Traduzione per "concurrente-que" a francese
Concurrente-que
Esempi di traduzione.
en même temps, ce
Un rato más tarde uno aprende a identificar a los concurrentes habituales.
Au bout d’un certain temps, on apprend à reconnaître ses habitués.
Mis fantasías literarias concurrentes subrayaban la culpa de los polis blancos.
Dans le même temps, j’imaginais des récits qui mettaient l’accent sur la culpabilité des flics blancs.
Todos los concurrentes hubieran tenido mucha dificultad por encontrar palabras para expresar su asombro, incluso en el caso de disponer de mucho tiempo para buscarlas.
Toute la société aurait eu de la peine à trouver des termes pour exprimer son étonnement, quand même elle aurait eu le temps de les chercher.
Añadido a este escandaloso fallo, en tres líneas temporales hubo también abuso de drogas y crímenes concurrentes en las calles, más un gobierno corrupto y derrochador.
Outre ce terrible fléau, on observe, dans trois espaces-temps, un abus des drogues entraînant une criminalité accrue dans les rues, allant de pair avec un gouvernement corrompu et dépensier.
Cuando hubo dicho cuanto sabía, el primo se levantó, sacó un platillo de sus ropas, lo posó en la silla, y se volvió de espaldas a los concurrentes, para evitar la vergüenza.
Ayant dit tout ce qu’il savait, le vieux cousin sortit une petite coupe de son sein, et, se levant, il la posa sur la chaise qu’il venait de quitter, tournant le dos pour éviter la honte, et ses auditeurs comprirent qu’il était temps de partir pour laisser la place à d’autres.
Hubo un tiempo en el que estaba convencido de que un buen investigador no era más que un hombre que reunía casualidades —una actividad perfectamente respetable desde Pascal y Jung— con el objetivo de relacionar una o dos hasta que parecieran algo más significativo y concurrente.
Fut un temps où j’étais intimement convaincu qu’un bon inspecteur de police était simplement un individu qui collectait les coïncidences – activité tout à fait respectable depuis Pascal et Jung –, dans le but de les rassembler jusqu’à ce qu’elles forment quelque chose de plus cohérent et concomitant.
Y, quizá por lo mismo, varias personas entre aquella muchedumbre, antes que se hubiesen ahogado en el silencio los postreros ecos de la última campanada, habían tenido tiempo para darse cuenta de la presencia de una figura enmascarada que hasta entonces no había llamado la atención de nadie, Y al difundirse en un susurro el rumor de aquella nueva intrusión, se suscitó entre todos los concurrentes un cuchicheo o murmullo significativo de asombro y desaprobación. Y luego, finalmente, el terror, el pavor y el asco.
Et ce fut peut-être aussi pour cela que plusieurs personnes parmi cette foule, avant que les derniers échos du dernier coup fussent noyés dans le silence, avaient eu le temps de s’apercevoir de la présence d’un masque qui jusque-là n’avait aucunement attiré l’attention. Et, la nouvelle de cette intrusion s’étant répandue en un chuchotement à la ronde, il s’éleva de toute l’assemblée un bourdonnement, un murmure significatif d’étonnement et de désapprobation, – puis, finalement, de terreur, d’horreur et de dégoût.
Cené en un establecimiento que Herbert y yo llamábamos «el bodegón geográfico» porque había mapas del mundo en todos los jarros para la cerveza, en cada medio metro de los manteles y en los cuchillos (debiéndose advertir que, hasta ahora, apenas hay un bodegón en los dominios del lord mayor que no sea geográfico), y pasé bastante rato medio dormido sobre las migas de pan del mantel, mirando las luces de gas y caldeándome en aquella atmósfera, densa por la abundancia de concurrentes.
Je dînai à l’endroit qu’Herbert et moi nous appelions la gargote géographique, où il y avait une mappemonde sur les rebords des pots à bière et sur chaque demi-mètre de la nappe, et des cartes tracées avec le jus sur chaque couteau, – aujourd’hui, c’est à peine s’il y a une seule gargote dans le domaine du Lord Maire qui ne soit pas géographique, – et je passai le temps à faire des boulettes de mie de pain, à regarder les becs de gaz, et à cuire dans la chaude atmosphère des dîners.
Es curiosa, de todos modos, la reputación del coma profundo… incluso entre los espíritus más abiertos… el confort, vamos, el confort moral al menos… el lado bueno de la conciencia… el lado sueño… desprendimiento… revoloteo por el negro terciopelo del olvido… ese tipo de imagen… con el pretexto de que el cerebro ha callado… prejuicios… cerebrocentrismo… como si los sesenta mil millones de células restantes fueran una nadería… sesenta mil millones de pequeñas fábricas moleculares, sí… constituidas por un solo cuerpo… súper Babel… Babel soberbia… y quisieran que eso muriese callando… de un solo golpe, de uno solo… pero sesenta mil millones de células mueren lentamente… un reloj de arena que te da tiempo de hacer el balance del mundo… antes de convertirse en un montón de células muertas… de células muertas en un montón, como una vieja olvidada en el rincón de una ventana… es la imagen que flotaba ahora en la noche de Benjamin… esa terrible vieja con esa terrible mirada atornillada en la cumbre… pero Benjamin recordaba la cárcel de Saint-Hiver, también, y más especialmente una celda de esa cárcel tan bonita, una celda de alto techo, profunda como el saber de un monje, toda forrada de libros… ¡oh!, no había nada glorioso en aquella biblioteca, todo era utilitario: diccionarios, enciclopedias, la colección completa de los Que sais-je?, del National Geographic, el Larousse, la Britannica, el Quién es quién mundano, el Robert, el Littré, el Alpha, Quid, ni una sola novela, ni un solo diario, manuales elementales de economía, de sociología, de etología, de biología, de historia de las religiones, de las ciencias y técnicas, ni un solo sueño, solo los materiales del sueño… y, al fondo de aquel pozo de ciencia, el soñador en persona, joven y sin edad, preservada belleza, la sonrisa vacilante ante el objetivo de Clara-fotógrafo, impaciente por volver a su trabajo, por zambullirse de nuevo en sus hojas, por abandonarse a aquella pequeña caligrafía aplicada, tan tranquilizadora, tan prieta, como si se tratara menos de llenar esas páginas que de cubrirlas de palabras (por delante y por detrás, sin márgenes, con las tachaduras hechas a regla)… y la voz de Saint-Hiver que se ha quedado en la puerta entornada: «Clara, vamos, deja trabajar a Alexandre»… y los últimos clichés de Clara para la papelera del escritor, desbordante de hojas no arrugadas… y en una de las ampliaciones de Clara, la frase tan buscada, tan huidiza: «La muerte es un proceso rectilíneo», sola entre todas las frases concurrentes, cuidadosamente tachadas, la frase elegida: «La muerte es un proceso rectilíneo»… colgada en el laboratorio fotográfico de Clara.
Curieux, tout de même, la réputation du coma dépassé… même chez les esprits les plus ouverts… le confort, quoi, le confort moral au moins… le bon côté de la conscience… côté rêve… détachement… pied volant au noir velours de l’oubli… ce genre d’images… sous prétexte que la cervelle s’est tue… préjugés… cérébrocentrisme… comme si les soixante mille milliards de cellules restantes comptaient pour du beurre… soixante mille milliards de petites usines moléculaires, oui… constituées en un seul corps… super Babel… Babel superbe… et on voudrait que cela meure en se taisant… d’un seul coup d’un seul… mais cela meurt lentement, soixante mille milliards de cellules… un sablier qui vous laisse le temps de dresser le bilan du monde… avant de devenir un tas de cellules mortes… de cellules mortes en tas, comme une vieille oubliée au coin d’une fenêtre… c’est l’image qui flottait dans la nuit de Benjamin, à présent, cette terrible vieille, avec ce terrible regard, vissé à son sommet… Mais Benjamin revoyait la prison de Saint-Hiver, aussi, et plus particulièrement une cellule dans cette si jolie prison, une cellule haute de plafond, profonde comme le savoir d’un moine, toute capitonnée de livres… oh ! rien de glorieux dans cette bibliothèque-là, que de l’utilitaire : dictionnaires, encyclopédies, collection complète des « Que sais-je ? », du National Geographie, Larousse, Britannica, Bottin mondain Robert, Littré, Alpha, Quid, pas un seul roman, pas un seul journal, manuels élémentaires d’économie, de sociologie, d’éthologie, de biologie, histoire des religions, des sciences et techniques, pas un seul rêve, rien que le matériau du rêve… et, tout au fond de ce puits de science, le rêveur en personne, jeune et sans âge, beauté préservée, le sourire hésitant sous l’objectif de Clara-photographe, pressé de se remettre à son travail, de plonger à nouveau dans ses feuilles, de s’abandonner à cette petite écriture appliquée, si rassurante, tellement serrée, comme s’il s’agissait moins de remplir ces pages que de les couvrir de mots (recto verso, pas de marges, ratures tirées à la règle)… et la voix de Saint-Hiver resté dans l’entrebâillement de la porte : « Clara, allons, laisse donc Alexandre travailler »… et les derniers clichés de Clara pour la corbeille à papiers de l’écrivain, débordant de feuilles non froissées… et sur un des agrandissements de Clara, la phrase tant cherchée, si fuyante : « La mort est un processus rectiligne »… toute seule parmi les phrases concurrentes, soigneusement rayées, la phrase élue : « La mort est un processus rectiligne »… pendue dans le labo photo de Clara.
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