Esempi di traduzione.
Mais le fourmilion n'entend pas renoncer à sa proie.
Pero la hormiga-león no está dispuesta a renunciar a su presa.
Le chemin franchit sans encombre la zone d’activité des fourmilions tout en restant hors de portée des prédateurs volants.
El camino pasaba sin peligro por encima del alcance de las hormigas león y por debajo del de los predadores voladores.
Mais quand je leur ai raconté qu’à plusieurs reprises, tel un fourmilion malgré lui, j’avais dû échapper aux petits durs en me cachant au fond des trous à gravier dans les champs abandonnés derrière l’école, ils n’ont rien trouvé à répondre.
Pero cuando les expliqué que en varias ocasiones, perseguida por matones, había tenido que esconderme, cual reticente hormiga león, en el fondo de los hoyos de grava que había por los campos abandonados cerca de la escuela, se quedaron sin respuesta.
Je savais évidemment qu’elle arriverait, tôt ou tard, jusqu’à toi, car tout arrive jusqu’à toi, comme si tu étais un fourmilion, aux aguets dans son entonnoir paranoïde, mais en quelque sorte j’espérais que le déterminisme de notre monde ne soit pas si rigide, qu’il existe de possibles variations et réverbérations qui changent l’histoire, le destin, même peu à peu, à coups de minuscules déviations à chaque intersection.
Sabía, naturalmente, que tarde o temprano llegaría a ti, porque todo llega hasta ti, como si fueras una hormiga león escondida en su embudo paranoide y, en cierto modo, esperaba que el determinismo de nuestro mundo no fuera tan rígido, que fueran posibles vibraciones y reverberaciones que cambien la historia, el destino, aunque sea de forma paulatina, con un minúsculo desvío en cada cruce.
Ces fourrés de houx-youyouille sillonnés de pistes de fourmilions, ces taillis de fumyères géantes… — C’est ça ! s’exclama-t-il. C’est là que nous avons coupé la voie des airs qui mène au Village de Poudre Magique ! Il leva les yeux et scruta les frondaisons étiolées. Le sentier était bien là ; c’était à présent un chemin de rondins et de lianes accroché aux plus gros arbres, et il ne décrivait pas d’arabesques dans les airs.
Había una cierta familiaridad en esta zona. Se veían senderos por entre los arbustos como los causados por las hormigas león, zarzas, y lugares de plantas olorosas… —¡Claro! —exclamó—. Es el sitio que cruzamos por el sendero mágico en dirección del poblado del polvo mágico. Escudriñó a través del moribundo follaje. Allí estaba…, una pasarela construida con troncos y lianas, suspendida de los árboles más recios.
Probablement, ce serait le cas, puisque je marchais depuis moins d’un quart d’heure dans les salles chargées d’éléments qui flottaient dans leur liquide à la fois placentaire et céphalorachidien – des ténias, lombrics, sarcoptes, amibes, tiques gigantesques, pince-oreilles et fourmilions, et larves horribles de libellules –, lorsque j’ai observé, en même temps que le changement de la lumière, une modification dans la forme des créatures cuirassées et guimpées derrière les parois de verre.
Probablemente así era, pues no llevaba siquiera un cuarto de hora deambulando por las salas repletas de muestras que flotaban en un líquido simultáneamente placentario y cefalorraquídeo —tenias, lombrices, sarcoptos, amebas, garrapatas gigantes, tijeretas y hormigas león, horribles larvas de libélula— cuando observé, junto con el cambio de la luz, una modificación en la forma de los seres provistos de caparazón y espinas tras las paredes de cristal.
Quand on était poursuivi par un dragon, la tactique la plus astucieuse consistait à faire quelques pas chez son plus proche confrère : la moindre incursion dans le domaine du voisin amenait inévitablement ces monstres à régler leurs comptes entre eux. Mais le parcours se compliqua bientôt. D’énormes fourrés de houx-youyouille à l’humeur mesquine occupaient les trois quarts de la zone, des bataillons de fourmilions montaient la garde sur une partie des sentiers restants et les autres traversaient des taillis de fumyères géantes d’une puanteur redoutable.
Cuando te perseguía un dragón, el lugar más seguro era el territorio marcado por otro dragón; cualquier intromisión produciría un enfrentamiento entre ambos animales. No obstante, el camino no tardó en hacerse más difícil. Zarzas de brillantes extremos y disposición amenazadora cubrían grandes zonas, y una orgullosa hueste de hormigas león patrullaba otras. Una hilera de arbustos de hedor rodeaba la mayor parte del camino libre que quedaba; pertenecían a una especie particularmente grande y potente. El grupo intentó pasar por entre ellos, pero el olor se hizo tan intenso que incluso el ogro habría vacilado.
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