Traduzione per "acheter un billet pour" a spagnolo
Acheter un billet pour
  • comprar un boleto para
  • comprar un billete para
Esempi di traduzione.
comprar un boleto para
Il me jura qu’il allait acheter les billets.
Me prometió que iba a comprar los boletos.
S’il voulait, il pouvait s’acheter un billet et attendre que Dieu ou la chance décide de son sort.
Que si quería que comprara un boleto y que esperara a que Dios o la suerte decidieran.
Le détenteur du numéro gagnant se révèle être le Pr Douglass, que Jasper Richmond a coincé un jour au Club des professeurs et persuadé d’acheter un billet.
El dueño del número de la suerte resulta ser el profesor Douglass, a quien Jasper acorraló un día en el edificio del profesorado y le convenció de que comprara un boleto.
“Me dis pas que tu as les chocottes et que tu ne veux plus partir”, a-t-il voulu savoir, comme s’il avait pu lire sur mon visage le dilemme dans lequel je me débattais, aller tout de suite acheter le billet ou attendre d’avoir des nouvelles de don Chente ;
«¿No te estarás rajando, verdad?», inquirió como si hubiese podido leer en mi rostro el dilema en que me debatía, si me lanzaba ahora mismo a comprar el boleto o esperaba a tener noticias de don Chente;
À onze heures trente-cinq il découvrit la jupe bleue de Laura et la suivit à distance, il la vit consulter le tableau d’arrivée, questionner un employé, acheter un billet de quai, s’engager sur le quai où les gens se groupaient déjà avec un air d’attente.
A las once y treinta y cinco descubrió a Laura por su falda azul, la siguió a distancia, la vio mirar el tablero, consultar a un empleado, comprar un boleto de plataforma, entrar en el andén donde ya se juntaba la gente con el aire de los que esperan.
Mon dilemme était le suivant : acheter le billet sans savoir avec certitude si don Chente avait été arrêté était une bêtise, mais retarder l’achat me faisait courir le risque de perdre ma réservation et de devoir payer plus cher, ainsi que m’avait prévenu l’employée de l’agence de voyages.
Y es que mi dilema era el siguiente: comprar el boleto sin saber con certeza si don Chente había sido capturado era una tontería, pero al retrasar la compra corría el riesgo de perder la reservación y de que el boleto se encareciera, tal como me había advertido la chica de la agencia de viajes.
J’ai porté la main à la poche arrière gauche de mon pantalon où la palpation n’a rien révélé, mon portefeuille en cuir n’y était pas, me suis-je dit avec terreur, perdre mon portefeuille avec mes papiers d’identité et mes cartes de crédit était ce qui pouvait m’arriver de pire en ce moment, alors qu’il ne me restait plus qu’à toucher mon chèque de départ pour acheter mon billet pour San Salvador, le pompon serait que le chauffeur de taxi ait profité de mon état second pour mettre la main sur mon portefeuille.
Me llevé la mano al bolsillo trasero izquierdo del pantalón, donde nada palpé, mi billetera de cuero no estaba, me dije aterrorizado, que lo peor que podía pasarme era perder en ese momento mi billetera con mis documentos de identidad y mis tarjetas de crédito, cuando ya sólo me faltaba cobrar mi liquidación y comprar el boleto aéreo para largarme a San Salvador, el acabose sería que el taxista se hubiera quedado con mi billetera, aprovechándose de mi enceguecimiento.
Et c’est alors que je me suis demandé ce qui m’arrivait, merde, ce que je faisais à courir comme un énergumène aux trousses du Negro Félix, au lieu de me diriger vers la banque pour déposer mon chèque, de manger rapidement quelque chose et de me rendre ensuite en personne à l’agence de voyages pour acheter le billet, elle était là, la bonne décision, indépendamment du sort qu’avait pu connaître mon médecin, le pire n’est jamais sûr, me suis-je dit soudain, ralentissant le pas, avec la sensation que quelque chose s’était mis en place dans mon cerveau.
Y entonces me pregunté qué estaba sucediendo conmigo, qué carajos hacía correteando como energúmeno tras la agitación del Negro Félix, en vez de dirigirme al banco a depositar el cheque, comer algo deprisa y luego apersonarme en la agencia de viajes a comprar el boleto, que eso era lo que procedía, más allá de la suerte que hubiera corrido mi médico, que caras vemos y conspiraciones no sabemos, me dije de pronto, deteniendo el paso, con la sensación de que algo había encajado en mi cerebro.
Nous marchions en sens inverse sur San Lorenzo en direction d’Insurgentes, le Negro Félix criant encore derrière moi que ce n’était pas possible que cette “pouilleuse de merde” ait refusé de me rendre mon carnet, tandis que moi j’étais tiraillé par des émotions malsaines, d’un côté j’avais envie de hurler à mon compagnon qu’il disparaisse sur-le-champ, qu’il dégage, qu’il me laisse seul, et d’un autre côté je m’en voulais parce que j’étais le seul coupable de ce qui m’arrivait, c’était moi qui avais appelé le Negro Félix pour qu’il me rejoigne au Sanborns, au lieu de soigner ma gueule de bois tout seul avant d’aller déposer le chèque et d’acheter le billet d’avion, ainsi que le dictait le bon sens, non, j’avais cru bon d’appeler précisément le Negro Félix. Nous marchions ainsi, ensemble mais chacun dans ses pensées quand, après avoir traversé, j’ai entendu une voix dans mon dos qui disait : “Hé, vous deux, là !”, une voix vers laquelle je me suis retourné pour découvrir qu’il s’agissait de deux flics dans un véhicule de patrouille en train d’avancer lentement derrière nous, comme pour nous escorter, le temps d’évaluer à qui ils avaient affaire. “Arrêtez-vous !” a ordonné le gros à visage porcin qui était au volant, tout en garant la voiture et en s’apprêtant à ouvrir la portière, un ordre face auquel ma première impulsion a été de me mettre à courir à toutes jambes, réaction normale pour quelqu’un de mon pays, et par conséquent normale aussi pour le Negro Félix, dont les traits ont changé radicalement, comme sous l’effet de la même combustion que je ressentais moi-même, qui venait de brûler la dernière goutte d’alcool dans mon sang, pris totalement par surprise, mon compagnon au milieu de sa péroraison et moi en plein effondrement, et après avoir été fauchés net par la peur, nous n’avions plus qu’à attendre pétrifiés que les flics nous abordent, le gros au visage porcin et un petit maigre avec une moustache à la Cantinflas qui nous a lancé à brûle-pourpoint : “Alors, jeunes gens, c’est quoi ce tapage à une heure pareille ?”
Caminábamos sobre San Lorenzo de regreso hacia Insurgentes, el Negro Félix aún gritoneando a mi espalda que no era posible que «esa cholera de mierda» se hubiera negado a regresarme mi libreta, y yo tironeado por emociones malsanas, pues por un lado tenía ganas de espetarle a mi acompañante que desapareciera en el acto, que se esfumara, que me dejara solo, y por el otro me recriminaba que fuera yo el único culpable de que me sucediera lo que me estaba sucediendo, porque era yo quien había llamado al Negro Félix para que llegara al Sanborns, en vez de quitarme la resaca a solas y luego ir a depositar el cheque y comprar el boleto aéreo, como el sentido común dictaba, no, se me había tenido que ocurrir llamar precisamente al Negro Félix. En ésas íbamos, juntos pero cada cual en su mundo, cuando luego de cruzar la bocacalle oí a mis espaldas una voz que decía «¡Jóvenes!», una voz hacia donde me volví de inmediato para descubrir que se trataba de una pareja de policías que en un autopatrulla avanzaban lentamente tras de nosotros, como escoltándonos, tomándonos la medida. «¡Deténganse!», ordenó entonces el gordo de nariz porquina que iba al volante, mientras aparcaba el auto y se aprestaba a abrir la portezuela, una orden ante la cual mi primer impulso fue salir a la carrera, a todo lo que dieran mis piernas, reacción normal para alguien procedente del país de donde yo procedía, y por tanto normal también para el Negro Félix, cuyo semblante sufrió una súbita transformación a causa de la misma combustión que yo padecía y que quemó hasta la última gota de alcohol en mi sangre, tan desprevenidos veníamos, mi acompañante en su perorata y yo en mi aturdimiento, que luego de la estocada de miedo no hicimos más que esperar demudados a que los agentes nos abordaran, el gordo de la nariz porquina y un chaparrín menudo con bigotito a lo Cantinflas, quien a boca de jarro nos dijo: «¿Qué pasó, jovenazos, por qué haciendo escándalo tan temprano?».
comprar un billete para
— Je ne sais pas pourquoi il a acheté ces billets.
—No sé qué significa que comprara esos billetes.
Ils nous ont vus acheter les billets et ils ont suivi notre embarquement.
Nos han visto comprar los billetes y nos han visto embarcar.
– Alors, quelle magie as-tu employée pour acheter les billets ?
–Entonces, ¿qué magia has empleado para comprar sus billetes?
acheter des billets d'avion à l'aéroport des Invalides ;
comprar los billetes de avión en el aeropuerto de los Inválidos;
Juste à acheter le billet et me mettre dans l’avion.
Simplemente tengo que comprar el billete y montarme en el avión.
Tu as raison ! Faut se décider ! Faut acheter ces billets !
¡Tienes razón¡ ¡Hay que decidirlo en seguida! ¡Hay que comprar los billetes!
il serait plus prudent d’acheter son billet de retour pour le Brésil.
era más seguro comprar el billete de avión para Brasil.
– Acheter un billet de train pour Alep. Et des vêtements ternes.
Comprar un billete de tren para Alepo, y también algo de ropa poco vistosa.
À Peshawar, tout est facile, sauf d’acheter un billet de train.
Todo es fácil en Peshawar menos comprar un billete de tren.
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