Traduzione per "los adoraron" a francese

Los adoraron

• ils les adoraient

Esempi di traduzione.

ils les adoraient

Y se adoraron de nuevo.
Ils s’adoraient, à nouveau.

Las naciones que le adoraron se convirtieron en los peores conquistadores de todo el globo, los más codiciosos.
Les nations qui l’adoraient sont devenues les conquérants les plus avides du monde.

En su sede de Uppsala, no pocos de estos reyes adoraron a animales e hicieron hechicerías.
Dans leur capitale, Uppsala, beaucoup de ces seigneurs adoraient des bêtes et pratiquaient la sorcellerie.

Otrora yo también comía carne, como una bestia. Cuando hayáis terminado saldremos, y os mostraré este gran templo y la diosa que en otro tiempo adoraron aquí los hombres.
autrefois, moi aussi, je mangeais de la chair, comme une bête féroce – quand vous aurez fini, nous sortirons et je vous montrerai ce grand temple et le dieu que les hommes y adoraient autrefois.

Los egipcios, como dice Taine, tomándolo de Clemente de Alejandría, cuyo texto altera, los egipcios adoraron a los cocodrilos, que los devoraban, y los pingüinos adoran a los automóviles, que los despachurran.
Les Égyptiens, à ce que dit Taine, d’après Clément d’Alexandrie, dont il a d’ailleurs altéré le texte, les Égyptiens adoraient les crocodiles qui les dévoraient; les Pingouins adorent les autos qui les écrasent.

Los babilonios —una palabra que abarca una cantidad de pueblos semi-independientes que vivían en ciudades como Babilonia, Ur, Lagash, y así— ciertamente adoraron a los dioses como nadie.
Les Babyloniens – un terme qui couvre toute une kyrielle de peuples semi-indépendants vivant dans des cités autonomes telles que Babylone, Ur, Nippur, Uruk, Lagash, etc. – adoraient certainement les dieux comme tout le monde.

Se habla continuamente, le dijo Billy a Dane (y qué gusto le dio poder contarle algo a Dane), de la influencia de la ciencia ficción barata en la ciencia real. A un elevado porcentaje de los científicos les causa al mismo tiempo bochorno y orgullo reconocer que se han inspirado en diversas burdas paparruchas visionarias que adoraron en su juventud.
On entend toujours parler, raconta Billy à Dane – et comme c’était bon de lui expliquer à son tour quelque chose –, de l’influence que la science-fiction des pulps a eue sur la vraie science : une vaste proportion de savants emprunte son inspiration aux diverses péroraisons visionnaires qu’ils adoraient dans leur jeunesse.

Entonces caín le contó a lilith el caso de un hombre llamado abraham al que el señor le ordenó que le sacrificara a su propio hijo, después el de una gran torre con la que los hombres querían llegar al cielo y que el señor derribó de un soplo, luego el de una ciudad en la que los hombres preferían acostarse con otros hombres y el castigo de fuego y azufre que el señor hizo caer sobre ellos, sin salvar a los niños, que todavía no sabían qué iban a querer en el futuro, a continuación el de una enorme reunión de personas en la falda de una montaña, a la que llamaban sinaí y la fabricación de un becerro de oro que adoraron, a causa de lo cual murieron muchos, el de la ciudad de madián, que se atrevió a matar a treinta y seis soldados de un ejército denominado israelita y cuya población fue por ello exterminada hasta el último niño, el de otra ciudad llamada jericó, cuyas murallas se derrumbaron con el sonido de las trompetas hechas de cuernos de carneros y después fue destruido todo lo que había dentro, incluidos, además de los hombres y las mujeres, jóvenes y viejos, los bueyes, las ovejas y los burros.
Alors caïn raconta à lilith l’histoire d’un homme appelé abraham à qui le seigneur avait ordonné de sacrifier son propre fils, puis celle d’une grande tour avec laquelle les hommes voulaient atteindre le ciel et que le seigneur avait abattue d’un seul souffle, puis celle d’une ville où les hommes préféraient coucher avec d’autres hommes et du châtiment de feu et de soufre que le seigneur avait fait tomber sur eux sans épargner les enfants qui ne savaient pas encore quelles seraient leurs inclinations futures, puis celle d’un immense rassemblement au pied d’un mont appelé sinaï et de la fabrication d’un veau d’or qu’ils adoraient, raison pour laquelle beaucoup moururent, celle de la ville de madiân qui avait eu l’audace de tuer trente-six soldats d’une armée dénommée israélite et dont la population fut exterminée jusqu’au dernier enfant, celle d’une autre ville, appelée jéricho, dont les murailles furent abattues par le vacarme de trompettes fabriquées dans de la corne de bélier, après quoi tout fut détruit à l’intérieur, y compris, en plus des hommes et des femmes, des jeunes et des vieux, les bœufs aussi, les brebis et les ânes.