Traduction de "mords-la" à espagnol
Phrases de contexte similaires
Exemples de traduction
Mords-le, Ginny, mords le vilain monsieur. 
–Ginny, muérdele, muérdele por malo.
Mords-le aussi fort que tu peux.
Muérdelo tan fuerte como puedas.
— Mais mords-le, à la fin ! cria Dracula.
—¡Muérdele de una vez! —gritó Drácula.
 Mords-la ou laisse-la partir, poursuivit la jeune fille.
Muérdela ya o deja que se vaya —continuó la chica—.
Mords-le, griffe, c’est un paquet de graisse. Donne-lui un coup de pied bien placé. »
Muérdelo, clávale las uñas, que él solamente tiene gordura.
Mords-lui la queue ! » Lloyd devina que « queue » en allemand – der Schwanz – était un mot d’argot désignant le sexe masculin.
¡Muérdele la cola! —Lloyd supuso que «cola» en alemán, der Schwanz, era el término coloquial para referirse al pene.
Mon assaillant tira d’un coup sec. Des étoiles dansaient devant mes yeux. Une embuscade. Je vis le chien aboyer furieusement en faisant des bonds, mais l’image paraissait se dissoudre à mesure que je perdais conscience. Rassemblant mes dernières forces, je me concentrai sur le chien pour lui transmettre un ordre. Mords-le !
Mi atacante tiró del alambre hacia atrás, con más fuerza, y mi visión empezó a llenarse de manchas blancas. «Una emboscada». El perro negro seguía ladrando y saltando salvajemente en círculos, pero su imagen estaba empezando a desvanecerse. Pronto perdería el conocimiento. Haciendo acopio de la poca energía que me quedaba, insté al perro mentalmente. «¡Muérdelo!
Bien entendu, il avait fallu que Riley la morde à un endroit visible ;
Cómo no, Riley había tenido que morderla en un lugar bien visible;
Il s’est approché prudemment, comme s’il avait peur que je le morde, et m’a étreinte avec maladresse.
Se me acercó como si fuera a morderle, y me abrazó de un modo torpe.
Le mâle mord l’oreille de la femelle, elle pousse une espèce de grognement et recule brutalement.
El macho muerde la oreja de la hembra y la hembra suelta como un gruñido e intenta morderle también.
Elle aimait qu’on lui morde le cou et comme elle allait revenir toute dorée ce serait une invitation à la mordre partout.
Le gustaba que le mordiera el cuello, y, tostadita como vendría, sería una invitación a morderle el cuerpo entero.
Tenant par la bride le cheval de trait – méfiante comme si elle craignait que ce brave équidé la morde –, Siuan vint rejoindre ses compagnes.
Siuan llegó junto a ellas llevando por las riendas al caballo de tiro como si temiera que el tranquilo animal fuera a morderla.
On appelait autrefois « gueule de chien » le lupus vulgaris, et ce nom était bien choisi, car on l’abordait souvent avec précaution, comme un chien enragé, on avait peur qu’il morde, peur de devenir comme lui.
En el pasado, la lupus vulgaris era conocida como «hocico de perro», y la descripción era apropiada; a veces le trataban con cautela, como a un perro furioso, temeroso de que pudiera morderles y ellos se tornaran igual que él.
L’autre l’empoigna par les cheveux et, se penchant si bas que je craignis qu’il ne lui morde le nez sans doute déjà cassé, il se mit à lui hurler dessus. Puis, se redressant, il donna un coup de pied dans les côtes du garçon qui se plia de douleur. Ça suffisait.
Traje Brillante lo agarró por el cabello. Bajó el rostro, lo que me hizo temer que pudiera morderle la nariz ya rota al chico, y se puso a gritarle. Luego se echó atrás y le soltó una patada en las costillas. El chico se retorció de dolor en el suelo.
Elle pivota pour se relever, il voulut la repousser et elle enfonça ses dents dans son avant-bras. « Bon dieu, c’est la dernière fois que tu me mords », gronda-t-il entre ses dents. Elle enfonça plus profondément les dents mais il fit exprès de ne pas retirer son bras. La douleur lui faisait monter les larmes aux yeux, cependant qu’il frappait May-may de plus en plus fort, toujours sur les fesses, à en avoir la main engourdie.
Como ella se escurriera, Struan la sujetó firmemente, pero en seguida May-May le clavó los dientes en el antebrazo. Lanzó una maldición Struan y la muchacha volvió a morderle con fiereza. —¡Por todos los cielos, no volverás a morderme otra vez!
Par les fentes des volets filtre la lumière d’un réverbère dont une fine bande s’est posée sur la nuque de Salomé et souligne l’opposition entre sa douce peau blanche et ses cheveux noirs aussi frisés que des poils de pubis, c’est là qu’il pose les doigts, se met à la malaxer distraitement tandis que son autre main descend vers son membre qui se réveille, sa fringale serait-elle passée de son ventre à sa queue, serait-ce une envie de viande grasse et saignante, de la chair dont la laideur velue l’attire justement, une pulsion animale qui ne lui ressemble pas du tout le pousse à s’acharner sur cette nuque, il la mord avec rage et désespoir, se jette dessus comme un chien sur une chienne inconnue au milieu d’un tas d’ordures et, avant qu’elle ne lâche le gémissement de douleur ou de reproche qui tuera son fantasme dans l’œuf, il lui couvre la bouche de la main, cette bouche qui, à peine une heure auparavant, arborait le plus repoussant des sourires, il lui écrase les lèvres, de son autre main il dirige son sexe galvanisé par la vexation entre les cuisses épaisses, le dégoût qu’elle lui inspire exacerbe encore son plaisir, il garde les dents plantées dans la chair de cette nuque, monte et descend sur elle, il a des cheveux plein la bouche et sent qu’il va vomir mais ne desserre pas les mâchoires, des yeux il surveille les alentours pour s’assurer qu’aucun autre chien ne s’approche car dès l’instant où il relâchera cette femelle, l’excitation humiliante s’évanouira, sa dernière prise sur la vie, il s’échine sur elle comme s’il escaladait une montagne, courait le long de l’étroite ruelle abrupte au bord du ravin d’où montent des vapeurs parfumées, il souffle et gémit, il a dans la bouche un étrange fruit poisseux en forme de carambar cueilli sur un arbre inconnu, le goût en est salé et soudain il trébuche et tombe au fond du précipice, son corps heurte les rochers, et c’est là qu’on se jette sur lui, on le saigne et on lui tranche la tête, soulagement démoniaque, il n’est pas le chasseur mais la proie, elle n’est pas l’appât mais le piège, exposée là dans toute sa nudité, alors, submergé par un nouvel assaut haineux, il la repousse violemment et, le souffle lourd, se replie dans sa moitié de lit.
Por entre las rendijas de la persiana llega la luz de la farola de la calle, un débil rayo ilumina la espalda de Shlomith, remarca el contraste entre su carne mórbida y su cabellera negra ensortijada, como vellos púbicos, acaricia su piel como un sonámbulo, su otra mano se dirige a su miembro, repentinamente despierto, parece que su apetito se trasladó desde su vientre a su entrepierna, hambre por un trozo de carne viva y lúbrica, atractiva aún en su pilosa fealdad, un impulso animal desconocido lo lleva a aterrizar sobre la nuca de su esposa, a morderla con ira, con desesperación, como lo haría un perro con una perra desconocida junto al contenedor de la basura, y aún antes de escuchar su aullido de dolor y la queja que desvanecería su alucinación, le tapa la boca con la mano, la boca que le dirigió la más repulsiva de las sonrisas unos minutos atrás, aplasta sus labios con sus dedos, con su otra mano dirige su miembro al que el orgullo herido agiganta hacia el hueco de sus piernas, le causa un placer indecible justamente el asco que le provoca el cuerpo de su esposa, todo este tiempo sus dientes han permanecido hincados en su nuca mientras que él sube y baja sobre ella, sus cabellos se meten en su boca y siente náuseas pero no se detiene, sus ojos vagan enloquecidos para vigilar que no se acerquen otros perros, en el momento en que se desprenda de esa nuca se desvanecerá el sentimiento de humillación, su último anclaje en la vida, sube y baja como si escalara una montaña, trota en un sendero estrecho y escarpado junto al valle que exhala agobiantes vapores perfumados, espira e inspira y en su boca el fruto extraño que arrancó de un árbol, con forma de celdilla y de gusto salado, trota hasta el momento en que de repente resbala y cae a lo profundo del abismo, su cuerpo golpea contra las rocas, las bestias se precipitan sobre él, derraman su sangre, lo decapitan, qué alivio perverso, no será el cazador sino la presa, ella no será el cebo sino, en su desnudez, la trampa, una renovada ola de odio hacia ella lo invade cuando la aparta en un brusco movimiento para pasar a su lado en la cama, respirando pesadamente.
How many English words do you know?
Test your English vocabulary size, and measure how many words you know.
Online Test