Traduction de "logie" à espagnol
Logie
Exemples de traduction
pesado
Suivant des yeux la direction indiquée, je compris le problème : au lieu de porter une paire de chaussures légères ou des pantoufles, qui auraient permis à ses orteils de se loger dans les anfractuosités de la maçonnerie, elle avait chaussé — novice qu’elle était — de lourdes bottes ferrées d’alpiniste.
Seguí su mirada y comprendí cuál era el problema: en lugar de ponerse unos zapatos ligeros o zapatillas, que le habrían permitido meter los dedos de los pies entre las piedras, novata como era había escogido un par de pesadas botas de alpinista con las suelas claveteadas.
Le lendemain matin il était au mieux de sa forme, blasphémant, toussant, la respiration sifflante, pleurant, jurant par tous les saints, humains ou non-humains, répertoriés ou non, qu’une autre nuit sans protection contre les températures, la radiation, la poussière, le pollen, les métaux lourds (dont l’omniprésence non seulement obligeait les étrangers à prendre des pilules immunisantes de peur d’être empoisonnés mais donnait mauvais goût à l’air), les bruits, les puanteurs, et toutes les choses de cette planète dont l’existence était un puissant argument en faveur de l’hérésie manichéenne, car il ne voyait pas pourquoi un Dieu bienveillant aurait conçu une telle planète : une autre nuit étendrait net son pauvre vieux cadavre, raide et pitoyable… Finalement, Théa eut peur et elle prit sur elle de le loger ailleurs.
A la mañana siguiente había estado en plena forma, maldiciendo, tosiendo, resoplando, sollozando, jurando por todos los humanos y no humanos dentro y fuera de catálogo que una noche más sin descansar de las temperaturas, la radiación, el polvo, el polen, los metales pesados, cuya otnnipresencia no sólo forzaba a los no nativos a tomar pildoras para no terminar envenenados, sino que hacía que el mismo aire supiese mal, los ruidos, los olores, todo en este planeta cuya existencia era un poderoso argumento en favor de la herejía de los maniqueos, porque él no podía imaginar por qué un Dios benevolente querría desear su existencia en el universo: otra noche causaría con certeza que sacasen su pobre y viejo cadáver rígido y lamentable... Finalmente, Thea se alarmó y se encargó de cambiar sus alojamientos.
Comme l’individu se montrait rétif à se priver de leurs services, Nicholas avait dû loger une balle dans le crâne de ce mielleux flagorneur plusieurs fois meurtrier, coupable d’extorsion de fonds et s’adonnant de surcroît à des perversions sexuelles qui auraient stupéfié Reynard en personne.
Este individuo había sido reacio a abandonar los servicios de esa gente, así que Nicholas había terminado por meterle una bala en la cabeza. El hombre era asesino múltiple, extorsionador, alcahuete y adicto a varias perversiones sexuales que habrían asombrado aun a Reynard, pero era un torpe aficionado a la delincuencia en comparación con Rive Montesq.
Sans se soucier des nouveaux venus, mais ravi de la diversion, Crawford visa un des hommes et, murmurant sans s’en rendre compte des jurons et des fragments de prières dont il se souvenait à moitié, pressa avec soin la détente du pistolet d’Émile. Le « bang » martela ses tympans déjà abîmés, et le canon du pistolet le heurta en plein visage quand le recul le projeta en arrière. L’homme qu’il visait fit un saut périlleux et disparut dans l’écume de la pluie projetée sur le pavé. Il retourna alors le pistolet déchargé qu’il tint par le canon brûlant et attendit le dernier homme – mais les cavaliers galopaient sur eux et il se trouva aveuglé par l’éclat d’un coup de feu comme le dernier agresseur tirait sur les cavaliers avant d’être piétiné. Crawford ne put voir si la balle avait touché quelqu’un. Un des cavaliers maîtrisa sa monture le temps de loger une balle dans le corps roulé sous les sabots et de lancer, peut-être pour Crawford :
Crawford no tenía ni idea de quiénes podían ser los recién llegados, pero cualquier cosa que distrajera la atención de sus perseguidores era bienvenida. Apuntó el cañón hacia uno de los hombres de la calle y apretó con mucha lentitud el gatillo de la pistola de Emile, murmurando maldiciones y fragmentos de plegarias medio olvidadas sin darse cuenta de lo que decía. El bang hizo vibrar sus ya maltratados tímpanos con la fuerza de un martillazo y el cañón del arma se estrelló contra su cara a causa del retroceso…, y el hombre al que había estado apuntando dio una torpe voltereta hacia atrás y desapareció entre la cortina de lluvia que creaba surtidores de espuma al chocar contra el pavimento. Crawford hizo girar la pistola entre sus dedos, la agarró por el metal caliente del cañón y esperó a que el último hombre fuese hacia él, pero los jinetes ya se habían lanzado al galope y un instante después el último atacante de Crawford disparó su arma contra ellos una fracción de segundo antes de ser arrollado. El fogonazo fue tan potente que Crawford quedó cegado durante unos momentos.
La première fois que j’ai baisé, pourquoi pas, oui, pas de problème, sa petite culotte… La première chose qui me revient, c’est elle en train de faire glisser sa culotte sur ses reins… le regard par en dessous qu’elle me jetait à travers ses cheveux lui tombant devant le visage, j’étais hypnotisé, je n’avais jamais vu une femme se déshabiller… sauf dans les films, bien entendu… mais à l’époque il était exclu de voir à l’écran une femme retirer vraiment sa culotte, d’ailleurs je ne suis pas sûr d’avoir jamais… je veux dire qu’on voit par exemple le slip projeté à travers la chambre ou bien gisant sur le tapis, en gros plan, mais pas la femme l’enlever vraiment… c’est peut-être une action trop ordinaire, trop gauche, difficile à faire de façon gracieuse ou érotique, se baisser, se courber, se tenir en équilibre sur une jambe puis sur l’autre… Les strip-teaseuses ont toujours un système de bouton-pression ou de velcro pour pouvoir envoyer ça promener d’un seul geste… hé hé, la fille dans cette boîte à Soho comment ça s’appelait déjà qui avait retiré son string avant son soutien-gorge… elle avait fait ça sans y penser, elle pensait à autre chose, elle rêvassait, c’était le milieu de l’après-midi, une heure creuse, guère de clients, Dieu sait ce que je fichais là, peut-être tuer le temps entre deux rendez-vous, ou bien un peu beurré, allumé en sortant d’un déjeuner d’affaires, je ne me souviens plus, toujours est-il qu’on était là avec une demi-douzaine de branleurs solitaires affalés sur nos fauteuils dans la pénombre violacée, à mater cette fille sous le faisceau d’un projecteur qui exécutait son numéro comme une somnambule, qui épluchait son costume morceau par morceau tout en bougeant les pieds et en tortillant des hanches au rythme d’une musique disco, jusqu’à ce qu’elle n’ait plus sur elle que son soutien-gorge et son string… après quoi, distraitement, elle a retiré le string avant le soutif, hé hé… et nous les mecs dans la salle on a tous sursauté comme sous l’effet d’une petite décharge électrique… le visage de la fille a exprimé un embarras extrême, elle a marqué un temps d’arrêt dans sa danse et perdu le tempo en se rendant compte de ce qu’elle venait de faire, elle a rougi, réellement rougi, et elle a marmonné « Excusez-moi », les premiers mots qu’elle prononçait sur cette estrade ou sur toute autre, sans doute, une strip-teaseuse ne parle jamais, puis elle a remis son string en place et poursuivi son numéro de robot… Oui, de robot, si on arrivait à loger le hardware dans une enveloppe convaincante de chair synthétique il serait relativement facile de fabriquer un robot effeuilleuse, quoi, ce serait si simple à programmer… Mais pendant un instant, rien qu’un instant, elle avait eu l’air d’un être humain, imprévisible, faillible, vulnérable… quelqu’un a lâché un rire dans la pénombre, une espèce d’aboiement qui a entraîné des gloussements en chaîne parmi les rares spectateurs, et l’ambiance d’érotisme, d’onanisme morose a été rompue… Car le protocole du striptease est strict, il impose un certain ordre dans le dévoilement des parties du corps… en portant atteinte au cadre établi de la scène, tout écart la fera paraître naturelle… comme un simple déshabillage chez soi pour se mettre au lit… chacun se déshabille à sa façon, dans un ordre qui lui est propre, et il lui arrive d’en changer si ça l’arrange… Carrie, par exemple, elle enlève parfois son slip avant son soutien-gorge et elle se balade comme ça dans la chambre si elle s’apprête à se servir du bidet, enfin c’est ce qu’elle faisait avant, maintenant c’est rare qu’elle se promène à poil, elle ne tient pas à exhiber son embonpoint… Martha avait retiré sa culotte en dernier, mais c’était une sorte de strip-tease qu’elle pratiquait devant moi, sans me quitter du regard, jouissant du pouvoir qu’elle exerçait… j’étais assis sur le lit avec une érection grosse comme l’Everest sous mon slip, les yeux écarquillés, le souffle coupé, la bouche sèche, la gorge nouée… Je guettais les bruits du dehors, même si j’avais vu Tom Beard se tirer ce matin-là au volant de sa vieille camionnette avec Sol occupant la place du passager et la remorque remplie de brebis guettées par le retour d’âge qu’il allait fourguer à la foire… oui, même si je savais qu’il ne rentrerait que tard dans la soirée, je craignais quand même qu’il arrive quelque chose, une panne, un accident, à cause de quoi il reviendrait inopinément… « T’inquiète pas, chéri, avait-elle dit en m’entraînant par la main hors de la cuisine vers l’escalier, on entend venir les voitures à des kilomètres, et les grincements de cette vieille grille réveilleraient un mort… » Elle m’a emmené dans sa chambre où elle a fermé les rideaux mais ça n’a guère obscurci la chambre, le soleil de l’après-midi luisait à travers la mince cotonnade et répandait une lumière rosée sur Martha, telle une strip-teaseuse en scène… et elle s’est mise à se dénuder, à ôter ses vêtements un par un en les pliant soigneusement sur le dossier du fauteuil en bois… « Eh ben alors qu’est-ce que t’attends ?
Mi primer polvo, qué tal eso, sí, no hay problema, sus bragas… Lo primero que me vuelve es ella deslizando las bragas por sus caderas… mirándome con picardía desde debajo del pelo que le tapaba la cara, yo estaba paralizado, nunca había visto a una mujer desnudarse… salvo en las películas, por supuesto… pero en aquellos tiempos nunca veías realmente a una mujer quitándose las bragas en la pantalla, ahora que lo pienso no sé seguro si alguna vez… Me refiero a que sí las veías flotando por el aire o un primer plano de unas bragas en el suelo, pero no a la mujer real… Quizás sea un acto demasiado torpe o feo, difícil de hacer con gracia o con erotismo, encorvarse y agacharse y sostenerse sobre una sola pierna mientras la otra… Las bailarinas de striptease, por ejemplo, siempre tienen algún tipo de broche o de velero que les permite deshacerse de ellas con un solo movimiento… ah, aquella chica en aquel local de Soho que se quitó el tanga antes que el sujetador… no pensaba en nada, o mejor dicho estaba pensando en otra cosa que en su destape, soñando despierta, era a media tarde, una hora muerta, y sólo había unos cuantos clientes en el local, a saber qué diablos hacía yo allí, entre una reunión y otra, quizás un poco bebido y cachondo después de un almuerzo de trabajo, quizás, no me acuerdo, pero allí estaba yo con media docena de pajeros solitarios, desplomados en nuestros asientos en la penumbra tintada de violeta contemplando a aquella chica que ejecutaba su rutina como una sonámbula bajo el cono de un foco, que se despojaba de prendas y telas de su vestimenta mientras arrastraba los pies y cimbreaba las caderas al compás de música disco grabada, hasta quedarse en sujetador y tanga, ah… y nosotros los hombres del público nos incorporamos de un brinco como si nos hubieran aplicado una suave descarga eléctrica… una expresión de vergüenza intensa se pintó en la cara de la chica, que dio un traspié en su baile y perdió el ritmo en cuanto se percató de lo que había hecho y se ruborizó, se sonrojó de verdad, y murmuró “Perdón”, la primera vez que hablaba en aquel escenario o apuesto que en cualquier otro, las strippers nunca hablan, y luego se puso otra vez el tanga y continuó su ritual robótico… Robótico, sí, si se pudieras colocar el hardware en una envoltura convincente de carne sintética sería relativamente fácil fabricar un robot que hiciera striptease, quiero decir que el programa sería muy sencillo… Pero por un momento, sólo durante un momento, ella pareció un ser humano real, imprevisible, falible, vulnerable… alguien se rió en la oscuridad, una breve carcajada parecida a un ladrido, que provocó otras pocas risotadas en el público disperso, y se rompió el ambiente de sombrío erotismo onanista… Porque el protocolo del striptease es estricto, hay que observar cierto orden en la exposición de miembros… cualquier desviación quebrará el marco del suceso, hará que parezca natural… como desnudarse para meterse en la cama en casa… todo el mundo tiene su propia manera de hacer eso, su propio orden, y a veces lo cambias si te conviene… Carrie, por ejemplo, algunas veces se quita las bragas antes que el sujetador, y deambula por el dormitorio así, como si fuese a utilizar el bidé, al menos solía hacerlo, ya no se pasea desnuda muchas veces, se siente cohibida por su silueta… Martha se quitó las bragas al final, pero aquello fue una especie de destape, me miraba todo el rato, disfrutando de su poder sobre mí… Yo estaba sentado en la cama con una erección que producía un pico como el Everest en mis calzoncillos, con los ojos abiertos como platos, sin respirar apenas y con la boca seca pero incapaz de tragar… los oídos me escocían por los sonidos que venían de fuera, aunque hubiera visto a Torn Beard salir esa mañana en su vieja camioneta con Sol en el asiento del pasajero y un remolque lleno de ovejas que ya habían rebasado su época de esplendor y de las que iba a deshacerse en el mercado, cómo le llaman a eso… “selección de edad”, sí, aunque yo supiera que iba a estar ausente hasta la noche, seguía temiendo que ocurriese algo, una avería, por ejemplo, o un accidente, y que volviera a casa inesperadamente… “No te preocupes, amor”, dijo ella, mientras me llevaba de la mano desde la cocina a la escalera. “A un coche se le oye desde kilómetros de distancia, y esa cafetera chirría como un demonio…”. Me llevó arriba a su dormitorio y corrió las cortinas, pero apenas oscurecieron el cuarto, el sol de la tarde que brillaba a través de la fina tela bañaba a Martha en una suave luz rosa, como a una stripper en un escenario… Y ella empezó a desvestirse, despojándose de cada prenda y doblándola con cuidado en el respaldo de una silla windsor… ¿A qué estás esperando?», me dijo, y yo la miré boquiabierto como un idiota. «No seas tímido, no será la primera vez que te veo sin ropa», dijo ella, refiriéndose a la tarde en que me vio nadando en el arroyo con los perros… Un día sofocante, acabábamos de conducir el rebaño a otro pasto, las ovejas pacían ávidamente en la suculenta hierba fresca.
Logie, Jacques, Waterloo : la bataille de 1815, Lannoo Uitgeverij, 2003.
Logie, Jacques, Waterloo: The 1815 Campaign, Stroud, Spellmount, 2006.
Cet « onco » est sûrement un truc grec relatif aux tumeurs parce que la partie « logie » du mot est toujours précédée d’un terme grec.
No sé bien por qué, pero ese «onco» seguramente es algo del griego relacionado con los tumores, porque la «logia» que contiene la palabra siempre acompaña a otra griega.
« Théo- » = « Dieu » et « -logie » = « discours ». Tout mot se terminant par « -logie » signifie « discours sur » ou « discussion sur » ou « paroles traitant de » ou « étude du » sujet visé dans la première partie du mot, que ce soit « hippologie », « astrologie », « proctologie », « eschatologie », « scatologie » ou tout ce que vous voudrez.
«Theo» es igual a Dios, y «logos» es igual a palabra, es decir, cualquier palabra terminada en «—logía» significa «hablar de», o «discusión», o «palabras relativas a», o «estudio de» un tema especificado en la primera parte de la palabra, ya sea «hipología» o «astrología» o «proctología» o «escatología» o alguna otra cosa.
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