Traduzione per "affre" a spagnolo
Esempi di traduzione.
Bernard, sens-tu maintenant les affres du grand changement ?
Bernard, ¿sientes ahora el miedo por el gran cambio?
Ressentait-il les affres d'une peur secrète ou croyait-il à son impunité ?
¿No sentiría miedo interiormente o confiaría en que su crimen quedaría impune?
Alors il n’y aura plus que l’adieu du départ, l’adieu à jamais, la lutte mortelle du sentiment, l’heure pleine d’affres épouvantables, d’affres comme celles qui, sans doute, précèdent la mort, et qui sont l’agonie, sinon déjà la mort.
Entonces, más que un adiós de despedida, será un adiós para siempre, la lucha mortal del sentimiento, la hora llena de los miedos espantosos, miedos como los que, sin duda, preceden a la muerte, y que son la agonía, si es que no son la muerte misma.
Johnny fit craquer les céréales sous ses dents, pris entre les affres à présent familières du désir de le voir et de la crainte de son apparition à la porte.
Johnny masticó concienzudamente sus cereales, asaltado por aquella tensión que ya le resultaba familiar: las ganas de verlo y el miedo a que entrara por la puerta.
La faim, les travaux accablants, la peur, ses nerfs perpétuellement tendus, les affres de la guerre et de la Reconstruction lui avaient pris tout ce qu’elle avait de chaleur, de jeunesse et de douceur.
El hambre, la dura labor, el miedo, la constante tensión, los terrores de la guerra y los terrores de la Reconstrucción habían hecho desaparecer toda ternura, toda emoción, todo lo que en ella había de juvenil.
Après de longues tergiversations, Jésus monta à Jérusalem avec ses disciples. Là, il replongea dans les affres du doute. En plus, il mourait de peur comme n’importe quel mortel.
Tras muchos tormentos, Jesús fue con sus adeptos a Jerusalén. Pero allí volvieron a sobrevenirle las dudas. Y no solo las dudas, sino también el miedo a la muerte, sencilla y llanamente, como a cualquier hombre.
Il la vit arriver par un des bas-côtés, avec Arthur et un jeune homme – pourvu d’un gazon ras à la place de cheveux, et de lunettes – dont la vue le plongea dans des affres de méfiance et de jalousie.
La muchacha avanzaba por el pasillo, en compañía de Arthur y de un joven desconocido, de cabello muy corto y lentes, cuya presencia provocó en Martin miedo y celos.
Chaque seconde qui passait lui faisait redouter de plus en plus les affres de la punition – poussée peut-être jusqu’au degré ultime qu’avait connu Hamish.
Apenas podía creer que hubiera sido capaz de contarle tanto; cada momento que pasaba le hacía, temer más los estertores del castigo, quizá incluso hasta el último: grado infligido a Hamish.
La panique, les affres de la mort au moment où vous ne pouvez plus respirer.
Ese pavor, la angustia al ver que no puedes respirar.
Les serviteurs les interprétaient comme les manifestations théâtrales d’un homme atrabilaire, en proie aux affres de la plus noire mélancolie. Mais la pauvre petite Virginia en avait très peur.
Los criados los concebían como histrionismos de un hombre de fuerte carácter presa de una negra melancolía, pero a la pobre y pequeña Virginia le daban pavor.
Il oscillait entre la terreur d’un naufrage et les affres du mal de mer.
Vacilaba entre el terror a un naufragio y las angustias del mareo.
Mr Marl était de ces créatures qui peuvent ressentir en un seul jour les affres d’un siècle d’enfer.
El señor Félix Marl era uno de esos individuos capaces de padecer en un solo día los terrores de un eón[1].
Dans son malheur, la providence avait permis qu'elle puisse parler à quelqu'un. Quelqu'un qui se débattait comme elle dans les affres de l'incertitude, à ceci près que Chloé ne semblait pas en danger de mort.
Page se alegraba de tener a alguien con quien conversar, y además una persona que compartía los terrores en que estaba sumida, salvo que Chloe, aunque muy maltrecha, no parecía correr peligro de muerte.
J'imagine qu'elle passera la nuit dans les affres, tremblant d'entendre le pas du policier à sa porte — après cette première nuit de veille, vouée, pour elle comme pour moi, au deuil d'une chimère. 18 juillet 1873 
Me la imagino sudando de terror esta noche al oír los pasos del policía delante de su casa, al igual que la noche anterior la pasó en vela, como yo, llorando para nada. 18 de julio de 1873
Comme une furie vengeresse, elle raconta avec des cris, avec des terreurs qu’elle ressentait encore comme si, encore, s’allongeait devant elle la main armée du poison, la main mystérieuse, au-dessus du chevet du cher malade, du cher affreux tyran… elle raconta la nuit précédente et toutes ses affres… et sur ses lèvres, bavardes et glapissantes, cette lugubre évocation prenait un relief saisissant.
Cual furia vengadora, Matrena contaba a gritos, aún presa del terror, como si la mano armada de veneno, la mano misteriosa, continuase alargándose frente a ella, junto a la cabecera del querido y terrible tirano…, contaba lo ocurrido la noche anterior y todas las precedentes… y en sus labios, charlatanes y vocingleros, aquella lúgubre evocación adquiría un realce sobrecogedor.
tandis que dans l’entrée, debout dans la lumière, près de la porte dont il avait cassé la vitre afin de tourner la poignée (dans les affres de la passion Pamela avait oublié de fermer le verrou), se tenait un personnage sorti d’un cauchemar ou d’un feuilleton de télé avec carré blanc, couvert de boue, de glace et de sang, la créature la plus poilue qu’on ait jamais vue, avec les pattes et les sabots d’un bouc géant, un torse d’homme avec une fourrure de bouc, des bras humains, et une tête humaine à part les cornes, couverte de crotte, de saleté et d’une barbe naissante.
mientras abajo, en el vestíbulo, de pie, bien iluminada junto a la puerta de entrada con el panel de cristal que había roto para hacer girar el picaporte (Pamela, en la efervescencia de su pasión, olvidó echar los cerrojos de seguridad), había una figura que parecía salida de una pesadilla o de una película de terror de la televisión, una figura cubierta de barro, hielo y sangre, la criatura más peluda que hayan visto ustedes, con las patas y pezuñas de un macho cabrío gigante, brazos humanos y una cabeza armada de cuernos pero, por lo demás, humana, cubierta de tizne y mugre y un poco de barba.
ceux qui ne le font pas subiront les affres du plus terrible des enfers.
los que no lo hagan, descenderán al más terrible de los infiernos.
Elle racontait aussi qu’il y avait une tour des Tortures, où tous ceux qui entraient mouraient dans les affres de l’angoisse. »
También se decía que había una Torre del Tormento, donde todos los que entraban morían en medio de la más terrible agonía.
Vous serez richissimes et vous pourrez profiter de cet argent en toute quiétude, sans connaître les affres et le stress du monde de la finance.
Todos ustedes se harán muy ricos y podrán disfrutar de su ocio sin las terribles tensiones que lleva aparejadas la gestión de un negocio de semejante envergadura.
Dundridge passa la soirée et une bonne partie de la nuit à faire les cent pas dans sa chambre, dans les affres de l’inquiétude.
Dundridge se pasó el resto de la tarde y la mayor parte de la noche paseando de un extremo a otro de su dormitorio, sometido a los terribles tormentos de la duda y la incertidumbre.
Nous apercevons Dimitri Karamazov dans les affres de l’instruction judiciaire, écumant de fureur, de passion, abattant ses poings sur la table qu’il brise.
Vemos a Dmitri Karamázov pasando el purgatorio de los interrogatorios, espumeante de ira, de pasión, rompiendo la mesa con sus terribles puños.
Ce qui m’a retenu fut la terrible certitude que la plupart d’entre eux s’y seraient attelés avec enthousiasme et que certains auraient été émus jusqu’aux larmes pendant les affres de la composition.
Me contenía la certeza, absoluta y terrible de que la mayoría le habría puesto mucho entusiasmo. Hasta habría alguno que llorara en plena labor creativa.
Et encore une fois, je connus ces affres de la jalousie, terribles, injustifiées, indésirables, comme si mon Ermizhad témoignait de l’affection à un rival.
Y de nuevo sentí aquella terrible, injustificada e indeseada punzada de celos, igual que si mi Ermizhad demostrara afecto por un rival.
Nous avons servi le Bâton Runique et cher nous en a coûté. Maints moururent à ce service, maints connurent les pires tourments, et les affres du désespoir sont toujours notre lot.
Servimos al Bastón Rúnico. El precio fue alto. Muchos murieron. Muchos sufrieron tormentos. Aún está impresa en nuestras almas una terrible desesperación.
Pour la première fois, je remarquai – comme j’allais le noter fréquemment pendant que durerait mon épreuve, entre les affres d’un moment de douleur et le suivant – que ma souffrance se jouait sur une scène grandiose.
Por primera vez, y no la última, ya que me ocurrió repetidas veces entre trances de tormento a lo largo de mi terrible experiencia, me di cuenta de la grandiosidad del escenario de mi sufrimiento.
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