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À cet égard, le porte-parole du Ministère des forces armées populaires de la République populaire démocratique de Corée, dans une déclaration datée du 23 septembre, a officiellement confirmé qu'un petit sous-marin école des forces armées populaires était venu s'échouer dans les eaux de la Corée du Sud et exigé que les soldats survivants et les dépouilles des soldats morts nous soient rendus immédiatement et sans conditions.
In this connection, the spokesman of the Ministry of the People's Armed Forces of the Democratic People's Republic of Korea, in a statement dated 23 September, officially confirmed that a small training submarine of the Korean People's Army was stranded in the waters of the south side and demanded that the submarine and the surviving and dead soldiers be returned unconditionally and immediately.
Quelques matériels de campagne constitués essentiellement des pelles d'infanterie utilisées au Darfour (Sud-Soudan) ont été surpris dans le lot des matériels trouvés sur les soldats morts ou partis de Rumangabo.
Some campaign equipment, mainly military shovels used in Darfur (Southern Sudan), was uncovered in the batch of items found on the dead soldiers or those who had left Rumangabo.
Nous devons reconnaître que les véritables victimes des guerres ne sont pas les soldats morts mais les enfants et les vieillards déplacés ou réfugiés, les femmes violées, les jeunes assassinés, les mères qui perdent leurs moyens de subsistance et les travailleurs innocents dont les lieux de travail sont détruits.
We should acknowledge that the real victims of war are not the dead soldiers, but the displaced or refugee children and elderly, the raped women, the murdered youths, the mothers who lose their means of support and the innocent workers whose workplaces are destroyed.
106. Le 4 octobre 1999, le Rapporteur spécial a transmis au Gouvernement, conjointement avec le Rapporteur spécial sur la torture, une série d'allégations concernant les personnes suivantes : Freddy Loseke Lisumbu-La-Yayenga, éditeur du journal La Libre Afrique, arrêté le 22 décembre 1998, aurait reçu 150 coups de fouet et aurait ensuite été interrogé sur la parution d'un article dans son journal publié le même jour; Christophe Bintu et Bienvenu Kasole, deux défenseurs des droits de l'homme, auraient été arrêtés le 12 janvier 1999 et relâchés du camp de Kokolo, le 20 janvier 1999, après avoir été frappés et insultés en raison de leur travail de militants en faveur des droits de l'homme; Jean-Baptiste Makoko, trésorier d'une organisation non gouvernementale s'occupant des droits de l'homme à Kisangani, le Groupe Lotus, aurait été arrêté et frappé le 10 décembre 1997 par trois soldats pour avoir photographié le corps de soldats morts à l'hôpital de Kisangani; Albert Gilbert Bosangi Yema, éditeur en chef des journaux L'Arme et L'Essor Africain aurait été arrêté le 7 février 1998 vraisemblablement à cause d'un article publié dans L'Arme, qui aurait critiqué l'arrestation du président du mouvement politique Forces novatrices pour l'union et la solidarité et qui, selon les informations reçues, souffre de diabète et de rhumatismes et dont l'état de santé se serait détérioré depuis qu'il est détenu; Désiré Rugemanizi, chef de Kabare, aurait été arrêté en janvier 1998 pour avoir critiqué les violations des droits de l'homme dans la région et torturé avant d'être libéré en février 1998; Floribert Chebeya Bahizire, président de l'organisation non gouvernementale La Voix des sansvoix, aurait été frappé chez lui par des hommes armés en uniforme en mars 1998; Oswald Hakorimana, un défenseur des droits de l'homme dans la région du Nord-Kivu, aurait été violemment frappé en mars 1998 par des militaires qui l'auraient accusé de recueillir des informations concernant les massacres de civils.
106. On 4 October 1999, the Special Rapporteur transmitted to the Government, jointly with the Special Rapporteur on the question of torture, a series of allegations concerning the following persons: Freddy Loseke Lisumbu-La-Yayenga, editor of La Libre Afrique newspaper, arrested on 22 December 1998, who allegedly received 150 lashes and was then interrogated about the publication of an article in his newspaper on that day; Christophe Bintu and Bienvenu Kasole, both of them human rights defenders, who were allegedly arrested on 12 January 1999 and released from the Kokolo camp on 20 January 1999 after being beaten and insulted in connection with their work as human rights activists; Jean-Baptiste Makoko, treasurer of the Groupe Lotus, a human rights NGO in Kisangani, who was allegedly arrested and beaten up on 10 December 1997 by three soldiers for having photographed dead soldiers in Kisangani hospital; Albert Bilbert Bosangi Yema, editor-in-chief of the L'Arme and L'Essor Africain newspapers, who was allegedly arrested on 7 February 1998, probably because of an article published in L'Arme criticizing the arrest of the Chairman of the "Forces novatrices pour l'union et la solidarité" political movement and who, according to the information received, is suffering from diabetes and rheumatism and whose health has deteriorated since his detention; Désiré Rugemanizi, Chief of Kabare, who was allegedly arrested in January 1998 for criticizing human rights violations in the region and tortured before being released in February 1998; Floribert Chebeya Bahizire, Chairman of the NGO "La Voix des sans-voix", who was allegedly beaten up at his home by armed men in uniform in March 1998; Oswald Hakorimana, a human rights defender in the Kivu du Nord region, who was allegedly beaten severely in March 1998 by soldiers who accused him of collecting information concerning massacres of civilians.
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