Traduzione per "hit" a francese
Esempi di traduzione.
Billy Bloqueo acababa de conseguir su último hit en las grandes ligas: un cuadrangular—.
Billy Barrage venait juste de frapper son dernier coup en Ligue Majeure : tour des quatre bases.
Habíamos conseguido solo un triste hit, un doble con dos eliminados a cargo de Harrington en la segunda mitad de la tercera entrada.
On avait eu une frappe merdique de Harrington et on s’était pris un double jeu dans la deuxième demi-manche de la troisième.
el receptor de los Cardinals, Walker Cooper, en la primera base con su sexto hit en cinco juegos, y los Cardinals solo necesitaban esa victoria para ganar la Serie.
le catcher des Cardinals, Walter Cooper, était à la première base avec sa sixième frappe en cinq matches, les Cardinals n’avaient plus besoin que de cette victoire pour remporter le Championnat.
Recuerdo que me dejó asombrada, y también recuerdo ver a los jugadores en el hit & run, ver a los hombres que salían a limpiar el campo, y lo que más recuerdo es ver el sol poniente cayendo sobre los edificios cercanos, los edificios del Bronx: el sol caía sobre ellos, y después iban apareciendo diferentes luces, y era algo muy bello.
Je me rappelle qu’il me fascinait et que je regardais les joueurs frapper la balle puis courir, et les hommes qui surgissaient pour nettoyer les bases ; je me rappelle surtout le soleil qui, en déclinant, frappait les immeubles alentour, les immeubles, du Bronx ;
Y al día siguiente, tras perforar pozos con Wade durante todo el día para Gordon LaRiviere, volvía a su sitio en el Toby’s Inn para ver el partido en la televisión instalada sobre la barra, contar cotilleos y rumores sobre Oil Can Boyd, Roger Clemens y Bruce Hurst, a los que conocía y contra quienes había lanzado en encuentros de segunda, dibujar en una servilleta la diferencia entre hit and run y run and hit y adivinar movimientos tácticos con una precisión y una presteza que encantaban a todos los que le oían, haciéndoles sentirse orgullosos de conocerlo.
Puis, le jour suivant, après avoir foré des puits toute la journée avec Wade pour Gordon LaRiviere, il revenait à sa place habituelle à l’auberge de Toby où, assis au bar, il suivait le match à la télé avec les habitués. Il leur expliquait les finesses du jeu, ne se privant pas de quelques ragots sur Oil Can Boyd, Roger Clemens et Bruce Hurst, des gars qu’il avait connus et contre qui il avait lancé en petite ligue. Il faisait un croquis sur une serviette en papier pour expliquer la différence entre “frapper et courir” et “courir et frapper”, et il prévoyait les manœuvres avec une précision et une rapidité qui ravissaient tous ceux qui l’écoutaient. Lesquels, du coup, étaient fiers de le connaître.
La pieza, un hit musical de la temporada anterior, los decepcionó.
La pièce, grand succès de comédie musicale de la saison dernière, se révéla décevante.
Veinticuatro veces en el Hit Parade, diez de ellas en el número uno.
Vingt-quatre fois nommée au Hit-Parade, annonça Pepler, dix fois comme succès numéro un.
El resultado fue la Orden Ejecutiva 8802 por la que los contratistas gubernamentales tenían prohibido discriminar a causa de la raza. Fue uno de los hitos legislativos de la historia de los derechos civiles y uno de los mayores éxitos de la carrera de Earl.
Le résultat ? L’Ordre exécutif 8802, qui interdisait toute discrimination raciale aux fournisseurs de l’administration, un jalon dans l’histoire des droits civils et un des succès dans la carrière d’Earl.
Empezando por el Orchestra Hall, donde aquel muchacho nada musical, formado en la audición de «Make-Believe Ballroom» y de «Your Hit Parade», escuchó por primera vez la Quinta de Beethoven; luego cruzaba a LaSalle (rezumando odio al edificio de la Bolsa) y subía hasta Randolph y la muy chabacana zona del centro, que siempre le recordaba su hogar, la calle Market de Newark, los sitios de chopsuey y de especialidades baratas, las tabernas con parrilla, las zapaterías, los salones de juegos, todos bajo la protección de grandes carteles elevados y todos anexos a locales cinematográficos.
Commençant à Orchestra Hall, où le garçon, peu musicien, élevé aux accents du « bal pour rire » et de « Vos grands succès de la semaine », avait pour la première fois entendu la Cinquième de Beethoven, il coupait jusqu’à La Salle (bouillant de haine contre la Bourse) et poursuivait jusqu’à Randolph et jusqu’au centre bariolé de la ville qui lui rappelait toujours Newark et Market Street, avec les bouges à chop suey et les échoppes de spécialités à bon marché, les grills, les marchands de godasses, les salles de jeux électriques et de machines à sous, tous couronnés d’enseignes en planches et coincés entre les salles de cinéma.
Una vez se enfadó tanto con su madre que le dio un puntapié en la espinilla y ella se puso a dar trompicones por la sala fingiendo un dolor insoportable y gritando en inglés: A hit, a palpable hit!
Un jour, il s’énerva si fort contre elle qu’il lui donna un coup de pied au tibia, et elle boita dans le séjour en feignant une douleur atroce, s’écriant en anglais : « A hit, a palpable hit! »2 C’était si drôle et si exaspérant qu’il revint à la charge et lui donna un autre coup de pied, plus fort celui-là.
Estaba bañado en sudor, el ejercicio duraba ya más de media hora, pero lucía fuerte y ágil todavía, dispuesto a tumbar la pared de ladrillos con la insistencia de su pelota de goma, que ahora volvía a lanzar, con fuerza y efecto, y debía correr más, ladear bien el cuerpo, para atraparla con la punta del guante, cuando parecía un hit que rodaba hasta los límites de su imaginación.
L’enfant était trempé de sueur, ça faisait déjà plus d’une demi-heure qu’il se livrait à cet exercice mais il conservait toute son agilité et son endurance, il semblait décidé à abattre le mur de briques en s’acharnant sur lui avec sa balle de caoutchouc qu’il relançait maintenant avec force en lui donnant de l’effet, ce qui l’obligeait à courir davantage, le corps bien penché en avant pour l’attraper avec le bout du gant quand cela ressemblait à un coup sûr qui roulait jusqu’aux limites de son imagination.
Conforme caminaba, Charlotte le contó una historia más bien larga e intrincada sobre un chico que la había salvado de un jugador de lacrosse terriblemente borracho y amenazador. En ningún momento llegó a quedar claro por qué una chica como ella se había acercado siquiera a uno de esos picnics deportivos de los aparcamientos, que eran una especie de estúpidas francachelas con las que empezaban el sábado unos cretinos que dedicaban el resto del día a beber hasta perder la vertical y el domingo y el lunes a contar bata-Hitas para que se viera lo bien que se lo habían pasado. No alcanzaba a imaginar a una estudiante de primer año, y mucho menos a una encantadora florecilla como Charlotte, que ni siquiera probaba la cerveza, asomándose a una de esas fiestas.
Charlotte s’est donc lancée dans un récit, plutôt alambiqué, où « ce type » la tirait des griffes d’un joueur de crosse rendu fou furieux par l’alcool. Pourquoi une fille comme elle s’était rendue à un tailgate, pour commencer ? Elle n’a pas clarifié ce point. Ces rassemblements imbéciles du samedi après-midi, destinés aux bons à rien pour lesquels le week-end idéal consistait à se soûler ignominieusement afin de raconter leurs exploits les jours suivants… Adam n’arrivait pas à imaginer une première-année, et encore moins la délicate fleur des champs qu’était Charlotte, participer à ce genre d’absurdités. Elle qui n’avait sans doute jamais touché une cannette de bière de sa vie…
¡No estaba dura! Y en la radio que oía en la cabeza sonaba un hit que no sonaba nunca en la radio ahora mismo era esclavo del ritmo ¡ritmo brutal! Y los demás chamacos del coche también lo sentían y lo sabían y miré a Llorón y el me miró a mí y lo noté y me dieron ganas de besarlo con lengua y de pegarle luego un tiro por maricón y me reí y me volví a reír y el camión llegó a una loma y nos dio la impresión de que estábamos yendo al cielo no, sí, al cielo, y el Datsun volaba y la cabeza se me convirtió en un globo y luego me acordé de Rema y de que había que darle una lección a la gente que vivía allí y yo quería que la aprendieran por las malas y agarré bien fuerte el M16, pero lo que quería de verdá era agarrar a un niño por la calle y retorcerle el pescuezo más y más y más hasta arrancárselo y luego cogerle un poco de sangre y frotármela por la cara y decirles: ¿quién es el que está oprimío ahora, singaos? Y tenía ganas de singar, singar, singar, ¡pero no la tenía dura! ¡No estaba dura!
C’est pas dur ! Et la radio dans ma tête passe un air super qu’est jamais diffusé sur les ondes, en ce moment c’est d’enfer, et les autres dans la bagnole le sentent aussi, et je regarde Weeper qui me regarde et qui comprend, et je pourrais l’embrasser avec la langue et le buter, ce sale pédé, et rire, et rire, et la voiture touche une colline et c’est comme si on allait au paradis, non, oui le paradis, la Datsun vole et ma tête se transforme en ballon et ensuite j’pense à Rema, et qu’ils ont besoin d’une bonne leçon là-bas, et j’le veux si fort que j’empoigne et je serre le M16, mais ce que j’voudrais c’est attraper un petit garçon dans la rue et dévisser, dévisser sa tête jusqu’à ce que pop ! ça se détache, puis me barbouiller la figure avec son sang et dire, comme la chanson « Under Heavy Manners », alors c’est qui l’opprimé maintenant ? Et j’veux de la baise, de la baise, de la baise, mais c’est pas dur !
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