Traduzione per "être impatient" a spagnolo
Être impatient
Esempi di traduzione.
Je crois que je finissais par être impatient.
Creo que yo acabé por estar impaciente.
Il avait, certes, des raisons d'être impatient !
¡Por supuesto, había razones para estar impaciente!
Ces hommes avaient toutes sortes de motifs d’être impatients.
Tenían muchas razones para estar impacientes.
Les clients doivent être impatients de tripoter leur machine !
¡Los clientes estarán impacientes por tocar sus máquinas!
Richard est impatient d’y êtreimpatient de ne pas avoir à s’occuper de Ben en tête à tête.
Richard aguarda impaciente la llegada de la hermana; impaciente para no tener que afrontar a Ben cara a cara.
para ser impacientes
Elle trouva sans doute qu'il devait être impatient, peut-être facilement cruel.
Se le antojó que, sin duda, debía ser impaciente, quizá fácilmente cruel.
André m’avait dit : “Moi aussi, comme toi, il m’arrive d’être impatient, d’exploser, de pester, de vitupérer.
André me dijo: «Yo también, como tú, suelo ser impaciente, y exploto, y echo pestes, y vitupero.
L’activité des Psis est comme une mosaïque ; ils ne peuvent se permettre d’être impatients, et nous non plus.
La actividad psi a gran escala es como un mosaico: ellos no pueden permitirse ser impacientes y nosotros tampoco.
J’avais l’impression d’imiter un enregistrement holo défaillant qui sautait et bégayait, mais je ne pouvais pas me permettre d’être impatiente.
Sentía que me escuchaba como un holograma mal grabado que se cortaba y tartamudeaba, pero no podía darme el lujo de ser impaciente.
Sauf que ce n’était pas encore sûr, il fallait attendre une réponse du docteur, mon vieux lui a déjà écrit, pas un docteur mais un savant, un cerveau comme il y en a là-bas et lui, papa elle est arrivée ? non, et le lendemain il y a eu du courrier, maman ? non mon cœur, calme-toi, ça ne va pas tarder, il ne fallait pas être impatient et à la fin la lettre arriva et son vieux le prit par les épaules : non, ça n’était pas possible, mon gars, il fallait avoir du courage.
Sólo que no era seguro todavía, había que esperar una respuesta del doctor, mi viejo ya le escribió, no un doctor sino un sabio, un cráneo de esos que tienen allá y él, papá, ¿ya llegó?, no, y al día siguiente ¿hubo correo, mamá?, no corazón, cálmate, ya llegará, no había que ser impaciente y por fin llegó y su viejo lo agarró del hombro: no, no se podía, muchacho, había que tener valor.
Dans les deux cas elle avait dû s’endormir un peu plus tard la pensée enfin vaincue ou en blanc, alors que si elle avait su ce qui presque jamais ne se sait et qu’elle ignora elle n’aurait pas pu trouver le sommeil, même elle aurait importuné le mari ou l’amant pour continuer, pour briser au plus vite ce verdict et empêcher sur-le-champ que cette fois fût la dernière, mais quand bien même elle aurait persuadé l’un ou l’autre, les aurait poussés à l’étreindre à nouveau, éveillés, au bout d’un moment elle aurait compris que cette dernière fois s’était à nouveau présentée et avait eu lieu, et ainsi s’enfuit le temps soumis à nos efforts inefficaces et contradictoires, nous nous permettons d’être impatients et de désirer qu’arrivent les choses que nous souhaitons ardemment et qui sont ajournées ou tardent, alors que tout semble peu de chose et trop bref une fois arrivé et une fois accompli, répéter chaque acte voulu nous rapproche un peu plus de son terme, et le pire c’est que de ne pas le répéter nous en rapproche également, tout voyage lentement vers son évanouissement au milieu de nos accélérations inutiles et de nos retardements fictifs, et il n’y a que la dernière fois qui soit la dernière.
Y en ambos casos se habría dormido un poco más tarde con el pensamiento al fin ahuyentado o en blanco, mientras que si hubiera sabido lo que casi nunca se sabe y no supo no habría podido conciliar el sueño, aún es más, habría importunado al marido o amante para seguir, para romper sin demora ese veredicto e impedir al instante que hubiera sido esa vez la última, pero de haber persuadido al uno o al otro, de haberlos instigado a abrazarla otra vez despiertos, al cabo de un rato más se habría encontrado con que esa vez última se había presentado de nuevo y ya había pasado, y así se va el tiempo sometido a esos forcejeos nuestros ineficaces y contradictorios, nos permitimos ser impacientes y desear que lleguen las cosas que ansiamos y se postergan o tardan, cuando todo parece poco y demasiado rápido una vez llegado y una vez concluido, repetir cada acto querido nos acerca algo más a su término, y lo malo es que también nos acerca no repetirlos, todo viaja lentamente hacia su difuminación en medio de nuestras aceleraciones inútiles y nuestros retrasos ficticios, y sólo la última vez es la última.
Le surveillant ne tarda guère, Tu peux commencer à travailler tout de suite, je vais te conduire là où l’on malaxe l’argile, Je gagnerai combien, demanda caïn, Les malaxeurs gagnent tous la même chose, Oui, mais ça fera combien, Ce n’est pas mon affaire, en tout cas, si tu veux un conseil, ne pose pas cette question dès maintenant, ce n’est pas bien vu, tu devras d’abord montrer ce que tu vaux, et je te dis encore autre chose, ne demande rien, attends d’être payé, Si tu penses que c’est mieux, je ferai comme tu dis, mais ça ne me semble pas juste, Ici, il ne faut pas être impatient, À qui appartient la ville, quel est son nom, Le nom de qui, celui de la ville ou celui de son seigneur, Des deux, La ville, pour ainsi dire, n’a pas encore de nom, les uns l’appellent d’une façon, les autres d’une manière différente, quoi qu’il en soit cet endroit est connu sous le nom de pays de nod, Je le savais déjà, un vieil homme que j’ai rencontré en arrivant me l’a dit, Un vieil homme avec deux brebis attachées par une ficelle, demanda le surveillant, Oui, Il vient parfois ici, mais il n’habite pas ici, Et le seigneur d’ici, c’est qui, Le seigneur est une dame et elle a pour nom lilith, N’a-t-elle pas de mari, demanda caïn, Je crois avoir entendu dire qu’il s’appelle noé, mais c’est elle qui gouverne le troupeau, dit le surveillant et il annonça immédiatement, Voilà où l’on malaxe l’argile.
El vigilante no tardó mucho, Puedes comenzar a trabajar ya, te llevo ahora mismo a la pisa del barro, Cuánto voy a ganar, preguntó caín, Los pisadores ganan todos lo mismo, Sí, pero cuánto voy a ganar, Eso no es de mi incumbencia, en todo caso, si quieres un buen consejo, no lo preguntes de entrada, no está bien visto, primero tendrás que demostrar lo que vales, y todavía te digo algo más, no deberías preguntar nada, espera a que te paguen, Si piensas que es lo mejor, así lo haré, pero no me parece justo, Aquí no conviene ser impaciente, De quién es la ciudad, cómo se llama, preguntó caín, Cómo se llama quién, la ciudad o el señor que manda en ella, Ambos, La ciudad, por así decir, todavía no tiene nombre, unos la llaman de una forma, otros de otra, de todas maneras estos sitios son conocidos como tierra de nod, Ya lo sé, me lo ha dicho un viejo que he encontrado al llegar, Un viejo con dos ovejas atadas con una cuerda, preguntó el vigilante, Sí, Aparece por aquí a veces, pero aquí no vive, Y el señor de aquí, quién es, El señor es señora y su nombre es lilith, No tiene marido, preguntó caín, Creo haber oído decir que se llama noah, pero ella es quien gobierna el rebaño, dijo el vigilante, e inmediatamente anunció, Ésta es la pisa del barro.
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