Traduzione per "se faire tremper" a spagnolo
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soudain amis, mais pour de bon, et le feu devait avoir chauffé encore davantage la chambre, la femme de chambre avait certainement fait la couverture comme toujours sans doute à Kindberg, une espèce de cérémonie ancienne, de bienvenue au voyageur fatigué, aux oursonnes bécasses qui tenaient à se faire tremper jusqu’à Copenhague et après mais qu’est-ce que ça peut faire après, je t’ai dit Marcelo que je ne veux pas m’attacher, je ne veux pas veux pas veux pas, Copenhague c’est comme un homme qu’on rencontre et puis qu’on laisse (ah), un jour qui passe, je ne crois pas à l’avenir, dans ma famille on ne parle que d’avenir, ils me cassent les couilles avec leur avenir, et à lui aussi on les lui cassait, son oncle Roberto devenu tyran affectueux pour veiller sur Marcelito orphelin de père et si jeune encore le pauvret, il faut penser à l’avenir mon petit, la retraite ridicule de l’oncle Roberto, ce qu’il nous faut c’est un gouvernement fort, la jeunesse d’aujourd’hui ne pense qu’à s’amuser, nom d’un chien, de mon temps et l’oursonne qui lui laissait sa main sur la table et pourquoi être aspiré comme ça stupidement, ce retour à un Buenos Aires des années 30 ou 40, il vaut mieux Copenhague, Copenhague et les hippies et la pluie au bord du chemin, mais lui il n’avait jamais fait de stop, pratiquement jamais, une ou deux fois avant d’entrer à l’université et après il avait eu assez pour se débrouiller et pourtant il aurait pu, la fois où les copains avaient projeté de s’embarquer tous ensemble sur un voilier qui mettait trois mois pour regagner Rotterdam, charge et escales, six cents pesos, c’était donné, aider un peu l’équipage, bien s’amuser, sûr qu’on y va, au café Rubi de la place Once, sûr qu’on y va, Monito, il faut quand même trouver les six cents balles, ça c’était pas facile, toute la paie passe en cigarettes et une fille de temps en temps, un beau jour les réunions avaient pris fin, on ne parlait plus du voilier, il faut penser à l’avenir mon petit, Shepp.
de golpe amigos, pero de veras, y el fuego debía estar entibiando todavía más el cuarto, la camarera ya habría plegado las sábanas como sin duda siempre en Kindberg, una especie de ceremonia antigua, de bienvenida al viajero cansado, a las oseznas bobas que querían mojarse hasta Copenhague y después, pero qué importa después, Marcelo, ya te dije que no quiero atarme, noquiero-noquiero, Copenhague es como un hombre que encuentras y dejas (ah), un día que pasa, no creo en el futuro, en mi familia no hablan más que del futuro, me hinchan los huevos con el futuro, y a él también su tío Roberto convertido en el tirano cariñoso para cuidar de Marcelito huérfano de padre y tan chiquito todavía el pobre, hay que pensar en el mañana m'hijo, la jubilación ridícula del tío Roberto, lo que hace falta es un gobierno fuerte, la juventud de hoy no piensa más que en divertirse, carajo, en mis tiempos en cambio, y la osezna dejándole la mano sobre el mantel y por qué esa succión idiota, ese volver a un Buenos Aires del treinta o del cuarenta, mejor Copenhague, che, mejor Copenhague y los hippies y la lluvia al borde del camino, pero él nunca había hecho stop, prácticamente nunca, una o dos veces antes de entrar en la universidad, después ya tenía para ir tirando, para el sastre, y sin embargo hubiera podido aquella vez que los muchachos planeaban tomarse juntos un velero que tardaba tres meses en ir a Rotterdam, carga y escalas y total seiscientos pesos o algo así, ayudando un poco a la tripulación, divirtiéndose claro que vamos, en el café Rubí del Once, claro que vamos, Monito, hay que juntar los seiscientos gruyos, no era fácil, se te va el sueldo en cigarrillos y alguna mina, un día ya no se vieron más, ya no se hablaba del velero, hay que pensar en el mañana, m'hijo, Shepp. Ah, otra vez;
Haroun Khalifa aimait se faire tremper jusqu’aux os par la première pluie de l’année, aussi il s’en alla en sautillant sous une merveilleuse pluie chaude et il ouvrit la bouche pour que les gouttes lui tombent sur la langue.
A Harún Khalifa le encantaba calarse hasta la piel en la primera lluvia del año, y saltaba y brincaba de un lado a otro empapándose en aquella agua tibia y abría la boca para que las gotas de lluvia le cayeran en la lengua.
La dernière chose qu'il fallait à Willy, c'était de se faire tremper, mais si le ciel lâchait ce qu'il semblait promettre, c'était exactement ce qui allait se passer.
Lo último que Willy necesitaba era empaparse de agua, pero si el cielo cumplía lo que parecía prometer, eso era exactamente lo que iba a pasar.
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