Traduction de "tenez-vous-en" à espagnol
Tenez-vous-en
Exemples de traduction
quedarse con eso
— Vous tenez à rester seul avec Perle ?
—¿Es que quiere quedarse a solas con Perla?
Si vous tenez à toute force à rester dehors, venez vous installer sur l'aire.
Si se empeñan en quedarse fuera, instálense en la era.
— Madame, bredouilla Katherine. Il faut que je voie mon frère. Prenez la pyramide, si vous y tenez, mais vous devez...
—Señora —explotó Katherine—, necesito ver a mi hermano. Puede quedarse con la pirámide, pero tiene que dejarnos...
Écoutez, monsieur, si vous tenez à rester ici avec vos échantillons pour vous faire dévorer par les ours, très bien.
Escuche, señor, si usted quiere quedarse aquí con sus muestras hasta que los osos se lo coman, por mí, fantástico.
— Vous l’avez aidé alors qu’il était menacé d’expulsion à la suite d’une bagarre. Tenez, je vais vous montrer. Je sortis mon ordinateur portable et l’ouvris sur le scan de l’avis rédigé de sa main.
—Le ayudó a quedarse en el campus después de un altercado. Déjeme que le enseñe —dije. Saqué el portátil.
Ce soir, je dirai au gouverneur que vous vous trouvez bien ici et que vous tenez à y rester. Maintenant, je vais ajouter quelque chose.
Supongo que digamos lo que digamos, usted hará lo que le venga en gana. Esta tarde, al regresar, informaré al gobernador de que usted, al parecer, se encuentra muy a gusto aquí, que está bien de salud y que se empeña en quedarse.
Foncez immédiatement à leur domicile au lieu de bavasser, ratissez-moi la ville, vérifiez tous les hôtels, débrouillez-vous comme vous le voulez, mais arrêtez-les cette nuit si vous tenez encore un tant soit peu à votre emploi.
Vayan inmediatamente a su domicilio en lugar de quedarse ahí papando moscas, peinen la ciudad de arriba abajo, búsquenlos en todos los hoteles, arréglenselas como quieran, pero deténganlos esta noche si quieren conservar su empleo.
Marta tira un banc à côté de son père, s’y assit, et lui tenant la main, elle lui dit, J’ai eu une idée pendant que vous êtes allé promener le chien, Raconte, Pour l’instant nous allons mettre de côté la question du Centre, ou plutôt votre décision d’y aller ou de ne pas y aller avec nous, D’accord, Le problème ne se posera pas demain, ni même dans un mois, le moment venu vous déciderez si vous partez ou si vous restez, c’est votre vie, Merci de me laisser enfin respirer, Je ne vous laisse pas respirer, Qu’est-ce qu’il y a encore, Quand vous êtes parti, je suis venue travailler ici, j’étais d’abord allée jeter un coup d’œil dans l’entrepôt et je me suis aperçue que nous manquions de petits pots de fleurs, je me suis donc apprêtée à en fabriquer quelques-uns lorsque soudain, alors que de la glaise était déjà posée sur le tour, je me suis rendu compte de toute l’absurdité qu’il y avait à continuer à travailler ainsi à l’aveuglette, Pourquoi à l’aveuglette, Parce que personne ne m’a commandé des petits pots de fleurs, ni des grands d’ailleurs, parce que personne ne piaffe d’impatience en attendant que je les termine pour se précipiter ensuite pour les acheter, et quand je dis des pots de fleurs, je pourrais parler de n’importe quelle autre pièce parmi celles que nous fabriquons, grandes ou petites, utiles ou inutiles, Je comprends, mais il faut quand même que nous soyons prêts, Prêts à quoi, Prêts pour quand les commandes arriveront, Et que ferons-nous entre-temps si les commandes n’arrivent pas, si le Centre cesse d’acheter, comment vivrons-nous et de quoi, attendrons-nous que les mûres mûrissent et que Trouvé chasse un lapin infirme, Marçal et toi, vous n’aurez pas ce problème, Père, nous avons décidé de ne pas parler du Centre, D’accord, continue, Eh bien, supposons qu’un miracle amène le Centre à revenir sur sa décision, ce que je ne crois pas, et je ne pense pas non plus que vous le croyez, sauf si vous tenez à vous leurrer, combien de temps resterons-nous les bras croisés ou fabriquerons-nous de la faïence sans savoir pourquoi ni pour qui, Dans la situation où nous nous trouvons, je ne vois pas bien ce que nous pourrions faire d’autre, Je ne suis pas de cet avis, Quel est cet avis, quelle est cette idée mirifique qui t’est venue à l’esprit, Fabriquons autre chose, Si le Centre cesse de nous acheter un article, il est plus que douteux qu’il veuille en acheter un autre, Peut-être pas, peut-être, peut-être, Qu’est-ce que tu racontes, ma petite, Nous devrions nous mettre à fabriquer des figurines, Des figurines, s’exclama Cipriano Algor d’un ton de surprise scandalisée, je n’ai jamais entendu idée plus saugrenue, Oui, monsieur mon père, des figurines, des statuettes, des fétiches, des petits personnages, des pantins, des bilboquets, appelez-les comme vous voudrez, mais ne commencez pas par dire que c’est une idée saugrenue avant d’avoir vu le résultat, Tu parles comme si tu avais la certitude que le Centre t’achètera cette ménagerie, Je n’ai aucune certitude, sauf que nous ne pouvons plus continuer à ne rien faire d’autre qu’attendre que le ciel nous tombe sur la tête, Il est déjà tombé sur la mienne, Tout ce qui tombe sur vous tombe sur moi, aidez-moi, je vous aiderai, Après avoir fabriqué si longtemps de la vaisselle, j’ai sûrement perdu la main et je ne sais plus modeler, Je peux dire la même chose, mais si notre chien s’est perdu afin de pouvoir être trouvé, comme Isaura Estudiosa l’a expliqué avec beaucoup d’intelligence, nos mains perdues elles aussi, la vôtre et la mienne, pourront peut-être de nouveau être trouvées par la glaise, C’est une aventure qui tournera mal, Ce qui n’était pas une aventure a également mal tourné.
Marta acercó una banqueta a la del padre, se sentó, y, tomándolo de la mano, comenzó a decir, He tenido una idea mientras usted andaba por ahí paseando al perro, Explícate, Vamos a dejar a un lado por ahora la cuestión del Centro, es decir, su decisión de venirse o de no venirse con nosotros, Me parece bien, El asunto no es para mañana ni para el mes que viene, cuando llegue el momento usted decidirá entre ir o quedarse, su vida es suya, Gracias por dejarme respirar, por fin, No lo dejo, Qué más tenemos todavía, Después de que usted saliera, me vine a trabajar aquí, primero fui a echar un vistazo al depósito y noté que faltaban floreros pequeños, entonces vine dispuesta a hacer unos cuantos, cuando de pronto, ya con la pella encima del torno, me di cuenta de hasta qué punto era absurdo seguir con este trabajo a ciegas, A ciegas, por qué, Porque nadie me encargó floreros pequeños o grandes, porque nadie espera impaciente que los termine para venir corriendo a comprarlos, y cuando digo floreros digo cualquiera de las piezas que fabricamos, grandes o pequeñas, útiles o inútiles, Comprendo, pero incluso así tendremos que estar preparados, Preparados para qué, Para cuando los encargos lleguen, Y qué haremos mientras tanto si los encargos no llegan, qué haremos si el Centro deja de comprar, vamos a vivir cómo, y de qué, nos quedamos esperando que las moras maduren y que Encontrado consiga cazar algún conejo inválido, Marcial y tú no tendréis ese problema, Padre, acordamos que no se hablaría del Centro, Vale, sigue adelante, Pues bien, suponiendo que un milagro haga que el Centro enmiende lo dicho, cosa que no creo, ni usted si no quiere engañarse, durante cuánto tiempo estaremos aquí de brazos cruzados o fabricando loza sin saber para qué ni para quién, En la situación en que nos encontramos no veo qué otra cosa se puede hacer, Tengo una opinión diferente, Y qué opinión diferente es ésa, qué mirífica idea se te ha ocurrido, Que fabriquemos otras cosas, Si el Centro deja de comprarnos unas, es más que dudoso que quiera comprar otras, Tal vez no, tal vez tal vez, De qué estás hablando, mujer, De que deberíamos ponernos a fabricar muñecos, Muñecos, exclamó Cipriano Algor con tono de escandalizada sorpresa, muñecos, jamás he oído una idea más disparatada, Sí, señor padre mío, muñecos, estatuillas, monigotes, figurillas, baratijas, adornos con pies y cabeza, llámelos como quiera, pero no comience a decir que es un disparate sin esperar el resultado, Hablas como si tuvieses la seguridad de que el Centro te va a comprar esa muñequería, No tengo la seguridad de nada, salvo de que no podemos seguir aquí parados a la espera de que el mundo se nos caiga encima, Sobre mí ya se ha caído, Todo lo que caiga sobre usted cae sobre mí, ayúdeme, que yo le ayudaré, Después de tanto tiempo haciendo vajillas, debo de haber perdido la mano para modelar, Lo mismo digo yo, pero si nuestro perro se perdió para poder ser encontrado, como inteligentemente explicó Isaura Estudiosa, también estas nuestras manos perdidas, la suya y la mía, podrán, quién sabe, volver a ser encontradas por el barro, Es una aventura que va a acabar mal, También acabó mal lo que no era aventura.
Restez où vous êtes et tenez-moi. 
Quédate donde estás y sujétame fuerte.
— Foix, tenez-vous à ses pieds.
—Foix, quédate junto a sus pies.
— Je dois vous laisser, mais tenez, sergent.
—Tengo que marcharme, pero, toma, Chris, quédate esto.
Tenez-moi au courant. Restez, Jimmy.
Mantenme informado. Tú quédate, Jimmy.
— Si c’est l’argent qui vous intéresse, tenez-vous-en au prix Nobel.
—Si lo que quieres es dinero, quédate con el Nobel.
Tenez-vous tranquille un moment le temps de coller vos moustaches.
Quédate quieto un momento mientras te coloco el bigote.
Restez, si vous y tenez, mais… — Silence ! gueula Roran.
Quédate si quieres, pero… —¡Cállate! —bramó Roran—.
Puis, ouvrant son sac à main : « Tenez… voici ma carte.
Luego, a la vez que cogía el bolso—: Toma… Quédate una tarjeta.
— Restez ici et tenez-vous au chaud, lança-t-il en enfilant son pantalon avant de disparaître.
Quédate aquí y concéntrate en entrar en calor –dijo él, subió el termostato y desapareció poniéndose unos pantalones.
Le Cafard et moi nous regardons. – Tenez donc compagnie à notre reine des Ombres. Je m’occupe du reste.
Cucaracha cruza una mirada conmigo. —Quédate aquí con tu Reina Sombría y yo me ocuparé del resto.
— J’ai dit : tenez ce foutu machin bien droit !
—¡He dicho que sujetéis el palo de las narices!
Vous êtes bien la fille de votre père. Ce n’était pas précisément la prudence incarnée, et vous tenez de lui.
Supongo que era inevitable, dada la relación familiar. No se puede decir que tu padre fuera el más cauto de los individuos, y tú eres toda una astilla de ese palo.
« Vous avez quelquefois des trouvailles ! Tenez, ma grand-mère Robillard. Lorsque j’étais méchante, Mama m’en parlait pour me faire peur.
–¡Qué cosas tiene usted siempre! Mire, mi abuela Robillard… Cuando me portaba mal, mamá me lo decía y me metía miedo… Iba más tiesa que un palo y le aseguro que no gastaba bromas.
— À vrai dire, je la connaissais à peine, et de vue seulement, car je ne lui avais jamais parlé… Par contre, je connaissais Jambe-de-Bois qui venait tous les soirs faire sa partie avec Forrentin et Lepape… Tantôt c’était le patron, tantôt moi ou un autre qui faisait le quatrième… Tenez… Forrentin et Lepape sont là, dans le coin gauche, avec le maire et le maçon…
—A decir verdad, apenas la conocía, y de vista solamente porque nunca le había hablado… Por el contrario, conocía a Pata de Palo, que venía todas las tardes a echar su partida con Forrentin y Lepape… Tanto era el patrón, como yo el que hacía el cuarto… Mire… Forrentin y Lepape están allí, en el rincón de la izquierda, con el alcalde y el albañil…
— Autant dire personne… Ma femme – ne cherchez pas, vous ne la connaissez pas, c’est du sérieux –, ma femme, dis-je, l’appelait « la Princesse », à cause de ses grands airs… Qui c’est-il, au juste, cette poule-là ?… J’ai jamais pu le savoir… Elle arrivait avec vraiment des airs de princesse… Elle dansait raide comme un piquet… Quand on la questionnait, elle laissait entendre qu’elle n’était pas ce qu’on croyait, qu’elle venait ici incognito… Du boniment, quoi !… Tenez !
—Con nadie… Mi mujer —no busque, no la conoce, es serio—, mi mujer, digo, la llamaba «La Princesa» a causa de los grandes aires que se daba… ¿Qué es lo que hacía esta pollita aquí?… Nunca he podido saberlo… Llegaba verdaderamente con aires de princesa… Bailaba tiesa como un palo… Cuando se le preguntaba, dejaba entender que no era lo que se pensaba, que venir, aquí de incógnito… ¡De fábula!
tenez ! encore. Ne pas boire cela ! » Tout en parlant, Daniel Quilp leva et absorba trois petits verres pleins de la liqueur infernale ; puis, avec une horrible grimace, il tira plusieurs bouffées de sa pipe, avala la fumée et la rendit par le nez en nuages épais. Après avoir accompli cet exploit, il reprit sa première position et s’abandonna à un bruyant éclat de rire. « Portons un toast ! cria-t-il en tambourinant alternativement de son poing et de son coude sur la table, comme s’il jouait un air sur le tambour de basque.
¡No beber esto! —mientras hablaba, Daniel Quilp se escanció y bebió tres vasitos del licor a palo seco, y después, esbozando una horrible mueca, pegó varias caladas a la pipa mientras echaba el espeso humo por la nariz. Realizada esta gesta, retomó su postura anterior y soltó una risotada—. ¡Brindemos —gritó, tamborileando en la mesa con el puño y el codo alternativa y rítmicamente—, por una mujer, por una belleza!
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