Traduzione per "les prédateurs et leurs proies" a spagnolo

Les prédateurs et leurs proies

• depredadores y sus presas

Esempi di traduzione.

depredadores y sus presas

Nous étions un prédateur et une proie – et j’étais sur le point de me faire dévorer.
Éramos un depredador y su presa, y me encontraba en peligro de verme devorada.

Dans un monde en dessiccation, les jeux familiers de la compétition entre les prédateurs et leurs proies n’assumaient plus leur rôle.
En un mundo en proceso de desecación, los viejos juegos de la competición, del depredador y la presa, no eran ya tan eficaces como antes.

Penché en avant, les yeux au sol, l’homme marchait d’un pas lent avec la concentration du prédateur traquant sa proie.
avanzó lenta e inexorablemente, con el torso inclinado y la mirada en el suelo, como un depredador rastreando la presa.

Quand il les prit dans ses bras, leurs pleurs se répandirent dans la nuit telle la traînée de sang qui guide le prédateur jusqu’à sa proie.
Al tomarlos en sus brazos, el llanto de los bebés impregnó la noche como el rastro de san-gre que guía al depredador hasta su presa.

Les autres notharctus faisaient tout simplement partie de son environnement, comme les conifères et les podocarpes, les animaux en quête de nourriture, les prédateurs et les proies : tout cela n’avait rien à voir avec lui.
Los demás notharcus eran simplemente otro elemento del medio, como las coníferas y los podocarpos, los carroñeros, los depredadores y sus presas: no tenían nada que ver con él.

Alors, un éclair réveilla Mary Shelley qui aperçut Byron penché sur son mari tel un prédateur sur sa proie.
Entonces, el estallido de un rayo rasgando la bóveda del bosque despertó a la señora Shelley, que pudo ver al señor Byron inclinado sobre su marido como un depredador sobre su presa.

L’intelligence qui l’évaluait en ce moment même s’apparentait davantage au cerveau primaire qui existait au fond de chaque être civilisé, celui qui savait différencier le prédateur de la proie, le danger de la sécurité.
La inteligencia que lo juzgaba en este momento parecía provenir de la parte posterior del cerebro primitivo que existía en todo ser civilizado, la parte que sabía cómo diferenciar a los depredadores de las presas, el peligro de la seguridad.

Dans la forêt, les prédateurs et leurs proies s’apprêtaient à rejouer l’antique drame de la vie et de la mort. A la surface des marais, bleus comme le saphir, les piranhas s’étaient mis en quête de victimes.
Los depredadores y las presas ejecutaban las danzas de la supervivencia entre la maleza. Escarabajos piraña color azul zafiro zumbaban sobre las perezosas corrientes de los ríos en busca de víctimas, y otros insectos entonaban sus cánticos de apareamiento.

Les notharctus avaient même mis au point des appels et des odeurs d’alarme pour chacune des différentes familles de prédateurs – oiseaux de proie, prédateurs terrestres, serpents –, qui exigeaient toutes une réaction défensive appropriée.
Los notharcus habían desarrollado incluso un sistema de alarma a base de gritos y aromas para advertirse unos a otros de la presencia de diferentes clases de depredadores — aves de presa, cazadores terrestres, serpientes—, cada una de las cuales requería una estrategia defensiva diferente.