Translation for "abatteurs" to spanish
Abatteurs
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Translation examples
— Les abat-il ou n’est-ce que la laine ?
—¿Las cría para el matadero, o solamente para la lana?
Elle éprouva une immense tristesse, un abattement semblable à celui des animaux que l’on mène à l’abattoir.
Sintió una tristeza enorme, un abatimiento como el que debían de sentir los animales antes de ser llevados al matadero.
La carborduruile était obtenue à partir de toutes les ordures carbonées : abats, légumes pourris, déchets alimentaires, et même bouteilles en plastique.
El basuróleo estaba hecho de cualquier tipo de desecho que contuviera carbono: residuos de matadero, verduras podridas, vertidos de restaurantes, incluso botellas de plástico.
À la lumière de la lune, un homme lance de grands coups de hache sur les cordes du radeau, un officier tente de l'arrêter, mais eux, ils sautent sur lui et le blessent à coups de couteau, il revient vers nous couvert de sang, nous saisissons nos sabres et nos fusils, la lumière de la lune disparaît derrière les nuages, c'est difficile à expliquer, c'est un instant qui n'a pas de fin, et puis c'est une vague invisible de corps, d'armes, de hurlements qui s'abat sur nous, le désespoir aveugle qui cherche la mort, vite, qu'on en finisse, et la haine qui cherche son ennemi, vite, pour l'entraîner jusqu'en enfer – et dans la lumière qui décline puis disparaît je me souviens de ces corps qui se jettent sur nos sabres et du claquement des coups de fusil, et le sang qui jaillit des blessures, les pieds qui glissent sur les têtes coincées entre les planches du radeau, et ces désespérés qui se traînent, les jambes brisées, jusqu'à l'un d'entre nous, et parce qu'ils n'ont plus d'armes, ils nous mordent la jambe et restent accrochés, attendant le coup et la lame qui, pour finir, vient les fracasser – je me souviens – deux des nôtres qui meurent, littéralement mis en pièces par cette bête inhumaine jaillie du néant de la nuit, et eux qui meurent par dizaines, étouffés, lacérés, qui se traînent sur le radeau en regardant, comme hypnotisés, leurs mutilations, ils invoquent les saints et ils plongent leurs mains dans les blessures des nôtres pour leur arracher les viscères – je me souviens – un homme se jette sur moi, il serre les mains autour de mon cou, et tout en essayant de m'étrangler il ne cesse de gémir « pitié, pitié, pitié », un spectacle absurde, il y a ma vie sous ses doigts, et il y a la sienne à la pointe de mon sabre, qui finit par s'enfoncer dans son flanc puis dans son ventre puis dans sa gorge puis dans sa tête qui roule à l'eau, puis dans ce qu'il reste de lui, bouillie sanglante enfoncée entre les planches du radeau, inutile pantin où mon sabre plonge encore une fois, puis deux puis trois puis quatre puis cinq La première chose c'est
Todos los que ven tierra, ¡Tierra!, o naves en el horizonte. Gritan, y nadie los escucha. Hay uno que escribe una carta de protesta formal al almirante para expresar su indignación y denunciar la infamia y reclamar de manera oficial… Palabras, plegarias, visiones, un banco de peces voladores, una nube que indica el camino de la salvación, madres, hermanos, esposas que aparecen para enjugar las heridas y ofrecer agua y caricias, hay alguien que busca afanosamente su espejo, su espejo, quién ha visto mi espejo, devolvedme mi espejo, un espejo, mi espejo, un hombre que bendice a los moribundos con blasfemias y lamentos, y alguien habla al mar, en voz baja, le habla, sentado en el borde de la balsa, lo corteja, podría decirse, y oye sus respuestas, el mar que responde, un diálogo, el último, otros al final ceden a sus respuestas astutas y, convencidos, se dejan caer en el agua y se entregan al gran amigo que los devora llevándoselos lejos —mientras sobre la balsa, adelante y atrás, continúa corriendo Léon, Léon el muchacho, Léon el chico, Léon que tiene doce años, y la locura se ha apoderado de él, el terror se ha adueñado de él, y adelante y atrás corre de un lado para otro de la balsa gritando sin descanso un único grito madre mía madre mía madre mía madre mía, Léon de la dulce mirada y de la piel de terciopelo corre demencialmente, pájaro enjaulado, hasta matarse, le estalla el corazón, o quién sabe qué, dentro, quién sabe qué para hacer que se desplome de ese modo, de repente, con los ojos desorbitados y una convulsión en el pecho que lo sacude y al final lo arroja al suelo, inmóvil, de donde lo recogen los brazos de Gilbert —Gilbert, que lo quería— y lo abrazan con fuerza —Gilbert, que lo quería y ahora lo llora y lo besa, inconsolable, era extraño ver, allí en medio, en medio del infierno, la cara de aquel viejo que se inclina sobre los labios de aquel niño, era extraño ver esos besos, cómo puedo olvidarlos, yo que vi aquellos besos, yo sin fantasmas, yo con la muerte a cuestas y ni tan siquiera la gracia de algún fantasma o de alguna dulce locura, yo que he dejado de contar los días, pero sé que cada noche, de nuevo, aparecerá aquella bestia, tendrá que aparecer, la bestia del horror, el matadero nocturno, esta guerra que libramos, esta muerte que sembramos alrededor para no morir, nosotros que
matarifes
La ville avait deux abatteurs rituels : Reb Lipé et Reb Avrémelé.
Bilgoray contaba con dos matarifes rituales: reb Lipe y reb Avréimele.
Les Juifs ne commerçaient pas, ne travaillaient pas, mais ne faisaient que parler du rabbin et de l’abatteur rituel.
Nadie atendía a su negocio, y los hombres, en lugar de trabajar, hablaban constantemente del rabino y del matarife.
Les abatteurs rituels de la ville venaient eux aussi lui montrer leurs couteaux avant l’abattage.
También acudían a él los matarifes de la ciudad, para que inspeccionara y diera su visto bueno a los cuchillos que se proponían utilizar.
Rechele était restée à Lublin chez un oncle, Reb Zeydel Ber, un abatteur rituel.
Rechele había permanecido sola en Lublin en casa de un tío, Reb Zeydel Ver, que era matarife oficial.
La viande n’aurait pas dû manquer étant donné que le veau ne coûtait guère. Mais le vieil abatteur rituel avait été tué et aucun autre n’était venu s’installer à Goray.
No había falta de carne, porque las terneras estaban muy baratas, pero el antiguo matarife había sido muerto y no había aún sustituto en Goray;
À Ludomir, les abatteurs rouèrent de coups un maître d’école qui voulait interdire aux gens de manger le dixième jour du mois de Tebet.
En Ludomir los matarifes dieron muchos azotes a un maestro de escuela que prohibía a la gente comer el día décimo de Tebet.
La femme, qui allaitait son enfant, répondit que si l’on voulait du bouillon, elle pouvait envoyer chercher l’abatteur rituel pour tuer une volaille.
La mujer respondió que si quería un caldito podía mandar que buscaran al matarife ritual para que le sacrificara un ave.
Apprenant qu’un abatteur rituel officiait désormais en ville, tous ceux qui tenaient boutique envoyèrent chercher dans la campagne des veaux et des volailles.
Al saber que un matarife ritual había llegado a la ciudad, los mercaderes no perdieron tiempo en hacer en las cercanas aldeas compras de terneras y aves.
La circoncision tomba un jour d’hiver glacial, et le fils de Yoyné envoya un paysan avec un traîneau chercher mon père et le circonciseur, Reb Hénekhl l’abatteur rituel ;
Era un día de invierno con un frío glacial, y el hijo de Yoine envió a un campesino para que recogiera en su trineo a mi padre y a rebHénoj, el matarife ritual y mohel.
Reb Itshé l’abatteur rituel était un vieil homme plein de prestance, érudit et avisé, qui aurait pu exercer son métier dans une ville plus grande.
Reb Itche era un hombre entrado en años, de buen porte, estudioso e inteligente, que por derecho propio podría haber ejercido de matarife en la gran ciudad.
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