Traduzione per "chiffonné" a spagnolo
Chiffonné
Esempi di traduzione.
Elle sortit de son sac à main l’enveloppe chiffonnée et en tira la photo du jeune homme en uniforme.
Meredith sacó de su bolso su muy estropeado sobre de tamaño A5 y extrajo la fotografía del joven con uniforme de soldado.
Les souillures avaient suffisamment séché pour qu’elle puisse en racler la plus grosse partie et enterrer les serviettes, ses dessous irrécupérables, et ses dessins chiffonnés.
La mierda se había secado lo bastante como para poder rascar la mayor parte y enterrar las servilletas, su ropa interior estropeada y los dibujos arrrugados.
On peut lui donner une vieille tenue de travail de Patrick en échange de ce que nous ne pourrons jamais vendre autrement que comme chiffons.
Podemos prestarle algo viejo de Patrick…, bueno, podemos incluso dárselo a cambio de esa tan estropeada que ahora lleva. Luego intentaremos venderla, aunque sea como harapos.
Ils aperçurent un poêle à gaz transformé en commode, le four rempli de vieux chiffons. Dans une cheminée en pierre, quelques bûches se consumaient sous une vieille bouilloire, et les murs étaient maculés de suie.
En un rincón vieron un fogón de ladrillo, con unos troncos ardiendo bajo una estropeada cacerola y la pared manchada con grandes trazos de hollín.
Sur la droite, une porte ouvrait sur la salle d’eau : un W-C chimique hors d'usage, un trou béat dans le mur et l’endroit où devait se trouver jadis un lavabo et une longueur de tuyau pendant au-dessus d’un bac à douche où s’entassaient des chiffons.
A la derecha había una puerta que daba a un cuarto de baño consistente en una estropeada letrina autodepuradora, un feo agujero en la pared donde antaño habían instalado un lavabo y un trozo de cañería que asomaba sobre la pila de una ducha llena de trapos.
Tandis que je le regardais, le sentiment subtil, bizarre, qu’il me faisait signe vint s’ajouter à la menace repoussante  ; et, curieusement, cette nuance nouvelle me troubla davantage que l’impression première. Nous ne rencontrâmes personne sur la route, mais bientôt nous passâmes devant des fermes désertes plus ou moins en ruine. Puis je remarquai quelques maisons habitées aux fenêtres brisées bourrées de chiffons, aux cours jonchées de coquillages et de poissons morts.
Por un momento, mientras lo contemplaba, tuve la sorprendente sensación de que me estaban haciendo señas desde allá, lo que me produjo un inmenso malestar. No encontramos a nadie por el camino. Empezamos a cruzar por delante de una serie de granjas desiertas y desoladas. Después vinieron unas pocas casas habitadas, cuyas ventanas estaban tapadas con harapos. En los estercoleros se amontonaban las conchas y el pescado estropeado.
C’est pourquoi il me semble aujourd’hui impardonnable d’avoir de mon fait entravé durant tant d’années, même si ce n’était pas intentionnel, l’enquête sur mon passé antérieur, de sorte qu’il est maintenant trop tard pour aller trouver Adler, qui a vécu à Londres jusqu’à sa mort survenue pendant l’été 1988, et m’entretenir avec lui de cette enclave extraterritoriale dans laquelle par moments, comme je l’ai sans doute déjà dit, précisa Austerlitz, près de soixante mille personnes ont été entassées sur une surface d’à peine plus d’un kilomètre carré, des industriels et des fabricants, des avocats et des médecins, des rabbins et des professeurs d’université, des chanteuses et des compositeurs, des directeurs de banque, des commerçants, des sténotypistes et des femmes au foyer, des agriculteurs, des ouvriers ou des millionnaires, des gens de Prague et du reste du protectorat, de Slovaquie, du Danemark et de Hollande, de Vienne et de Munich, de Cologne et de Berlin, du Palatinat, de Westphalie et de la Basse-Franconie, chacun devant se contenter pour vivre d’un espace d’environ deux mètres carrés et, dans la mesure où il était à peu près en état de le faire ou plutôt jusqu’à ce qu’il soit enwagonné, comme on disait, et expédié à l’Est, étant contraint de travailler sans percevoir la moindre rémunération dans l’une des manufactures installées pour création de profit par le département de l’Économie extérieure, l’atelier de bandages de contention, la maroquinerie, la production d’articles de mode, de semelles de bois et de galoches en cuir de vache, la meule à charbon de bois, la confection de jeux de société tels que morpion, petits chevaux ou autres dames chinoises, le clivage des feuilles de mica, la tonte des poils de lapin, la mise en sachets de la poudre d’encre, la magnanerie des SS ou les nombreuses entreprises d’économie interne, le vestiaire, l’atelier de district pour le raccommodage, la récupération en tout genre, l’entrepôt des vieux chiffons, l’équipe d’enregistrement des livres, la brigade des cuisines, l’épluchage des pommes de terre, la transformation des os en farines ou la section des matelas, le service des malades et grabataires, la désinsectisation et l’élimination des rongeurs, le bureau d’encasernement, le greffe, l’administration autonome, laquelle avait son siège dans la caserne BV dénommée “le Château”, ou encore le transport de marchandises intra-muros, maintenu grâce à un bric-à-brac de charrettes des plus hétéroclites et quelque quatre douzaines d’antiques corbillards récupérés dans les communes rurales dissoutes du protectorat et regroupés à Theresienstadt où, avec deux hommes attelés au timon, quatre à huit poussant à l’arrière et s’agrippant aux rayons, ils roulaient dans les ruelles encombrées, étranges véhicules brinquebalants dont la peinture noire et argent ne tarda pas à s’écailler et dont bientôt on scia grossièrement les superstructures en mauvais état, les hauts bancs de cocher et les dais soutenus par des colonnes en bois tourné, jusqu’à ce que les soubassements portant des numéros et des inscriptions à la craie ne laissent plus guère deviner leur utilisation première, une utilisation, dit Austerlitz, qui restait d’ailleurs encore fréquemment la leur, car une part considérable des chargements que jour après jour il fallait transporter dans Theresienstadt était constituée par les morts, toujours en grand nombre, vu qu’en raison de la densité élevée de la population et du manque de nourriture les maladies infectieuses telles que scarlatine, entérite, diphtérie, jaunisse et tuberculose étaient impossibles à enrayer, que l’âge moyen des personnes déportées du territoire du Reich dans le ghetto dépassait les soixante-dix ans
Por eso me parece hoy imperdonable haber impedido la investigación de mi pasado lejano durante muchos años, sin duda no premeditadamente, pero sí por mí mismo, y que ahora sea demasiado tarde para visitar a Adler, que hasta su muerte en el verano de 1988 vivió en Londres, para hablar con él de ese lugar extraterritorial, en el que a veces, como sin duda he mencionado ya, dijo Austerlitz, había unas sesenta mil personas metidas a la fuerza en una superficie de apenas algo más de un kilómetro cuadrado, industriales y fabricantes, abogados y médicos, rabinos y catedráticos de universidad, cantantes y compositores, directores de bancos, comerciantes, taquígrafas, amas de casa, agricultores, obreros y millonarios, gentes de Praga y del resto del Protectorado, de Eslovaquia, de Dinamarca, de Holanda, de Viena y Munich, Colonia y Berlín, del Palatinado, de la Baja Franconia y de Westfalia, de las que cada uno tenía que arreglárselas con unos dos metros cuadrados de vivienda y todos, en la medida en que de algún modo pudieran hacerlo, o mejor dicho, hasta que, como se decía, fueran «envagonados» y enviados al Este, estaban obligadas a trabajar, sin la más mínima remuneración, en alguna de las manufacturas creadas por el Departamento de Comercio Exterior para obtener beneficios, en el taller de vendajes, en la talabartería, en la producción de guarnicionería, en la fabricación de accesorios de moda, en la de suelas de madera y chanclos de cuero de vaca, en el patio del carbón, en la producción de juegos como «Tres en raya», «No te enfades, hombre» y «Para ti el sombrero», partiendo mica, esquilando conejos, embotellando tinta en polvo, criando los gusanos de seda de las SS o en los numerosos talleres de la economía interior, en la sala de prendas de vestir, la de remiendos del distrito, el puesto de venta al por menor, el depósito de trapos, con el grupo de encuadernación de libros, la brigada de cocina, el pelotón de pelar patatas, el aprovechamiento de los huesos o la sección de colchones, en el cuidado de enfermos y achacosos, en la desinfección y la lucha contra los roedores, en la oficina de ubicación, en la inspección central, en la autoadministración, que tenía su sede en la barraca BV llamada «El castillo», o en el transporte de mercancías, que dentro de los muros se realizaba con una mescolanza de los más diversos carros y con unas cuatro docenas de anticuados coches fúnebres, que habían llevado de las abandonadas comunidades rurales del protectorado a Theresienstadt, donde, con dos hombres enganchados en las lanzas y de cuatro a ocho empujando y agarrando los rayos de las ruedas, se movían por las callejas abarrotadas, extraños vehículos balanceantes de los que, pronto, se descascarilló la pintura negra plateada y, de forma tosca, se serraron las estropeadas superestructuras, los altos pescantes y los techos almenados soportados por columnas salomónicas, de forma que las partes inferiores, numeradas y escritas con cal, apenas revelaban ya su función de otro tiempo, una función, dijo Austerlitz, que evidentemente desempeñaban todavía hoy con frecuencia, porque una parte considerable de lo que en Theresienstadt había que transportar a diario eran los muertos, de los que siempre había muchos porque, por la gran densidad de población y la alimentación deficiente, no se podía contener enfermedades infecciosas como la escarlatina, la enteritis, la difteria, la ictericia y la tuberculosis, y porque la edad media de los transportados al gueto desde la zona del Reich era de más de setenta años, y esas personas, a las que, antes de ser enviadas, se les hablaba de un agradable balneario climatológico llamado Theresienstad, con hermosos jardines, caminos para pasear, pensiones y villas y a las que, en muchos casos, se las había convencido u obligado a firmar unos, así llamados, contratos de compra de hogar, por un valor de hasta ochenta mil marcos, como consecuencia de esas ilusiones que les habían hecho concebir, habían llegado a Theresienstadt equipadas de una forma completamente equivocada,
arrugado
Le papier avait été chiffonné.
El papel estaba muy arrugado.
Il y avait un journal chiffonné, contre la
Había un periódico arrugado contra los...
Le tissu était sale et chiffonné.
La tela estaba sucia y arrugada.
Il tire sur sa veste chiffonnée.
Se quita la chaqueta arrugada.
— Tu as chiffonné ta robe, continue-t-elle.
—Toda tu ropa está arrugada.
Elle tapota le drap chiffonné.
—La mujer palmeó la sábana arrugada.
Son visage chiffonné était livide.
Su arrugado rostro era de una palidez fantasmal.
L’homme frappa presque furtivement. Il portait un costume chiffonné sur un corps tout aussi chiffonné.
Llamó el hombre casi furtivamente, llevaba un traje arrugado sobre un cuerpo no menos arrugado.
Elmer attrape un catalogue chiffonné.
Elmer agarró un catálogo arrugado.
Son visage était comme froissé, chiffonné.
Tenía el rostro arrugado, como si se lo hubieran estrujado.
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