Traduzione per "nous un savoir" a spagnolo
Esempi di traduzione.
ils me connaissent, enfin ils ont fini par savoir qui je suis.
me conocen, al final han acabado por conocerme.
 Ils semblent savoir qui sont leurs ennemis, reprit Ardai.
-Parece que conocen a sus enemigos –comentó-.
Ils me connaissent assez bien pour savoir que je ne supporte pas l’indiscrétion.
Me conocen de sobra como para saber que no soporto las indiscreciones.
Ton grand-père et moi sommes les seuls à savoir où elle se trouve.
Tu abuelo y yo somos las únicas personas que conocen la ubicación de la llave.
Il cheminera avec celui que tous connaissent sans savoir son nom ! 
¡Vagará con aquel al que todos conocen, pero nadie sabe quién es!
Je crois seulement qu'il y a des choses que tout le monde sait et doit savoir.
Solo creo que hay cosas que todos conocen, o deben conocer.
Toi et moi sommes les seuls encore en vie à savoir ce qui s’est réellement passé. De mon côté, je n’en ai jamais parlé.
Tú y yo somos ya los únicos que conocen la verdad, y yo no le he contado la historia a nadie.
Toutes ses relations font du bateau. — Mais il ne sait rien, ajoute-t-il. Vu qu’il n’y a rien à savoir.
Todos los que lo conocen salen con él en el barco-. No sabe nada. ¿Qué va a saber?
Enfin tout le monde connaît la réputation qu’elle a. Mais Roy faisait semblant de ne rien savoir. »
Significa que todos conocen su reputación, pero Roy fingió no saberlo.
— Vous avez l’air de savoir qui nous sommes tous, nota Belgarath.
—Pareces conocernos —observó Belgarath.
Afin que nous puissions nous rencontrer et, nous rencontrant, savoir — et, sachant, ne faire qu'une...
Para que nos conociéramos y, al conocernos, supiéramos y, al saberlo, nos uniéramos…
Aussi valables que fussent les raisons (je rentre au Brésil, je travaille dans une boîte de nuit, nous n’avons pas eu le temps de nous connaître, je ne m’intéresse pas au sexe, je ne veux rien savoir de l’amour, je dois apprendre à gérer une ferme, je n’entends rien à la peinture, nous vivons dans des mondes différents), la lui présentait un défi.
Por inmejorables que fuesen las razones (me voy a Brasil, trabajo en una discoteca, no hemos tenido tiempo de conocernos bien, no me interesa el sexo, no quiero saber nada de amor, tengo que aprender a administrar haciendas, no entiendo nada de pintura, vivimos en mundos diferentes), la vida la desafiaba.
Mais vous pouvez entendre pourquoi ce n’est ni possible ni désirable en l’occurrence. (Je me tus, espérant que la soif de Hubbard – pour le pouvoir, pour en savoir plus sur Matthew et moi, pour détenir quelque chose contre les Clermont s’il en avait besoin – l’emporterait.) Je puis user d’une coupe. — Non.
Pero podéis entender por qué eso no es posible, ni siquiera deseable, en este caso —insistí antes de quedarme en silencio, con la esperanza de que el hambre de Hubbard (de poder, de conocernos a Matthew y a mí, de tener algo que esgrimir sobre los De Clermont si alguna vez lo necesitaba) venciera—. Podría usar una copa.
(L’homme fait toujours cette erreur quand il cherche à expliquer qui il est en observant qui sont les autres. Car il ne peut savoir qui il est qu’au travers de Dieu et de Son regard souverain.) Elle entra dans le pavillon et s’assit sur un banc, non loin de moi. Je l’épiai un long moment, sans bouger. Elle se tenait droite et raide.
(Es defecto humano tratar de conocerse conociendo a los demás). (No podemos conocernos sino en Dios y en Su vida Omnipotente). »Penetró en el cenador y tomó asiento en uno de los bancos, a poca distancia de donde me encontraba. Durante largo rato la observé, perfectamente rígida y erguida.
Si l’on n’était jamais en mesure de se comprendre soi-même, s’il y avait toujours un angle mort, un point aveugle que l’on ne pouvait voir, que l’on ne pourrait jamais percevoir soi-même — quand bien même on s’examinait rigoureusement, et peut-être parce que l’on est toujours trop dur, trop indulgent avec soi —, et si, par surcroît, il y avait vraiment quelqu’un qui percevait autrui dans sa totalité, avec un regard impénétrable et un savoir tout aussi impénétrable, peut-être même sans que l’on s’en rende compte, dans ce cas, il fallait accepter que l’identité véritable et profonde de chacun reste un secret derrière les yeux de cet inconnu.
Porque si nunca éramos capaces de analizarnos a nosotros mismos, si siempre teníamos un ángulo sin visibilidad, una mancha blanca en el ojo que no podíamos ver, nunca podríamos llegar a conocernos, por muy duros que fuéramos con nosotros mismos, y quizá precisamente porque siempre somos demasiado duros o demasiado indulgentes cuando se trata de nosotros mismos; y si además había alguien que nos veía de cuerpo entero con una mirada extraña e inescrutable, con un conocimiento igual de extraño e inescrutable, quizá incluso sin que nos diéramos cuenta de ello, ¿había que resignarse a que la verdadera identidad plena de cada uno siguiera siendo un secreto oculto tras los ojos de ese desconocido?
elle, il lui suffisait pour l’instant de savoir qu’elle était un corps, qu’elle avait survécu, la beauté viendrait après, il fallait d’abord donner forme à ce corps qui menaçait à chaque instant de se désintégrer à l’instar du fœtus qu’elle n’avait su expulser que par le rire : elle dessinait avec des gestes de plus en plus rapides, fébriles, comme ses paroles que Laura n’oublierait jamais, ce qui est laid c’est le corps sans forme, aide-moi à rassembler les fragments épars, Laura, pour que je leur donne une forme, aide-moi à saisir au vol le nuage, le soleil, la silhouette au crayon de ma robe, le ruban rouge qui m’unit à mon fœtus, le drap ensanglanté qui me sert de toge, les larmes de verre qui me coulent sur les joues, tout cela, aide-moi, je t’en prie, à rassembler tous ces fragments pour leur donner une forme, tu veux bien ? peu importe le sujet, douleur, amour, mort, naissance, révolution, pouvoir, orgueil, vanité, rêve, mémoire, volonté, peu importe ce qui anime le corps du moment que cela lui donne une forme, car alors il cesse d’être laid, la beauté n’appartient qu’à celui qui la comprend, non à celui qui la possède, la beauté n’est rien d’autre que la vérité de chacun d’entre nous, celle de Diego lorsqu’il peint, la mienne que je suis en train d’inventer sur ce lit d’hôpital, quant à toi, Laura, tu n’as pas encore découvert la tienne, et après tout ce que je viens de te dire, tu comprends bien que ce n’est pas à moi de te la révéler, c’est à toi de la comprendre et de la trouver, ta vérité, tu peux me regarder sans gêne, Laura Díaz, dire que je suis horrible, que tu n’oses pas me donner un miroir, qu’à tes yeux je ne suis pas belle, qu’aujourd’hui et en ce lieu je ne suis pas jolie à voir, et, moi, je ne te réponds pas par des mots, je te demande des couleurs et du papier afin de transformer l’horreur de mon corps blessé et de mon sang répandu en ma vérité et ma beauté, parce que, amie de mon cœur — tu es vraiment ma copine du tonnerre de Dieu, tu sais —, la connaissance de soi-même rend beau parce qu’elle nous permet d’identifier nos désirs ;
brevivido, la belleza vendría después, lo primero era darle forma al cuerpo que amenazaba a cada rato y cada vez más con desintegrársele como ese feto que sólo pudo expulsar a carcajadas: dibujó cada vez más rápido y febril, como sus palabras que Laura ya no olvidaría nunca, lo feo es el cuerpo sin forma, ayúdame a reunir todo lo disperso, Laura, para darle forma propia, ayúdame a coger al vuelo la nube, el sol, la silueta de gis de mi vestido, el listón rojo que me une a mi feto, la sábana ensangrentada que es mi toga, el cristal coagulado de las lágrimas que me corren por los cachetes, todo junto, por favor, ayúdame a reunir todo lo disperso y darle forma propia, ¿quieres?, no importa el tema, dolor, amor, muerte, nacimiento, revolución, poder, orgullo, vanidad, sueño, memoria, voluntad, no importa qué cosa anime al cuerpo con tal de darle forma y entonces deja de ser feo, la belleza sólo le pertenece al que la entiende, no al que la tiene, la belleza no es otra cosa más que la verdad de cada uno de nosotros, la de Diego al pintar, la mía la estoy inventando desde esta cama de hospital, a ti te falta descubrir la tuya, Laura, tú entiendes por todo lo que te he dicho que yo no te la voy a revelar, a ti te toca entenderla y encontrarla, tu verdad, puedes mirarme sin pudor, Laura Díaz, decir que me veo horrible, que no te atreves a mostrarme el espejo, que a tus ojos hoy no soy bella, en este día y en este lugar no soy bonita, y yo no te contesto con palabras, te pido en cambio unos colores y un papel y convierto el horror de mi cuerpo herido y mi sangre derramada en mi verdad y en mi belleza, porque sabes, amiga mía de verdad, de verdad mi cuata mía a toda madre, ¿sabes?, conocernos a nosotros mismos nos vuelve hermosos porque identifica nuestros deseos;
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