Traduction de "écartaient" à espagnol
Exemples de traduction
Ils s’écartaient devant lui et se groupaient en arrière pour le suivre et le regarder.
La multitud se apartaba para dejarle pasar, y se cerraba de nuevo a su espalda para seguirle, sin apartar la vista de su figura.
Ce fut un soulagement pour Maigret d’entendre arriver les gens de la police qui écartaient la foule et la marmaille.
Fue un alivio para Maigret oír llegar a los agentes de policía, que empezaron a apartar a la multitud y a la chiquillería.
ma lampe d’étude, et toute la ferveur de mon amour et de ma foi écartaient mal, hélas! la nuit et le froid de mon cœur.
La espesa bruma invernal me rodeaba… ¡La lámpara de mi estudio y todo el fervor de mi cariño y de mi fe no bastaban, ay, para apartar la oscuridad y el frío de mi corazón!
Et aussi sur des bandes vidéo, images imprécises qui se terminaient toujours par l’irruption brutale, dans le champ, de gorilles qui écartaient brutalement l’objectif.
También cintas de vídeo, imágenes imprecisas que siempre terminaban con rudos gorilas entrando en cuadro para apartar con violencia el objetivo.
Le chauffeur abandonna la Mercedes au milieu de la rue et entreprit d’ouvrir un passage dans la foule, sans lâcher le bras du professeur, et en invectivant et bousculant les gens qui ne s’écartaient pas assez vite.
Sin preocuparse más por el Mercedes abandonado en mitad de la calle, el conductor se abrió paso entre la multitud como si fuese un ariete. Sujetaba con fuerza el brazo del profesor, pedía paso a gritos y no vacilaba en apartar a codazos y con los hombros a todos aquellos que se demoraban.
Tandis que Tyrone continuait de surveiller les deux autres, mine de rien, l’imposant Jefferson Benson pivota pour gagner l’autre bout du préau, avec sa démarche chaloupée montée sur roulement à billes. Les gens s’écartaient pour le laisser passer.
Mientras Tyrone seguía mirándolos disimuladamente con el rabillo del ojo, el fornido Jefferson Benson se dio la vuelta y fue pasillo adelante balanceando los brazos, como si quisiera apartar a todos los que se acercaban en dirección contraria, que se hacían a un lado sin vacilar.
L’être paré d’un attrait particulier aux yeux d’Alvin, en l’occurrence, n’était nullement la promise, mais le futur beau-père, fin négociateur, prêt à le délivrer du monde des machines à sous – où, assisté par deux gros bras qui soulevaient la marchandise et écartaient les malfaisants, mon cousin était employé à transporter et installer les machines illégales – pour faire de lui un restaurateur chic d’Atlantic City, portant costume sur mesure en soie de Hong Kong et chemise blanche à monogramme ton sur ton. Mr Schapp avait lui-même fait ses débuts dans les années vingt sous le nom de Billy Schapiro des Flippers, petit malfrat associé aux pires voyous, dont l’oncle de Shushy Margulis, des quartiers les plus lépreux dans les rues les plus violentes des zones déshéritées du sud de Philadephie, mais voilà, en 1942, les flippers et autres machines à sous rapportaient plus de quinze mille dollars non déclarés par semaine, et Billy des Flippers s’était réincarné sous l’identité de William F. Schapp II ; ce très honorable membre du Country Club de Green Valley, de la fraternelle organisation juive Brith Achim (le samedi soir, il y emmenait sa dynamique épouse dans ses bijoux gigantesques danser sur la musique de Jackie Jacobs et ses Jolly Jazzers), était également un fidèle de la synagogue de Har Zion, dont les pompes funèbres lui avaient vendu une concession dans un coin magnifiquement paysagé du cimetière attenant. Il était aussi le maharaja d’une demeure de dix-huit pièces dans une banlieue nommée Merion, et l’hiver, vraie revanche du petit pauvre, il partait en villégiature dans une suite au dernier étage que lui réservait à l’année l’Eden Roc de Miami Beach.
En cualquier caso, ese alguien especial no era allí la futura esposa sino el futuro suegro, un poderoso negociante dispuesto a apartar a Alvin del negocio de las máquinas de juego (donde, ayudado por dos matones intimidantes que transportaban la carga y mantenían a raya a los malhechores, mi primo trabajaba como transportista e instalador de las máquinas ilegales) y convertirlo en un restaurador de Atlantic City vestido con un traje de seda de Hong Kong a medida y camisa blanca con monograma. Aunque el señor Schapp inició su carrera en los años veinte como Flipper Billy Schapiro, un estafador de tres al cuarto asociado con los peores matones de las hileras de casas más ruinosas en las calles más violentas de las malas tierras de Filadelfia Sur (entre ellos el tío de Shushy Margulis), en 1942 los beneficios de las máquinas del millón y tragaperras ascendían a más de quince mil dólares sin declarar cada semana, y Flipper Billy se había regenerado como William E Schapp II, miembro altamente estimado del club de campo Green Valley, de la organización fraternal judía Brith Achim (donde los sábados por la noche, en compañía de su dinámica esposa cargada de joyas, iba a bailar al ritmo de la música de Jackie Jacobs y sus Jolly Jazzers) y de la sinagoga Har Zion (a través de cuya sociedad funeraria adquirió una parcela familiar en un rincón bellamente ajardinado del cementerio de la sinagoga), así como el marajá de una mansión de dieciocho habitaciones en el barrio residencial de Merion y el ocupante en invierno —el sueño de todo muchacho pobre— de una suite en la planta superior, reservada para él cada año, en el Eden Roc de Miami Beach.
Sa tête et son torse étaient beaucoup trop grands comparés aux extrémités de son corps, et ses doigts épais et courts s’écartaient entre le majeur et l’annulaire, donnant à la main une forme en trident.
El torso y la cabeza eran desmedidamente grandes para sus extremidades, y sus dedos regordetes divergían entre el medio y el anular, dando a sus manos un aspecto como de tridente.
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