Traduction de "ébouler" à espagnol
Ébouler
Phrases de contexte similaires
Exemples de traduction
Le problème venait de la glace qui, trop friable, tendait à s’ébouler. Mais cela suffirait.
El problema era que el hielo era frágil y tendía a desmoronarse pero, a pesar de todo, estaba bastante bien.
De part et d’autre, pratiquement à pic, les parois du défilé semblent sur le point de s’ébouler sur le chemin.
A un lado y a otro, prácticamente verticales, las paredes del desfiladero parecen a punto de desmoronarse sobre el camino.
De temps en temps, de petits éboulements indiquaient qu’on nous épiait dans le noir. Nos sentinelles étaient, elles aussi, sur le qui-vive. Elles se passaient sans cesse le mot d’ordre, diffusant une inquiétude presque palpable.
de vez en cuando un desmoronarse de guijarros delataba que alguien se movía allí arriba en la oscuridad y nos espiaba. También nuestros centinelas estaban alerta, se hablaban continuamente y esto transmitía una sensación de inquietud casi palpable.
Leur éboulement progressif prendra certes des siècles, des millénaires, voire des ères, avant que le Pamir n’atteigne le niveau encore impressionnant des Alpes, mais, à terme, elles s’effriteront jusqu’à ne ressembler qu’à une étendue plate et sans forme.
Para desmoronarse necesitarán como es lógico siglos y milenios, y pasarán eras antes de que el Pai-Mir alcance la estatura todavía majestuosa de los Alpes, pero se desmoronarán y se convertirán finalmente en una tierra plana y sin accidentes.
Lorsque enfin je lève les yeux, je te vois encadré dans cette glace floue, difforme mon visage angoissé dans cette eau trouble où se noie mon masque, le reflet qui ne me laissera jamais fuir, ce monstre qui me contemple et rit de ma figure, car tu es parti, Boy, sans même lire le prologue que j’ai écrit pour annoncer ta naissance, pour que tu saches qui tu es, et ils reviennent, sans leurs chiens affamés cette fois, pour me dire bon tu peux t’en aller, va-t’en, tire-toi d’ici, qu’est-ce que tu nous as donné comme boulot, et qu’on ne revoie pas ton portrait, tu as de la veine qu’on te relâche, le petit monsieur n’a pas pu venir, il a téléphoné qu’il regrette beaucoup mais que tout cela est si insignifiant et sans importance que ça ne vaut pas la peine de faire les deux rues de chez lui jusqu’au commissariat, surtout avec cette tempête qui ne se calme pas, je n’ai jamais vu pleuvoir comme ça, c’est le ciel qui tombe, hein, qu’est-ce que c’est que ces papiers, prends-les, c’est à toi, mets-les dans ta poche si tu veux, on n’a pas besoin de garder de saletés, emporte-les, hein, dehors, qu’on a dit, qu’est-ce que ça peut nous faire qu’un mendigot comme toi se mouille, tu dois avoir l’habitude, tu t’abriteras dans la gloriette de quelque parc, sous le ventre d’une statue équestre sur une place, jusqu’à ce que la pluie s’arrête, qu’est-ce que j’en sais, moi, ou bien tu retourneras à la rivière, les gens de ton espèce se retrouvent sous le pont, allez, dehors, et fais gaffe de ne pas entrer dans les maisons des messieurs même si tu ne voles rien, figure-toi que la prochaine fois, ça ne se terminera pas aussi bien qu’aujourd’hui… et je m’enfuis, mère Benita, à travers le parc et sous la pluie sans chiens à mes trousses, je fuis, perdu dans les rues, noyé par ce vide désorienté où je me trouve, car la pluie a tout effacé, la Maison, où se trouve la Maison, comment arriver à la Maison, cette pluie brutale peut dissoudre la carcasse de boue, le vieil adobe qui doit tomber, les labyrinthes trempés doivent s’ébouler, mais non, ils ne tomberont pas, car toutes les vieilles, accueillantes et empressées, et la mère Benita aussi, m’attendent pour m’ouvrir le portail, pour me laisser entrer et m’enfermer et me protéger, comment ne me protégeraient-elles, ne me soigneraient-elles pas, m’ayant trouvé sans connaissance près du portail qui ne s’ouvre pas mais qui doit s’ouvrir pour me laisser entrer, se refermer sur moi. 10
Cuando por fin alzo la vista te veo encuadrado en ese espejo borroso, deforme mi rostro angustiado en esa agua turbia en que se ahoga mi máscara, el reflejo que jamás me dejará huir, ese monstruo que me contempla y que se ríe con mi cara porque tú te has ido, Boy, ni siquiera lees el prólogo que he escrito anunciando tu nacimiento para que sepas quién eres, y ellos vuelven, sin sus perros hambrientos esta vez, para decirme bueno, puedes irte, ándate, lárgate de aquí que más el trabajo que nos has dado y que no te volvamos a ver ni el polvo, tienes suerte de que te soltemos, el futre no pudo venir, telefoneó para decir que lo siente mucho pero que todo es tan insignificante, tan sin importancia, que no vale la pena caminar las dos cuadras desde su casa hasta la comisaría, sobre todo con esta tormenta que no amaina, nunca he visto llover así, el cielo se está cayendo, ya, qué son esos papeles, tómalos, son tuyos, métetelos en tu bolsillo si quieres, nosotros no queremos quedarnos con mugres, llévatelos, ya, afuera se ha dicho, qué nos importa que un mendigo como tú se moje, debes estar acostumbrado, te refugiarás en la glorieta de algún parque, bajo la barriga de bronce de alguna estatua ecuestre en una plaza hasta que pare la lluvia, qué sé yo, o volverás al río, debajo del puente se congrega la gente como tú, ya, a la calle, y cuidadito con entrar a las casas de los caballeros aunque no robes nada, mira que otra vez no te va a ir tan bien como te fue hoy… y huyo, madre Benita, por el parque y por lluvia sin perros acosándome, huyo, perdido en las calles, ahogado por el vacío sin dirección en que me encuentro porque la lluvia lo borra todo, la casa, dónde está la casa, dónde está la casa, cómo llego a la casa, esta lluvia brutal puede disolver la estructura de barro, el adobe viejo tiene que caer, los laberintos empapados tienen que desmoronarse, pero no, no caerán, todas las viejas, acogedoras y solícitas, y la madre Benita también, están esperando para abrirme el portón, para dejarme entrar y encerrarme y protegerme, cómo no me van a proteger y a cuidar si me encontraron tirado inconsciente junto al portón que se tiene que abrir para dejarme entrar. 10
Je me baissai et fis s’ébouler le reste des bûches.
Me arrodillé y dejé caer dentro el resto de la brazada.
Plusieurs fois Léonie délogea en marchant des pierres qu’elle entendit s’ébouler dans l’abîme en dessous.
Varias veces tuvo que quitarse Léonie una piedra del calzado y, al arrojarla, la oyó caer en una negrura sin fin, allí cerca.
Tout à coup, un hurlement féroce retentit quelque part au-dessus d’eux, suivi d’un éboulement de rochers.
De improviso, se alzó desde algún lugar por encima de sus cabezas un grito furioso, seguido por el sonido de rocas al caer.
Quelquefois même, la route commence à s’effondrer sous mon pied, et je dois me dépêcher de bouger pour ne pas tomber avec l’éboulement.”
Hay veces incluso en que la carretera se me empieza a hundir bajo el pie y tengo que darme prisa en moverme para no caer y desplomarme junto con todo lo demás.
Cause du décès : éboulement de rochers, atmosphère toxique, désintégration au pulseur… — Dysfonctionnement du sas d’une navette, ajouta Hanson.
A uno lo aplastó una roca al caer. A otro la toxicidad de la atmósfera. Y el tercero se evaporó de resultas de un impacto de arma de pulso. —Uno murió al averiarse la escotilla de la lanzadera —dijo Hanson.
C’est chez lui, ici; et ce sera toujours son foyer, mais ce foyer ne serait-il pas foncièrement faussé, bâti sur des failles et des fissures, sur un sol mouvant qui finira par s’ébouler, glisser et s’effondrer ?
Es su casa y siempre lo será, pero ¿tendrá un defecto fundamental, se levantará sobre grietas y fallas, en un terreno movedizo que en cualquier momento se puede caer, deslizar y derrumbar?
puis il étendit les bras comme un oiseau qui, prêt à s’envoler, ouvre ses ailes, et tomba soudain de son pic de granit dans la bruyère humide et les pierres éboulées.
después extendió los brazos, como un pájaro abre las alas para volar, dejándose caer de pronto de su pico de granito al húmedo y lacio brezo y a las piedrecillas que se desmoronaban.
— Je commence à croire, dit von Harben après quelques minutes, que tout se passe comme si nous devions réussir, à moins qu’en déplaçant ces pierres nous n’en fassions glisser d’autres et ne provoquions l’éboulement de toute la masse suspendue au-dessus de nos têtes.
–Empieza a dar la impresión de que vamos a conseguirlo, a menos que al sacar estas rocas las de arriba resbalen y hagan caer toda la masa encima de nosotros;
Quand j’osai jeter un œil vers feu le mur, je n’y trouvai qu’un vaste trou… et une silhouette mastoc qui commençait à apparaître dans le rideau de poussière. — Un Animé ! hurla Bastille en se relevant à toute vitesse. Je me mis debout dans un éboulement de cailloux.
El estallido abrió una amplia sección de la pared de mi izquierda. A través de ella podía ver una sombra descomunal entre el polvo que empezaba a aclararse. —¡Un Animado! —chilló Bastille mientras se levantaba como podía. Me levanté, dejando caer trocitos de piedra rota.
Peut-être l’avez-vous lu dans le journal d’hier, mercredi soir, au Texas, Dieu a fait ébouler le toit d’une église sur trente-quatre de Ses fidèles alors qu’ils entonnaient un cantique à Sa gloire. Vous ne croyez pas que cela Lui a procuré du plaisir ? Trente-quatre. Il ne peut vous en vouloir d’avoir descendu Hobbs.
Tal vez en el diario de ayer leyó que Dios hizo caer el miércoles por la noche el techo de una iglesia de Tejas sobre treinta y cuatro feligreses, justo en el momento en que entonaban un himno de alabanzas a EL ¾No le parece que debe de. haberle gustado? Treinta y cuatro. ½Cómo no iba a dejarle a Hobbs para usted!
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