Traduction de "lèvent" à espagnol
Lèvent
Exemples de traduction
Les vents se lèvent.
Se está levantando el viento.
Hjalti profère un juron, et aussitôt les vents se lèvent.
Hjalti maldice, y justo entonces se levanta el viento.
— Sauf que moi, cet oiseau, je l’ai vu au plafond quand lèvent s’est mis à souffler.
—Yo vi el pájaro en el techo, cuando el viento se puso a soplar.
Qui lèvent l’ancre ici, dans le port d’Amsterdam, Traversent vent debout la brume et le gros temps, Abordent les pays brûlant sous le soleil, Les montagnes glauques des glaces éternelles,
que atracan en el puerto de Amsterdam. De allí, arrostrando brumas y galernas, corren en alas de todos los vientos hasta tierras ardientes o montañas de verde hielo que jamás se funde,
Leurs yeux se ferment et s’ouvrent à l’unisson, se baissent vers moi puis se lèvent vers le ciel, tout ce temps le vent tourne et geint autour d’eux et maintenant leurs bouches s’ouvrent grand, la course de l’air leur chant, la course : Oui.
Sus ojos se cierran y luego se abren como uno solo, mirándome, y después al cielo, mientras el viento gira a su alrededor y gime, sus bocas se abren ahora, la ráfaga de aire es su canción, la ráfaga: «Sí».
Les deux mâts se lèvent, la voile est attachée entre eux, Pétur a mis le gouvernail à l’eau, il lui faut ramper pour ce faire, tout laisse à présager que le vent va partir à l’assaut de la voile, qu’il se précipitera sur elle dans toute sa violence, enfin une résistance, enfin autre chose que le vide de l’air, la barque se couche presque sur le flanc.
Los dos mástiles se elevan, la vela amarrada entre ellos, Pétur ha colocado el timón, tiene que agacharse para hacerlo y todo parece indicar que el viento va a atacar la vela, que se va a arrojar violentamente contra ella, por fin hay resistencia, por fin algo que no sea aire vacío, el bote se escora y casi se tumba sobre una banda.
Elles descendent les escaliers avec leur dignité coutumière, d’un air tellement posé que les religieuses restées en bas, parmi lesquelles se lèvent déjà comme une brise dans les ajoncs les premiers soupçons et les premières craintes de ce qui va survenir, en sont toutes calmées, sobres et vigilantes, à nouveau recueillies et rassérénées, tandis qu’elles traversent en file indienne la sombre pelouse, chacune à sa place, pour se rendre à vêpres.
Descienden las escaleras con su habitual estilo y con tal apostura que las monjas de abajo, entre las que ya soplan como el viento entre los juncos la sospecha y el temor de lo que pueda ocurrir, se vuelven al momento sobrias y vigilantes y se reúnen y forman para desfilar por el prado oscuro, cada cual en su puesto de camino a las vísperas.
Pour les peuples de la mer les soucis ne surgissent pas du sol, pour les peuples de la mer les soucis tombent du ciel, ils s’appellent vent et bourrasque, c’est à cause d’eux que la houle et les vagues se lèvent, que les tempêtes se déchaînent, que la voile se déchire, que le mât se brise, que la frêle embarcation sombre, et ces hommes de la pêche et de la navigation meurent en fait entre le ciel et la terre, ciel que leurs mains n’atteignent pas, sol que leurs pieds ne touchent pas.
Para el pueblo del mar, las fatigas no se levantan del suelo, para el pueblo del mar, las fatigas caen del cielo, se llaman viento y vendaval, y por su culpa se alzan las ondas y el oleaje, se generan tempestades, se rompe la vela, se quiebra el mástil, se hunde el frágil leño, estos hombres de la pesca y de la navegación donde mueren, realmente, es entre el cielo y la tierra, el cielo que las manos no alcanzan, el suelo al que los pies no llegan.
Dehors il continuait à pleuvoir, le voisinage devait dormir, mais nous ne pouvons pas trop nous y fier, il y a des gens qui ont le sommeil si léger que même le bourdonnement d’un moustique suffit à les réveiller, ensuite ils se lèvent, vont à la cuisine boire un verre d’eau, regardent dehors par hasard, aperçoivent un trou rectangulaire noir dans le mur du collège et se disent peut-être, Ils sont bien négligents dans cette école, ils laissent la fenêtre ouverte par un temps pareil, ou bien, Si j’ai bonne mémoire, cette fenêtre était fermée, ça doit être le vent, personne ne pensera qu’un voleur est peut-être dans le collège, d’ailleurs ce serait une erreur grossière car, rappelons-le encore une fois, monsieur José n’est pas venu ici pour voler.
Fuera continuaba lloviendo, el vecindario debía de dormir, pero no podemos fiarnos mucho de eso, hay personas con un sueño tan leve que incluso el zumbido de un mosquito basta para despertarlas, después se levantan, van a la cocina a beber un vaso de agua, miran casualmente hacia fuera y ven un agujero rectangular negro en la pared del colegio, tal vez comenten, Qué poco cuidado tienen los de la escuela, con un tiempo como éste dejan la ventana abierta, o, Si no recuerdo mal, aquella ventana estaba cerrada, habrá sido la fuerza del viento, nadie va a pensar que puede entrar un ladrón dentro, además errarían radicalmente, porque don José, lo recuerdo una vez más, no vino a robar.
C’est la seule raison qu’il trouve pour expliquer pourquoi, alors qu’ils n’entendent pas bien, qu’ils ne parviennent pas à s’installer confortablement sur ces chaises en plastique qui, au bout de dix minutes, à peine le corps relâché, le martyrisent et l’obligent à se contracter à nouveau, alors qu’ils tremblent d’un froid qu’ils savent qu’ils ne pourront pas combattre, alors que le moindre détail de ce lieu, où ils demeurent immobiles, comme hypnotisés, depuis les incrustations des dalles du sol jusqu’au jaune sale et délavé des murs, depuis la tranche ébréchée des marches de marbre jusqu’aux verres rugueux du vitrage, tout ce qui les entoure leur rappelle ce que tout – sauf peut-être une volonté aveugle, suicidaire, semblable à une infernale insomnie dont il est impossible de guérir – les pousse à oublier – pour expliquer pourquoi ils ne partent pas avant que le froid les sèche, les transforme en pierre, pourquoi ils ne ramassent pas leurs affaires et ils ne se lèvent pas de leur chaise, pourquoi ils ne changent pas de lieu une bonne fois pour toutes, le plus rapidement possible, tous autant qu’ils sont, à toute vitesse, y compris les deux intervenants qui attendent leur tour à la table et la femme âgée qui à présent, pour tenter de mieux se faire entendre, approche sa bouche de la tête du micro, l’embrassant presque, et parle, et que ce qu’elle fait sortir des hautparleurs, aussi décrépits que le micro, n’est pas une phrase mais une espèce de vent accidenté, sombre, incompréhensible.
Es la única razón que se le ocurre para explicar por qué, si no escuchan bien, si no terminan de acomodarse en esas sillas de plástico que, al cabo de diez minutos, apenas el cuerpo se relaja, lo martirizan y lo obligan a contraerse, si tiemblan de un frío que saben que no podrán combatir, si todos y cada uno de los detalles del escenario en el que permanecen inmóviles, como hipnotizados, desde las incrustaciones de las baldosas del piso hasta el amarillo sucio y desvaído de las paredes, desde el filo mellado de los escalones de mármol hasta los vidrios rugosos del vitral, todo lo que los rodea les recuerda lo que todo —menos quizás una voluntad ciega, suicida, parecida a un insomnio infernal del que es imposible curarse— los empuja a olvidar —por qué no se van antes de que el frío los seque, los vuelva de piedra, por qué no recogen sus cosas y se levantan de sus sillas y se mandan a mudar de una buena vez, lo antes posible, todos, en estampida, incluidos los dos oradores que esperan su turno en la mesa y la mujer mayor que ahora, para ver si logra hacerse oír mejor, acerca la boca a la cabeza del micrófono, casi besándola, y habla, y lo que hace brotar de los parlantes, tan decrépitos como el micrófono, no es una frase sino una especie de viento atropellado, sombrío, incomprensible.
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