Traduzione per "frase o dos" a francese
Frase o dos
Esempi di traduzione.
Una frase de dos palabras.
Une phrase de deux mots.
Paul me abrazó y dijo una frase o dos en español.
Paul m’a serrée dans ses bras et dit une phrase ou deux en espagnol.
La sorprendente adición a su trabajo consistía solamente en una frase de dos palabras, repetida docenas de veces: Tengo miedo. Tengo miedo. Tengo miedo. Tengo miedo.
Tout ce texte supplémentaire, inconnu, n’était en fait que la répétition d’une phrase de deux mots : J’ai peur. J’ai peur. J’ai peur.
Era su costumbre añadir, de este modo, una frase o dos en sus circulares; aquello le daba mucha importancia, como le había explicado antes a Julie, las hacía más actuales.
C’était son habitude d’ajouter de la sorte une phrase ou deux à ses circulaires, et il y attachait une grande importance, comme il l’avait expliqué autrefois à Julie, cela les rendait plus actuelles.
—Aquella muchacha fue mi amante durante once años, era muy guapa —dijo mi padre reuniendo orgullosamente en una sola frase los dos elementos principales de la cuestión.
— Cette fille a été ma maîtresse pendant onze ans, elle était très belle, déclara mon père, résumant fièrement en une seule phrase les deux éléments les plus importants.
—La predicción de Fouché se ha cumplido —exclamó, recordando aquella frase que dos años atrás se le escapara a su actual ministro de la Policía, y que sólo la pronunciara bajo la impresión del informe que sobre Laurencia le diera Corentin.
— La prédiction de Fouché s’est réalisée, s’écria-t-il en se rappelant la phrase échappée deux ans auparavant à son ministre actuel de la police qui ne l’avait dite que sous l’impression du rapport fait par Corentin sur Laurence.
Cuando Albert Krnkka dijo «de dos a seis», alzó los dos brazos y estiró dos dedos de cada mano, como si hiciese el signo de victoria, o el signo pacifista, y los agitó en el aire, como si estuviese tocando un tambor aéreo al ritmo de la frase «de dos a seis.»
Quand Albert Krnkka dit « de deux à six » il leva les deux mains en l’air et dressa deux doigts de chaque main, comme pour un v de victoire ou le signe pour la paix, comme s’il agitait une paire de baguettes aériennes en rythme sur la phrase « de deux à six ».
Había que lanzar una mirada al desierto de la tierra y ver en alguna parte, entre la agitación de hormigas borrachas, una aguja de color cobrizo con la cabeza oxidada, reconocer la estatura de un hombre, al mismísimo pecoso, nuestro larguirucho amigo Matei Gafton, balanceándose al ritmo de sus frases a dos pasos de su apático oyente.
On était bien obligé de jeter un regard sur le désert terrestre, de distinguer, quelque part, dans le grouillement des fourmis ivres, une épingle cuivrée, à la tête rouillée, de reconnaître la silhouette d’un homme, oh, oh ! justement celle de notre échalas aux taches de rousseur, de notre ami Matei Gafton, qui se balançait au rythme des phrases, à deux pas de son auditeur apathique.
una frase o dos sobre su hermano mayor Lord Winchcombe, que había ganado su V. C.[2] en la última guerra bajo circunstancias que sólo podían hacer —podía o no añadir esto— que el corazón de cada inglés palpitara de orgullo más fuerte que nunca, y habría dado los primeros pasos hacia lo que bien podría ser el punto decisivo en su carrera.
Il poursuivrait par une phrase ou deux sur son frère, lord Whitcombe, qui lors de la dernière guerre avait par sa belle conduite au feu obtenu sa Victoria Cross dans des circonstances qui – il l’ajouterait ou pas, suivant l’inspiration du moment –, ne pouvaient que faire battre un peu plus fort et remplir d’orgueil tous les cœurs vraiment anglais.
Si me costaba aceptar la idea de que se hubiera deshecho de sus viejas ropas, por inadecuadas que fueran en su nueva vida, supongo que era porque tampoco podía aceptar que hubiese preferido sembrar, regar, abonar y podar un árbol en vez de organizar la luz que se colaba entre sus hojas, hacerlo atravesar trescientos años en una frase o dos y matarlo al fin con un huracán que depositaría demasiada sal en sus raíces y lo condenaría a caer bajo el hacha.
Si je ne pouvais totalement accepter l’idée de Kafka se débarrassant de ses anciens vêtements pourtant inadaptés à sa nouvelle vie, c’était, je suppose, parce que je ne pouvais totalement me résoudre au fait qu’il préférât planter un arbre, l’arroser, le fertiliser et le tailler, plutôt qu’organiser la lumière à travers ses feuilles, le confronter à ses trois cents ans d’existence en une phrase ou deux et enfin le tuer dans un ouragan apportant trop de sel à ses racines et le rendant tout juste bon à être abattu.
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