Traduction de "pays" à espagnol
Phrases de contexte similaires
Exemples de traduction
Ce pays est mon pays ;
Este país es mi país;
Mon pays m’escroque, mon pays me vole, mon pays m’arnaque.
Mi país me engaña, mi país me roba, mi país me tima.
Je me bats pour mon pays – pour notre pays.
Lucho por mi país… nuestro país.
« Mon pays, mon pays… », sanglota-t-elle.
–Mi país…, mi país… -sollozó.
— Mais ton pays, c’est un pays de sauvages ?
—Pero, ¿es que tu país es un país de salvajes?
Votre pays et mon pays, être pays amis.
Vuestro país y mi país, países amigos.
Lui aussi aime son pays – notre pays.
Él también ama a su país, nuestro país.
C’est notre place dans ce pays, le pays de nos ancêtres.
Este es nuestro lugar en este país, el país de nuestros antepasados.
Ton pays dans cette histoire pleine de ton pays.
Tu país en esta historia llena de tu país.
Ils parlaient du pays, de leur pays, l'Algérie.
Hablaban del país, de su país, de Argelia.
campo
– Pourquoi le pays du charbon?
- ¿Por qué los campos de carbón?
— Vous habitez ce pays ?
—¿Vive usted en el campo?
Dans le pays, nous ne comptons pas un ami.
No tenemos ningún amigo en el campo.
 Ce pays est trop froid pour moi.
El campo es demasiado frío para mí.
Je sais que tu es en vacances, Jeannine, mais dans le pays
Ya sé que estás de vacaciones, pero en el campo
Le pays est dévasté par la guerre.
El campo queda devastado por la guerra.
Le pays lui-même est du pur Tourgueniev.
El campo mismo es puro Turguénev.
Vous dites que vous avez des amis dans le pays ?
¿Dices que tienes amigos allí, en el campo?
Des routes qui s’enfonçaient dans l’arrière-pays.
Caminos que se internaban en los campos aledaños.
Elles parcourent le pays en tuant des monstres.
Vagan por el campo matando monstruos.
Le déjeuner sur l’herbe leur épargnait les discussions au moment de payer la note de restaurant, et tous deux se plaisaient bien en plein air, dans la magnificence de ce parc naturel.
El almuerzo campestre resolvió sus discusiones a la hora de pagar la cuenta en el restaurante y ambos disfrutaban al aire libre en el esplendor de ese parque.
Il n’était pas plus tôt en train d’arpenter ce pays ennuyeux, en faisant semblant de s’intéresser à des châteaux désaffectés et des églises ternes (trois mois !), que j’ai commencé à lui manquer.
Se puso a recorrer ese tedioso paisaje campestre, fingiendo que le interesaban los castillos abandonados y las iglesias más cochambrosas (¡tres meses!), y entonces comenzó a echarme de menos.
Pendant ces excursions champêtres, le curé transmettait aux jeunes montagnards l’idée d’une patrie basque libérée, tout en partageant avec eux sa ferveur envers la langue, les coutumes et les paysages de leur pays natal.
Durante aquellas excursiones campestres, el cura afianzaba en los jóvenes montañeros la idea de una patria vasca liberada, de paso que practicaba con ellos el fervor por el idioma, las costumbres y los paisajes de la tierra.
La bière, à La Lune, brassée avec l’excédent du Nord du pays, dont personne n’a jamais osé examiner de près les autres composants, ne cesse d’arriver, grâce à Maskelyne, qui désormais braille pour de bon :
La cerveza de La Luna, confeccionada con el aflujo de aguas campestres, y sobre cuyos demás ingredientes nadie ha investigado a fondo, sigue llegando gracias a Maskelyne, imparable en su perorata:
Je fis remarquer à mère que je n’avais pas touché à mes cadeaux de Noël et d’anniversaire ni à mes « petites économies » (c’est-à-dire la menue monnaie que j’avais pu gagner – rare et maigre pécule – en gardant les enfants des voisins, en tenant un stand à la foire locale, etc.) et que j’avais épargné suffisamment pour me payer les cours et les livres.
Le señalé a mi madre que había estado ahorrando los regalos de Navidad y cumpleaños y el dinero de mi «hucha» (el dinero de mi «hucha» era cualquier dinero ganado…, cuidando de los niños de los vecinos, ocupándome de un stand en la feria campestre y cosas así…, no muchas y más bien escaso), que había ahorrado lo suficiente para mi matrícula y los libros.
Il vivait dans une vaste demeure, avec un parc où il se promenait, une rivière où il pêchait, un potager où il jardinait en un pays idyllique plein de bois, de collines et de femmes blondes dont les maris étaient à la guerre pour sauver le monde d’individus comme lui.
Vivía en una casa enorme, tenía un parque por el que pasear, un río en el que pescar, un huerto donde cultivar diversas cosas, y la posibilidad de hacer excursiones por un idílico paisaje campestre salpicado de bosques y colinas, y bellas mujeres cuyos maridos luchaban lejos de allí en una guerra con la que pretendían librar al mundo de personas como Blott.
Les blocs continentaux, les flux maritimes et aériens, les situations spatiales de ports et d’aéroports, les routes et autoroutes, certes, mais aussi les chemins de campagne et les sentiers forestiers de mes premières années en Normandie, les fleuves immenses de mes voyages transatlantiques, mais de même la rivière de mon village natal, les forêts du continent sud-américain, mais pareillement les bois, les sapées de mon enfance, les végétations extravagantes de Russie, les déserts africains, les petites îles qui constellent le pourtour danois, mais également le bocage du Pays d’Auge, la plaine d’Argentan, la naissance du massif armoricain, mes paysages fondateurs.
Los bloques continentales, los flujos marítimos y aéreos, las situaciones espaciales de puertos y aeropuertos, las carreteras y autopistas, ciertamente, pero también los caminos campestres y los senderos forestales de mis primeros años en Normandía, los ríos inmensos de mis viajes trasatlánticos, pero igualmente el río de mi pueblo natal, las selvas del continente sudamericano, pero no menos los bosques, las pinedas de mi infancia, las vegetaciones extravagantes de Rusia, los desiertos africanos, las pequeñas islas que constelan el contorno danés, pero también el boscaje del Pays d’Auge, la llanura de Argentan, el nacimiento del macizo armoricano, mis paisajes fundadores.
M. Bounderby avait pris possession d’une maison et d’un parc situés à environ quinze milles de la ville, mais à un mille ou deux d’un chemin de fer qui s’élançait, sur de nombreux viaducs, à travers un pays sauvage, miné par des puits de charbonnières abandonnées et parsemé la nuit de feux et de formes de locomotives stationnaires à l’entrée des puits d’exploitation. Le paysage devenait moins âpre à mesure qu’il se rapprochait de la retraite de M. Bounderby, où il s’adoucissait pour se transformer en un site rustique, doré par la bruyère et blanchi par l’aubépine au printemps de l’année, et ombragé tout l’été par les feuilles des arbres tremblant au souffle du vent.
El señor Bounderby había adquirido una casa y unos terrenos situados a unas quince millas de distancia de la ciudad y que quedaban a cosa de un par de millas de la estación del ferrocarril que cruzaba por medio de viaductos un territorio inhóspito, socavado por pozos de minas de carbón abandonadas y salpicado durante la noche de fuegos y siluetas de máquinas fijas de vapor que funcionaban en las bocaminas. El terreno se suavizaba cerca ya del retiro del señor Bounderby, tomando morbideces de panorama campestre, dorado de brezales, cubierto de la nieve del espino albar en primavera y envuelto durante el verano en temblores y sombras de enramada.
Nous ne nous rencontrions que dans la fange, et si passionnant, si terriblement passionnant que fût l’unique sujet sur lequel se concentraient invariablement tes propos, il était devenu pour moi tout à fait monotone. J’en étais souvent mortellement las et l’acceptais comme j’acceptais ta passion pour les music-halls ou ta manie pour d’absurdes extravagances en fait de nourriture et de boisson, ou toute autre de tes caractéristiques moins attrayantes pour moi. J’acceptais tout cela comme une chose dont il faut simplement s’accommoder, pour ainsi dire, une chose faisant partie du haut prix à payer pour le privilège de te connaître. Lorsque je quittai Goring pour aller passer une quinzaine de jours à Dinard, furieux contre moi parce que j’avais refusé de t’emmener, tu as fait, avant mon départ, quelques scènes très déplaisantes à ce sujet à l’Albemarle Hotel ; et tu m’as envoyé des télégrammes tout aussi déplaisants chez des amis, à la campagne, où je séjournais pour quelques jours.
Y por cautivante, por muy cautivante que fuese el tópico en torno al cual giraban invariablemente tus pláticas, acababa por ser harto monótono para mí. El aburrimiento hacía con frecuencia presa de mí, pero lo soportaba, así como tu inclinación a las frívolas funciones de variedades, o tu manía de despilfarrar de un modo estúpido en el yantar y el beber; lo soportaba como una de tus condiciones escasamente gratas; vale decir, como algo a lo que no quedaba otra disyuntiva que resignarse, o sea algo que formaba parte integrante del alto costo a que debía pagar tu amistad. Cuando me fui a pasar una temporada de catorce días en Dinard, luego de mi regreso de Goring, te enojaste seriamente porque no te llevaba conmigo, y me hiciste unos escándalos para nada edificantes en el Albermale Hotel, mandándome además, por idéntico motivo, a una propiedad campestre donde estuve viviendo algunos días, varios telegramas que nada tenían que envidiar a los escándalos antes citados.
« C'est un bon pays... le pays du Sud !
—¡Es una buena tierra…, la tierra del sur!
— Ce pays est à nous.
—Esta tierra es nuestra.
Mais ceci est notre pays !
¡Pero esta tierra es nuestra!
— C’est son pays, pas le mien.
–Es su tierra, no la mía.
« Qu’y a-t-il à l’est de votre pays ? »
—¿Qué hay al este de vuestra tierra?
Quels pays c’était!
¡Qué tierra aquella!
— Ce n’est pas le même pays !»
—¡No es la misma tierra!
Mordor : « Le Pays Noir », appelé aussi le Pays de l’Ombre.
Mordor “La Tierra Negra”, llamada también la Tierra de la Sombra;
Le sien, et celui du pays.
Suyo, y de la tierra.
Il n’était pas de ce pays ;
No era de la región;
C’était le même pays.
Era la misma región.
— Je suis étranger à votre pays.
–Soy extranjero en vuestra región.
Que savez-vous de ce pays ?
¿Qué es lo que sabes de esta región?
Qu’avait-il à craindre en ce pays?
¿Qué tenía que temer en esta región?
Elle avait l’accent du pays.
Tenía el acento de la región.
Des Abruzzes, son pays.
De los Abruzzos, su región.
C'est le pays des Matarèse.
Es la región de Matarese.
— Vous n’aimez pas le pays ?
—¿Le gusta la región?
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