loin, j’entends Samson qui aboie.
A lo lejos oigo ladrar a Samson.
Vera se lève et aboie.
Vera se pone de pie y empieza a ladrar.
Aboiements de chiens.
Ladridos de perros.
L’aboiement d’un chien.
El ladrido de un perro.
Les aboiements se prolongeaient.
Los ladridos se prolongaron.
Un aboiement me répondit.
Me respondió un ladrido.
Pas le moindre aboiement.
Ni el menor ladrido.
Il entendait leurs aboiements.
Se oían los ladridos.
 Je connais cet aboiement.
—Conozco ese ladrido.
On entend un aboiement.
Oigo unos ladridos.
C’est un aboiement spécial, voyez-vous.
Es que es un ladrido especial.
— Affirmatif, aboie Sick Boy, faisant se retourner tous les engagés présentement assemblés, avant d’ajouter, – on n’a rien à faire sur un navire si on n’est pas beau comme un bateau.
—Afirmativo —ladra Sick Boy, consiguiendo que los novatos congregados se vuelvan hacia él, antes de añadir—: No se puede gobernar un barco sin orden.
Il était passé ! Les gerbes d’eau créées par le Calliope firent tanguer le patrouilleur. Les tireurs perdirent leur cible et leurs obus allèrent se perdre dans la nuit. Alors, tout à coup, les aboiements continus des armes cessèrent sur le patrouilleur.
Luego pasó de largo, y su estela meció al otro barco, desviando el tiro de los cañones, cuyos proyectiles pasaron inofensivamente por encima y se perdieron en la noche. De pronto, las andanadas de la cañonera cesaron.
les seuls bruits, en dehors de la chèvre, étaient les aboiements du maître commandant la manœuvre depuis le gaillard d’avant, les réponses rituelles du timonier, le chant du sondeur dans les porte-haubans : « À la marque, quinze brasses ; à la marque, quinze brasses ; quinze brasses et demie ;
Lo único que se oía, aparte de los berridos de la cabra, eran los gritos del oficial de derrota gobernando el barco desde el castillo, las respuestas rituales del timonel, la cantinela del sondador en el pescante: «¡Marca quince!
En chemin, ils commencent enfin à entendre des cloches de bateaux, des sifflets de quartiers-maîtres en provenance des quais, des enfants turbulents, des aboiements, un charretier au chariot surchargé empêtré dans une congère, et bientôt le bourdon et le susurrement croissants de l’Assemblée.
A lo largo del trayecto por fin empiezan a oír, procedentes del muelle, campanas de barcos y flautas de los contramaestres, niños que se deslizan en trineo cuesta abajo, perros que ladran, un carretero cuya carreta cargada ha encallado en un banco de nieve y, al cabo de un rato, el monótono rumor de las conversaciones y los murmullos de la gente.
De l’autre côté du Fleuve proviennent des Claquements de maillets battant des piquets, les Vociférations d’ajusteurs de pièces de navires, le Couinement des amarres enroulées, des Bruits sourds et des Cris puissants, des cloches de bateaux, toute la journée les aboiements affamés des chiens des fournisseurs, les Appels des vendeurs décrivant leurs marchandises flottantes.
Desde el otro lado del río llegan los ruidos de mazos contra estacas, exclamaciones de obreros que trabajan en los astilleros, el chirrido de las cuerdas agavilladas, chasquidos sordos y gritos que se propagan hasta muy lejos, campanas de barcos, perros de las tiendas de abastecimiento que se pasan el día hambrientos, botes de vivandero cuyos tripulantes pregonan su mercancía.
Le navire amiral rendit la politesse de treize aboiements rapides et hissa aussitôt après un signal demandant à la Surprise de dépasser ses mâts de perroquet : on affirmait que l’amiral perdrait plus volontiers une pinte de sang qu’un espar, et il avait certainement horreur de voir un de ses navires mettre en danger les mâts, vergues, cordages ou toiles qui pouvaient être nécessaires pour l’effort suprême, à un moment inconnu – demain peut-être.
El buque insignia le respondió con otros 13, rápidos y ensordecedores, y de inmediato apareció en el tope de un mástil una señal que ordenaba a la Surprise quitar los mastelerillos, probablemente debido a que, como decían, el almirante prefería perder una pinta de sangre que un palo, y no quería que los mástiles, las vergas, las velas y los aparejos de ningún barco sufrieran daños porque los necesitarían en el momento del supremo esfuerzo, que podría llegar cuando menos lo esperaran… tal vez al día siguiente.
C’est alors, après un autre crescendo prodigieux qui éclaira le ciel et la ville, emplissant les rues d’ombres, que la ligne s’avança pour mettre en jeu les caronades à courte portée, et une autre voix de la guerre se fit entendre : l’aboiement aigre des vrais destructeurs, tirant beaucoup plus vite que les grands canons et des boulets beaucoup plus lourds, si vite et si lourds que le négrier ne put résister à plus d’un passage avant de plonger peu à peu dans une mer étrangement épaissie de sable, comme une sorte de bouillie, résultat du conflit entre la marée et un courant local. — A la serre, à la serre, à la serre, holà ! Le cri parcourut la ligne, et les servants satisfaits amarrèrent solidement leurs canons tout chauds. Le souper vint enfin, très en retard ; et quand le monde eut mouillé tous les navires par vingt-cinq brasses, le quart de repos alla se coucher, toujours souriant ;
Después, tras otra prodigiosa descarga que iluminó el cielo y la población, y que atarugó las calles de sombras, la línea cerró con tal de hacer uso de las carronadas de corto alcance, momento en que pudo oírse otra de las muchas voces que tiene la guerra, el agudo estallido de la genuina descarga que todo lo quebraba, disparada a mayor cadencia que las piezas grandes pese a estar cargada con una bala más pesada que la mayoría, tan rápida y tan potente que el buque negrero no pudo aguantar por más tiempo y emprendió su última travesía al deslizarse a pique y a pique en el mar, que extrañamente había escupido una arena gruesa como gachas, resultado del conflicto que habían entablado la marea cambiante y la corriente. –A batiportar la artillería ahí, a batiportar la artillería -se oyó gritar a lo largo de la línea de barcos, y las sonrientes dotaciones trincaron tesos y bien tesos los encendidos cañones. Por fin se sirvió la cena, sorprendentemente tarde.
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