Traduzione per "portail d'entrée" a spagnolo
Portail d'entrée
Esempi di traduzione.
portón de entrada
Il descendit les marches et gagna le portail d’entrée, mains dans les poches, le col de chemise relevé, dans le cliquetis des fers de ses bottes de mécano qu’il laissait trainer exprès.
Bajó los peldaños y caminó hacia el portón de entrada con las manos en los bolsillos de los vaqueros, el cuello de la camisa vuelto hacia arriba y tintineantes las hebillas de sus botas.
Ils sont donc on ne peut plus usés l’après-midi où, muni de sa petite valise bleu marine, il passe enfin la porte de la grande bâtisse de Mar del Plata – tout seul, comme il dit toujours à sa mère qu’il veut partir, moins par désir d’autonomie que pour lui interdire ces vingt derniers mètres qu’elle pourrait d’après lui peut-être utiliser, si elle devait l’accompagner, pour tenter de le dissuader de s’en aller, chose qu’elle est cependant à mille lieues de vouloir faire, tellement elle est heureuse à l’idée de se reposer pendant tout un mois de son travail de mère –, parcourt la longue allée de gravier conduisant jusqu’à la rue, grimpe avec sa valise sur le muret de pierre attenant au portail d’entrée et s’installe pour attendre l’arrivée de son père.
Así de gastados están la tarde en que cruza por fin, cargando su valijita azul marino, la puerta del caserón de Mar del Plata —solo, como le insiste siempre a su madre que quiere salir, menos por afán de autonomía que para negarle esos veinte últimos metros que ella, si los recorriera con él, usaría según él para tratar de disuadirlo de irse, cosa que ella está muy lejos de querer hacer, a tal punto la ilusiona la idea de descansar un mes entero del trabajo de ser madre—, recorre el largo camino de pedregullo que lleva hasta la calle, se trepa con la valija al paredón de piedra que nace del portón de entrada y se instala a esperar la llegada de su padre.
Elle ouvrit avec appréhension le portail d’entrée de la maison et ferma les yeux, avançant à l’aveugle dans un corridor imaginaire, attendant le sifflement de l’air dans les couloirs, le gémissement des portes déglinguées, le grincement des gonds malades, le dépôt de poussière oubliée… À quoi bon contempler la ruine de sa maison familiale, cela reviendrait à contempler l’abandon de sa propre enfance, alors que Laura Díaz, les yeux fermés et avec ses soixante-quatorze ans, pouvait entendre le balai du nègre Zampayita sur le sol du patio et celui-ci chantant « la danse du nègre Zampayita est une danse qui vous laisse, qui vous laisse baba », et se revoir le jour de son anniversaire, au petit matin, encore en chemise de nuit, en train de sautiller en chantonnant « le douze de mai la Vierge apparut, toute de blanc vêtue sous son grand mantelet », entendre les notes mélancoliques d’un Nocturne de Chopin qui lui parvenaient à l’instant du salon où la tante Hilda rêvait de devenir une grande concertiste en Allemagne, entendre la voix de la tante Virginia réciter des vers de Rubén Darío en rêvant d’être une grande poétesse dont les livres seraient publiés à Mexico, percevoir l’odeur des plats savoureux émanant de la cuisine où sa mère régnait d’une main de fer, attendre le retour des champs de don Felipe, travailleur et discipliné, ayant oublié pour toujours ses idéaux de jeune socialiste allemand, et la grand-mère Cósima assise dans son rocking-chair, plongée dans ses pensées, rêvant peut-être du vaillant Beau de Papantla…
Abrió con prevención el portón de entrada a la casa y cerró los ojos, avanzando a ciegas por un corredor imaginario, esperando el gemido del aire por los pasillos, el gemido de las puertas vencidas, el rechinar de goznes enfermos, el reposo del polvo olvidado… ¿Para qué ver de cara la ruina de su casa familiar, que era como mirar de cara el abandono de su propia infancia, por más que, con los ojos cerrados, Laura Díaz, a los setenta y cuatro años, pudiese escuchar la escoba del negro Zampayita barriendo el patio y cantando «el baile del negro Zampayita es un baile que quita que quita que quita el hipo ya», recordándose a sí misma el día de su cumpleaños, cuando daba saltitos alrededor del patio, muy de mañana, aún en camisón, cantando «el 12 de mayo la virgen salió vestida de blanco con su paleto», oyendo las notas melancólicas de un Nocturno de Chopin que ahora mismo le llegaba desde la sala donde la tía Hilda soñaba con ser una gran concertista en Alemania, escuchando la voz de la tía Virginia recitando los versos de Rubén Darío y soñando, a su vez, con ser una gran poeta publicada en la ciudad de México, oliendo los guisos sabrosos que llegaban desde la cocina regenteada sin añoranzas por su madre Leticia, esperando el regreso de don Felipe de las faenas del campo, trabajador y disciplinado, olvidados para siempre sus sueños de exaltado joven socialista alemán y la abuela Cósima, en su mecedora, ensimismada, soñando acaso con el bravo Guapo de Papantla…
Le mépris luttait contre le mépris dans l’étroit entonnoir brûlant du portail d’entrée. Rien de plus naturel donc qu’une fois l’entrée franchie, à l’intérieur de la cour, ayant échappé à l’enfer criard de cette lutte avide et de toutes ces flammes dont les couleurs rugueuses n’étaient plus lumière, il eut l’illusion d’être délivré de tous les outrages qui l’avaient poursuivi dans les rues et sur la place, et ce fut presque le même soulagement que celui éprouvé après la cessation du mal de mer, le même apaisement, bien que le lieu où il abordait maintenant, n’apparût vraiment pas comme un asile de repos ; au contraire, la cour semblait éclater de désordre. En réalité, ce n’était qu’un désordre apparent : les serviteurs impériaux, habitués à ce genre d’incidents maintenaient une stricte discipline ; et, immédiatement, un des majordomes, muni d’une liste des invités, s’approche de la litière pour prendre en compte l’arrivant, il se tourne impassible vers le serviteur, à qui il demande à voix basse le nom de l’invité, et en prend connaissance, impassible, puis le raye de sa liste, avec tant d’impassibilité et d’indifférence que c’en était presque offensant pour un poète célèbre, si offensant qu’il sentit la nécessité de confirmer les dires du serviteur et de les renforcer : « Oui, dit-il, Publius Vergilius Maro, c’est bien mon nom », et il eut une violente irritation en ne récoltant en échange qu’une brève inclination courtoise, mais toujours aussi indifférente, et en voyant le jeune garçon, dont il avait espéré le soutien, garder le silence et se contenter de se joindre doucement au cortège qui, sur un signe du fonctionnaire, se mit en marche vers la seconde cour, abandonnant le premier péristyle.
El desprecio luchaba contra el desprecio en el embudo estrecho, recalentado del portón de entrada. No era extraño, pues, que detrás de esa puerta, en el interior del patio, escapado a la lucha codiciosa, escapado a la cruda luz del infierno, se creyera liberado de todo el ultraje que le había perseguido por las calles y afuera en la plaza, y era casi el mismo alivio que había sentido cuando desapareció el mareo, la misma mejoría, aunque el lugar a donde ahora llegaba no se mostrase realmente como un lugar de paz, ya que por el contrario el patio parecía realmente estallar de desorden. De todos modos, se trataba sólo de un desorden aparente; la servidumbre imperial, acostumbrada a tales acontecimientos, guardaba una estricta disciplina, y pronto se acercó a la litera un funcionario de la corte, provisto de una lista de los huéspedes, para recibir al recién venido, dirigiéndose tranquilamente al servidor por quien se hizo decir al oído el nombre del huésped, registrando tranquilamente el nombre y tachándolo en la lista, tan serena e indiferentemente, que debió parecer decididamente ofensiva para un famoso poeta, tan ofensiva que él sintió la necesidad de confirmar la indicación del sirviente y reforzarla: «Sí, Publio Virgilio Marón, así me llamo», dijo y se irritó cuando, por toda contestación, recibió una breve inclinación, cortés pero no menos indiferente, y aun el jovencito, del que había esperado un apoyo, sin decir palabra, se unió obediente al cortejo, que ahora, a una señal del funcionario, se dirigió al segundo peristilo. De todos modos, el enojo no duró mucho;
Le chef du gouvernement sourit d’un air découragé, Tout cela est ridicule, absurde, dit-il, nous savons très bien que nous n’avons aucun choix et que les propositions que nous avons faites n’ont servi qu’à aggraver la situation, S’il en est ainsi, S’il en est ainsi et si nous ne voulons pas avoir sur la conscience quatre agents de surveillance par jour poussés à coups de gourdin vers le portail d’entrée de la mort, il ne nous reste plus qu’à accepter les conditions qui nous sont proposées, Nous pourrions déclencher une opération de police éclair, des arrestations fulgurantes, emprisonner plusieurs dizaines de maphieux, nous réussirions peut-être à les faire reculer, La seule façon de liquider le dragon c’est de lui couper la tête, lui limer les ongles ne sert à rien, Cela servirait quand même à quelque chose, Quatre agents de surveillance par jour, souvenez-vous, monsieur le ministre de l’intérieur, quatre agents par jour, mieux vaut reconnaître que nous sommes pieds et poings liés, L’opposition va nous tomber sur le poil avec la plus grande violence, nous accuser d’avoir vendu le pays à la maphia, Elle ne dira pas pays, elle dira patrie, C’est encore pire, Espérons que l’église nous donnera un coup de main, j’imagine qu’elle sera réceptive à l’argument qu’en sus de lui fournir quelques morts utiles, nous avons pris cette décision pour sauver des vies, On ne peut plus dire sauver des vies, monsieur le premier ministre, ça c’était avant, Vous avez raison, il va falloir inventer une autre expression. Un silence se fit. Puis le chef du gouvernement dit, Finissons-en, donnez les instructions nécessaires à votre chef de service et commencez à désactiver, nous avons besoin aussi de connaître les idées de la maphia sur la répartition territoriale des vingt-cinq pour cent d’agents de surveillance qui constitueront le numerus clausus, Trente-cinq pour cent, monsieur le premier ministre, Je ne vous remercie pas de me rappeler que notre déroute est encore plus grande que celle qui paraissait inévitable dès le début, C’est un triste jour, Si les familles des quatre agents savaient ce qui se passe ici, elles ne diraient pas ça, Et quand je pense que demain ces quatre agents travailleront peut-être pour la maphia, C’est la vie, mon cher titulaire du ministère des vases communicants, De l’intérieur, monsieur le premier ministre, de l’intérieur, Celui-là est le dépôt central vers lequel tout conflue.
El jefe del gobierno sonrió desalentado, Todo esto es ridículo, absurdo, dijo, sabemos muy bien que no tenemos dónde elegir y que las propuestas que hemos hecho sólo han servido para agravar la situación, Siendo así, Siendo así, y si no queremos cargar nuestra conciencia con cuatro vigilantes al día empujados a golpes hasta el portón de entrada de la muerte, no nos queda otro camino que no sea aceptar las condiciones que nos han propuesto, Podíamos desencadenar una operación policial relámpago, una redada, meter en la cárcel a unas cuantas docenas de maphiosos, tal vez consiguiéramos que dieran marcha atrás, La única manera de liquidar al dragón es cortarle la cabeza, limarle las uñas no sirve de nada, Para algo servirá, Cuatro vigilantes por día, recuerde, señor ministro del interior, cuatro vigilantes por día, es mejor reconocer que nos encontramos atados de pies y manos, La oposición nos va a atacar con la mayor violencia, nos acusarán de haber vendido el país a la maphia, No dirán país, dirán patria, Peor todavía, Esperemos que la iglesia nos eche una mano, imagino que serán receptivos al argumento de que, además de fornecerles unos cuantos muertos útiles, tomamos esta decisión para salvar vidas, Ya no se puede decir salvar vidas, señor primer ministro, eso era antes, Tiene razón, será necesario inventar otra expresión. Hubo un silencio. Después el jefe del gobierno dijo, Acabemos con esto, dé las instrucciones necesarias a su director de servicio y comience a trabajar en el plan de desactivación, también necesitamos saber cuáles son las ideas de la maphia acerca de la distribución territorial del veinticinco por ciento de vigilantes que constituirá el numerus clausus, Treinta y cinco por ciento, señor primer ministro, No le agradezco que me haya recordado que nuestra derrota todavía es más grande que la que ya desde el principio parecía inevitable, Es un triste día, Las familias de los cuatro siguientes vigilantes, si supieran lo que está pasando aquí, no lo llamarían así, Y pensar que esos cuatro vigilantes mañana podrán estar trabajando para la maphia, Así es la vida, querido titular del ministerio de los vasos comunicantes, Del interior, señor primer ministro, del interior, Ése es el depósito central.
Juste derrière le portail d’entrée, il y avait la cour de récréation.
Al otro lado de la puerta de entrada estaba el patio del recreo.
Faites n'importe quoi qui leur fasse croire que nous attaquons au portail d'entrée.
Haced algo para que crean que vamos a atacar la puerta de entrada.
Puis j’ai passé le portail d’entrée de l’estacade vers l’aval, en attendant mon tour.
Cuando me llegara el turno, cruzaría la puerta de entrada de la barrera.
Alex dirigea son cheval vers l'extrémité de la plantation et le portail d'entrée.
Alex guio a su caballo hacia el final de la plantación, y la puerta de entrada.
Devant le grand portail d'entrée, dix des géants en armures montaient la garde.
Ante la gran puerta de entrada montaban guardia diez de los gigantes blindados.
Il descendit les escaliers jusqu'au grand portail d'entrée et tenta de l'ouvrir mais il était fermé à clef.
Bajó la escalera hasta la gran puerta de entrada e intentó abrirla, pero estaba cerrada.
Par une matinée grise, de petits nouveaux formaient un groupe à l’air perdu près du portail d’entrée.
Una mañana gris unos cuantos alumnos nuevos que parecían haberse extraviado formaban un grupo cerca de la puerta de entrada.
Le premier courait du portail d’entrée jusqu’à la bordure nord de la résidence, où l’eau continuait à grignoter les murs en train de s’effondrer.
La corriente principal corría desde la puerta de entrada hasta el extremo norte de la mansión, donde las aguas seguían desgastando los derruidos muros.
Au Mazar-e-Shohadda, le Cimetière des Martyrs, où elle avait été d’abord enterrée, la pancarte en fonte dont l’arc enjambait le portail d’entrée disait (en deux langues) : Nous Avons Donné Nos Aujourd’huis Pour Vos Demains.
En el Mazar-e-Shohada, el Cementerio de los Mártires, donde fue enterrada desde un principio, había un cartel de hierro fundido sobre la puerta de entrada que decía (en dos idiomas): Dimos nuestro presente por vuestro futuro.
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