Traduction de "mandataires" à espagnol
Mandataires
Exemples de traduction
Mais j’avais déjà signé un contrat en tant que mandataire.
Pero a esas alturas ya había firmado el contrato como agente.
Il avait été mandataire et représentant de Léopold II auprès du gouvernement des États-Unis et pièce maîtresse de sa stratégie pour que les grandes puissances lui cèdent le Congo.
Había sido agente y cabildero de Leopoldo II ante el Gobierno de Estados Unidos y pieza clave de su estrategia para que las grandes potencias le cedieran el Congo.
Klausner, importateur, mandataire, représentant commercial et grossiste accrédité, Jérusalem et environs. » Il vous tendait sa carte avec un gloussement d’excuse enfantin :
Klausner, importador, encargado mercantil, agente general y representante mayorista, Jerusalén y alrededores». Entregaba su tarjeta y son reía justificándose, como un niño:
Ils sèment en outre des agents chargés d’aller prévenir les mandataires du fonds Franklin, Amnesty International, le Parti de l’Espace et de la Liberté et les avocats de son père.
Los hilos generan agentes para que se lo comuniquen a los fiduciarios de Franklin, a Amnistía Internacional, al Partido del Espacio y la Libertad y a los abogados de su padre.
Bien que, comme Charles et Richemont, il eût reçu un banquier comme mandataire et qu’il eût des fonds à sa disposition, il n’était pas rare qu’il laissât ses deux compagnons payer la note de son entretien et de sa nourriture.
Aunque a él, al igual que a Carlos y al de Richemont, le habían asignado un banquero como agente y podía disponer de dinero, no era infrecuente que sus dos compañeros de infortunio hubieran de pagar las facturas de su manutención y alojamiento;
Au reste, on n’avait pas revu à Marseille le mandataire de la maison Thomson et French; le lendemain ou le surlendemain de sa visite à M. Morrel il avait disparu: or, comme il n’avait eu à Marseille de relations qu’avec le maire, l’inspecteur des prisons et M. Morrel, son passage n’avait laissé d’autre trace que le souvenir différent qu’avaient gardé de lui ces trois personnes.
Al agente de la casa de Thomson y French no se le había vuelto a ver en Marsella desde la mañana siguiente o la otra posterior a su visita al señor Morrel, y como no había tenido en Marsella relaciones sino con el alcalde, el señor Boville y el naviero, no dejó otros recuerdos que los de estas tres personas.
Meyer Davidson, ce petit homme doux au teint rose qui s’était présenté comme le mandataire de la société d’investissement, le holding qui derrière la chaîne de magasins finançait le projet, avait résumé la situation en quelques termes irrités lors de la première réunion préparatoire : « Toute l’affaire Santaroga se ramène à ceci : pourquoi avons-nous été contraints de fermer nos succursales ?
Meyer Davidson, el hombre de carnes sonrosadas y aspecto blando que se había presentado a sí mismo como el agente de la sociedad de inversiones, la compañía financiera que estaba detrás de la cadena de tiendas que pagaba por este proyecto, lo había expresado de un modo furioso y conciso en el primer encuentro de orientación: «Todo lo que se refiere a Santaroga se reduce a esto: ¿Por qué nos vimos obligados a cerrar nuestras sucursales allí?
Et Monte-Cristo, allant à un secrétaire, ouvrit un tiroir où il prit un papier qui avait perdu sa couleur première, et dont l’encre était devenue couleur de rouille, qu’il mit sous les yeux de Mercédès. C’était la lettre de Danglars au procureur du roi que, le jour où il avait payé les deux cent mille francs à M. de Boville, le comte de Monte-Cristo, déguisé en mandataire de la maison Thomson et French, avait soustraite au dossier d’Edmond Dantès.
Y dirigiéndose hacia un escritorio, abrió Montecristo un cajón y sacó un papel, cuya tinta se había ya enrojecido, poniendo a la vista de Mercedes la carta de Danglars al procurador del rey, que el día en que había pagado los doscientos mil francos al señor Boville, el conde, nombrándose agente de la casa de Thompson y French, había sustraído del proceso de Edmundo Dantés.
À l’entrée étaient apposées les plaques en verre dépoli de cabinets d’avocats, d’agents immobiliers, de médecins, de notaires, de fondés de pouvoirs et de mandataires de prestigieuses sociétés étrangères. En passant devant l’orphelinat Talitha Koumi, papa ne manquait pas de nous expliquer l’origine de ce nom (« lève-toi jeune fille » à propos de la résurrection de la fille de Jaïre dans l’Évangile de Marc), comme s’il ne l’avait pas fait deux semaines et deux mois auparavant, et maman remarquait invariablement : « Arrête, Arié, tu radotes, tu vas finir par l’endormir avec tes discours, cette jeune fille ! » Nous longions le « Bor Schiber », hérissé des fondations d’un édifice dont on avait suspendu la construction, le bâtiment Frumin qui, plus tard, devait abriter les locaux provisoires de la Knesset, la façade circulaire de Beit Hama’alot, dans le style Bauhaus, qui proposait aux visiteurs les plaisirs austères d’une beauté sévère et parcimonieuse à l’allemande, et nous nous attardions pour contempler les remparts de la vieille ville par-delà le cimetière musulman de Mamilla en nous bousculant les uns les autres (déjà trois heures moins le quart, et nous sommes loin d’être arrivés !), un peu plus bas, nous dépassions la synagogue Yeshouroun et les bâtiments carrés de l’Agence juive disposés en fer à cheval (papa remarquait à voix basse, avec une jubilation respectueuse, comme s’il me dévoilait des secrets d’État : « Notre gouvernement siège ici, le Dr Weizmann, Kaplan, Shertok, et parfois même David Ben Gourion en personne.
En la entrada de los edificios había placas negras de despachos de abogados, representantes, médicos, notarios, procuradores y agentes de prestigiosas firmas extranjeras. Pasábamos por delante de las casas del Talita Kumi (a mi padre le gustaba explicar que ese nombre significaba «niña, levántate», como si no lo hubiera explicado ya cientos de veces, y a mi madre le encantaba replicarle: Basta, Arie, ya lo sabemos, la niña se va a dormir de tantas explicaciones). Pasábamos por el pozo Shiber y por la casa Fromin, que iba a ser la sede temporal de la Keneset, por Bet Hamaalot, una casa circular que aseguraba a todo el que la visitaba el placer de una belleza rigurosa y austera, una belleza judeoalemana, y nos deteníamos un momento a mirar las murallas de la Ciudad Vieja al otro lado del cementerio musulmán de Mamila, metiéndonos prisa unos a otros (¡Ya son las tres menos cuarto! ¡Y aún queda un largo camino!), pasábamos por delante de la sinagoga Yeshurun y del edificio en forma de anfiteatro de la Agencia Judía (mi padre comentaba en voz baja, como si me estuviera revelando secretos de Estado, y con exultante veneración: «Aquí está nuestro gobierno, el señor Weizmann, Kaplan, Shertok, y a veces hasta el propio David Ben Gurión.
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