Traduction de "vertex" à espagnol
Vertex
Exemples de traduction
On ne voit de lui que l’arrière de son crâne rasé jusqu’au vertex, le sommet de la tête.
Lo único que se ve de él es la amplia zona de la cabeza afeitada hasta la parte trasera del vértice, la coronilla.
Il survola le triangle vert pâle et lentement écumeux d’un sillage à la pointe duquel avançait un long pétrolier.
Pasó por encima de un triángulo de lenta espuma verde pálido con un petrolero avanzando en su vértice.
Couverture verte, bords usés, spirales, triangle dans le coin gauche, au sommet duquel était écrit « Clairefontaine ».
Cubierta verde, bordes gastados, espiral, triángulo en el rincón izquierdo y, escrito sobre el vértice, «Clairefontaine».
Situé à environ cinq centimètres du vertex, il est de bonne taille, presque circulaire, et apparaît tout blanc sur l’écran, avec des contours d’une netteté édifiante.
Está unos cinco centímetros más abajo del vértice, es grande, casi perfectamente redondo, y en el escáner presenta un color blanco puro, con márgenes reveladores y precisos.
Rann se tenait là, telle une figure de proue sculptée symbolisant la jeunesse, admirant la façon dont l’étrave acérée divisait les eaux vertes en deux énormes vagues frangées d’écume.
Allí estaba, como el mascarón tallado de la juventud, contemplando el vértice afilado de la proa partir las aguas en dos enormes olas coronadas de blanco.
« Ah, un accident… un taxi-dent… » marmonna-t-il, en faisant mine de regarder attentivement par la fenêtre, par-dessus le sommet de sa tête mais n’apercevant que les toutes petites pellicules de son vertex satiné.
—Ah, un accidente… un taxi-dente… —murmuró él, fingiendo que se asomaba a mirar por el hueco de la ventana que quedaba encima de la coronilla de ella, pero sin ver nada que no fueran los puntitos de caspa que salpicaban el sedoso vértice.
La lumière solaire, teintée en vert par la coupole de visuplex en forme de chapeau de sorcière qui couronnait le Cône Suprême, la réchauffait sans toutefois parvenir à soulager le froid qu’elle ressentait au cœur de ses glandes germinatives.
Los rayos del sol, teñidos de verde por el visuplex del vértice de la cúpula que coronaba el Cono Supremo, la caldeaban sin llegar, no obstante, a aliviar el frío que entumecía sus glándulas seminales.
Une grosse barbe rousse bouclée, aussi épaisse que celle du Roi de Cœur, qui cache son menton fuyant… une veste de tweed vert foncé avec des énormes épaules et des revers avec des crans tout le long de ses côtes… un tee-shirt noir avec le logo des Plus Casserole, le groupe, en travers de la poitrine… des pantalons noirs à pinces… Ce look Noir Graisseux qui était si… Si post-punk, si… actuel… et en fait c’était un gentil petit garçon juif de Riverdale, qui était le Short Hills de New York, et ses parents avaient une jolie maison de style colonial, ou Tudor, ou peu importe… Un germe de la petite-bourgeoisie… journaliste au Village Voice, un je-sais-tout, possesseur de Mary-Lou-Jolies-Hanches… Greg avait commencé à vivre avec Mary-Lou quand elle s’était inscrite au Séminaire de Journalisme Investigateur qu’il dirigeait à l’université de New York deux ans auparavant.
Una barba pelirroja y ondulada, tan enorme como la del rey de corazones, bajo la que ocultaba su hundido y diminuto mentón… una americana de tweed verde negruzco, con hombreras enormes y solapas anchas, con el vértice a la altura de sus costillas… una camiseta negra con el logo del grupo Pus Caserole en mirad del pecho… pantalones negros con remaches metálicos… el cabello engominado, con ese look húmedo que resultaba tan… tan Post-Punk, tan Downtown, tan… moderno… Pero de hecho no era más que un buen chico judío de Riverdale, es decir del Short Hills de la ciudad de Nueva York, y sus padres vivían en una bonira y gran casa estilo colonial, o Tudor, o lo que fuera… Un insignificante personajillo de clase media… un colaborador del Village Voice, un enterado, propietario de Mary Lou Super-piernas… Greg había empezado a vivir con Mary Lou cuando ella era alumna del seminario sobre periodismo de investigación que él estuvo dando hacía un par de años en la Universidad de Nueva York.
Le cilice de Las Viudas est une invention inspirée par la Pratique Jésuite, qu’on porte secrètement, et qu’il est impossible, une fois fixé, d’ôter, causant ce que d’aucuns qualifient d’Inconfort, – assez pour empêcher les pensées de vagabonder loin de Dieu. « Si Dieu était plus jeune, plus présentable, murmure Crosier, nous penserions à Lui tout le temps, et nous n’aurions point besoin de ceci, –», son regard s’abaissant vers la rose de serre, d’un rouge profond, presque noir, dont la longue tige flexible est habilement insérée dans une culotte, afin de passer entre les grandes lèvres aussi bien qu’autour de la taille, avec la fleur, de préférence sur le point d’éclore, reposant derrière, en cette charmante Cuspide humide et chaude, où les odeurs du corps et de la rose peuvent se mêler avec quelques gouttes de Sang arrachées par les minuscules épines vertes, et des Éclairs de Douleur dont la véritable cruauté est laissée au jugement de la pénitente… Bien sûr, tout cela a pour dessein de fixer durablement son Attention sur Jésus.
El cilicio de Las Viudas es un artilugio —cuyo uso aconsejan los jesuitas— que se lleva en secreto y que, una vez colocado, no se puede extraer y produce lo que algunas llaman incomodidad, la suficiente para impedir que los pensamientos se alejen demasiado de Dios. —Si Dios fuese más joven y más presentable —murmura la hermana Crosier—, pensaríamos continuamente en Él y no tendríamos necesidad de esto. Su mirada se fija en esa rosa de invernadero, de un rojo intenso, casi oscuro, cuyo tallo largo y flexible las hermanas doblan con pericia para formar una especie de taparrabos. Le colocarán el tallo entre los labios de la vulva y en torno a la cintura, y dejarán la flor, preferiblemente una a punto de abrirse, detrás, en ese encantador vértice de humedad y calor, un lugar donde los olores del cuerpo y de la rosa pueden mezclarse con unas pocas gotas de sangre causada por las diminutas espinas verdes, entre punzadas de dolor. Valorar la verdadera intensidad de ese dolor queda a cargo de la penitente… Desde luego, el propósito de todo esto es evitar por todos los medios que su atención se desvíe de Cristo.
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