Traduzione per "navegar en" a francese
Esempi di traduzione.
No pueden dar media vuelta y navegar mil kilómetros hasta el océano.
Ils ne peuvent pas faire demi-tour et parcourir les mille kilomètres qui les séparent de la mer.
No podemos navegar trescientas ligas por las hordas de los hicsos. Es una verdadera locura.
Nous ne pouvons pas parcourir trois cents lieues au milieu des hordes hyksos… C’est de la folie !
Atravesar la rugosa superficie de Halley era como navegar sobre un mar helado y polvoriento, bajo un cielo negro.
Parcourir la face ridée de Halley évoquait la traversée d’une mer grise gelée sous un ciel noir.
Decidí que si iba a navegar por los mares de Eternia, antes vería las posibilidades de hacer alguna mejora.
Je m’étais dit que si je devais désormais parcourir les mers d’Everworld, je pouvais peut-être apporter ma contribution.
Por mucho que lo deprimiera la muerte de su nave, la idea de volver a navegar los más de dos mil kilómetros era aún más deprimente.
La perte de son navire l'attristait, mais l'idée de rebrousser chemin et de parcourir les 2 000 kilomètres qui l'en séparaient était encore plus déprimante.
¿Era porque lo comparaba con el período de indisposición de Jon Von? ¿O parecía más fácil que nunca navegar por esos canales en las corrientes de datos?
Était-ce seulement la différence avec l’état maladif qu’avait connu JonVon auparavant, ou lui semblait-il plus aisé que jamais de parcourir ces canaux dans les flux de données ?
Por un lado, deseaba continuar siendo un vagabundo, volar, caminar y navegar por el planeta, ser un nómada vagando incesantemente hasta llegar a conocer Marte mejor que nadie.
D’une part il voulait vivre en vagabond, voler, marcher, parcourir le monde à la voile, éternellement nomade, errant sans cesse jusqu’à ce que Mars n’ait plus de secret pour lui.
—Puede ser tan largo que un hombre que navegara de un extremo del Río hasta el otro necesitara más años para hacerlo que las vidas juntas de tu abuelo, tu padre y tú mismo en la Tierra.
— Il est si long, reprit-il, que celui qui voudrait le parcourir d’un bout à l’autre mettrait pour le faire autant d’années que vous, votre père et votre grand-père en avez vécues sur la Terre.
Gracias a tal cercanía, Antoni fue el primero de su clan que aprendió a leer y a escribir —y por siglos quizás el único que lo lograría— y gozó del privilegio de navegar hasta Nápoles y beber los fuertes destilados de aquel reino, de cabalgar muchas veces por medio país, usar botas de cuero con hebillas y pernoctar en posadas de Aragón, Castilla, León y Navarra (las más de las veces en los establos, justo es decirlo), sitios donde se bebía, comía y fornicaba hasta el hartazgo y se cantaban las gestas, reales o fantasiosas, de los caballeros andantes y los navegantes del Mediterráneo a las que Antoni se hizo tan aficionado.
Grâce à cette proximité, Antoni fut le premier de son clan à apprendre à lire et à écrire – peut-être le seul qui y parviendrait durant des siècles – et il eut le privilège de naviguer jusqu’à Naples, de boire les alcools fort de ce lointain royaume, de parcourir à cheval une grande partie du pays, de porter des bottes de cuir à boucles et de passer la nuit dans les auberges d’Aragon, de Léon, de Castille et de Navarre (la plupart du temps dans les écuries, il est vrai), des lieux où l’on buvait, mangeait et forniquait à n’en plus pouvoir et où on chantait les gestes, réelles ou imaginaires, des chevaliers errants et des navigateurs en Méditerranée dont Antoni devint si friand.
No le gustaba navegar por allí, pero lo hacía porque esa era la última esperanza que tenía de encontrar la Norfolk en el archipiélago. Era posible que se encontrara en alguna de las tres o cuatro resguardadas bahías que había allí para que sus tripulantes pescaran tortugas (las de la Fernandina pesaban entre doscientas y trescientas libras y su carne era muy buena), cargaran agua y toda la leña que pudieran encontrar, y la Surprise podría cogerles por sorpresa. Por tanto, había que atravesar el canal a pesar de que era peligroso, el viento era débil, la corriente era fuerte, había poco espacio para maniobrar y, lo peor de todo, las costas a ambos lados eran rocosas, tan peligrosas como dos costas a sotavento, pues el viento empujaba la fragata hacia la costa de Fernandina, mientras que la corriente la empujaba hacia la costa de Isabela, lo que probablemente ocurriría si el viento rolaba. En la fragata la atmósfera era tensa. Todos los marineros estaban en sus puestos y a ambos lados de la fragata había una lancha con un anclote y una guindaleza.
C’était le genre de navigation qu’il n’aimait pas du tout, mais c’était aussi sa dernière chance de découvrir le Norfolk dans l’archipel : il pouvait être mouillé dans n’importe laquelle des trois ou quatre baies abritées restant à explorer, embarquant des tortues (celles de Narborough, de deux à trois cents livres, particulièrement délectables) ainsi que l’eau et le peu de bois qu’il pourrait trouver sur place, et Jack avait peut-être une chance de le prendre par surprise. Il fallait donc parcourir ce chenal, bien qu’il fût extrêmement traître, avec une brise mollissante, incertaine, un courant de plus en plus fort, peu de place pour virer, des rives implacables des deux côtés et – comble de l’injustice – quelque chose comme deux côtes sous le vent, puisque la brise sur le flanc de la frégate la poussait vers les rochers de Narborough tandis que le courant et la marée, hargneux, cherchaient à la jeter sur ceux d’Albemarle, et le feraient sans aucun doute si le vent mettait à exécution sa menace de tourner au nord.
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