Traduction de "housses" à espagnol
Exemples de traduction
Et dites à Brunet, ce soir, qu’il fasse housser ma litière avec les toiles cirées par-dessus les toiles teintes.
Y esta noche decid a Brunet que cubra mi litera con las telas enceradas que deberá desplegar bajo los lienzos teñidos.
Je me retourne et le voilà, le Royal Opéra House, ses colonnes illuminées pour le spectacle de ce soir, un tapis rouge sur le trottoir, le public qui entre.
Doy media vuelta y ahí está: la Royal Opera House, con sus columnas iluminadas para el espectáculo de esta noche. Una alfombra roja cubre la acera y el público ya ha empezado a entrar por las puertas.
Le corps lui pique à force de crasse, et la tête à cause des poux, mais je ne peux me gratter, mains et bras en flanelle, toute la journée assis au soleil, quand il y a du soleil, dans la cathèdre gothique qu’une dame qui est venue à sa cellule, maintenant qu’on va démolir la Maison, choisir les choses qu’il lui convient d’emporter, a décidé de ne pas prendre – elle est bien grande, où vais-je la mettre ? – elle en a fait cadeau à la mère Benita et quand la mère Benita lui a dit merci mais qu’est-ce que vous voulez que je fasse d’un meuble de cette taille maintenant qu’on va tout vendre aux enchères, et moi qu’est-ce que j’en ferai puisque ça ne tient pas dans mon appartement moderne et qu’en plus le House and Garden qui sort des petites choses si adorables dit qu’on n’emploie plus les meubles de style gothique, encore que ça ne serait pas grave car j’ai beaucoup de personnalité pour arranger mes affaires, toutes mes amies le disent, ce qui fait que je ne comprends pas et que je suis un peu vexée que vous disiez qu’il ne vous sert à rien, comme ça, c’est un bon siège en noyer qui vient du hall de la maison de maman, rue Dieciocho, en plus on dit que ce n’est pas vrai qu’on va démolir car Inés va venir habiter ici… on dit qu’elle a fait vœu de pauvreté… avec ses millions… quelqu’un qui l’a vue à Rome, ou en Suisse, je ne sais pas, quelque part par là, a dit qu’elle a beaucoup changé, qu’elle a cessé de se teindre les cheveux, on dit qu’elle a les cheveux d’un blanc passablement laid, on dit qu’on a élevé le Mudito pour en faire un sacristain, les assistées et les sœurs de la Maison, c’est pour ça qu’il est si brave, mais il est si fatigué, au bout de son rouleau, le pauvre, on dirait qu’il n’y voit même plus, ça, ce n’est pas vrai, je vois, je regarde, mon regard nostalgique est la seule chose vivante qui me reste de tout ce qui a jamais existé et me conserve un rapport avec l’origine qui me reste maintenant, car on dit… on dit qu’une dame qui habitait autrefois la cour du lavoir a entendu dire à une petite bonne femme qui est morte il y a bien longtemps, et celle-là à une autre qui m’a connu alors, que j’étais un très joli bébé avec une petite figure cireuse d’enfant maladif, mais des yeux tout grands et tout tristes comme si j’étais toujours sur le point de pleurer, et qu’une mendiante d’une agglomération-champignon m’avait un jour trouvé à sa porte, nu, exposé à l’inclémence d’une nuit semblable à celle où m’expulse Iris pour que j’aille le lui ramener, mais je ne peux que rester derrière le carreau de la façade à regarder à l’intérieur, et je le regarde sous la pluie, lui dans sa bibliothèque aux fauteuils gris, ouvrant un rayon de sa bibliothèque qui ne consiste pas en cent exemplaires d’un livre verdâtre avec mon nom au dos mais les imite seulement, ce n’est qu’une porte cachant le coffre-fort dont le contenu ne m’intéresse pas, tout ce qui m’intéresse c’est de rentrer à la Maison avec un pour cent de moins maintenant que je sais que mon nom n’existe qu’au dos de ces cent faux livres, et peut-être mon nom lui-même n’est-il qu’imité, en attendant qu’Inés me laisse rentrer comme cette mendiante qui me trouva un jour à sa porte, dans la froide intempérie d’une nuit.
Le pica el cuerpo con tanta mugre y la cabeza con los piojos pero no puedo rascarme, lacias las manos y los brazos, todo el día sentado al sol, cuando hay sol, en el sitial gótico que una señora que vino a su celda ahora que van a demoler la casa, a elegir las cosas que le conviene llevarse y decidió que no, es muy grande, dónde lo voy a meter, se lo regaló a la madre Benita y cuando la madre Benita le dijo gracias pero qué quiere que haga yo con un mueble así de grande ahora que va a haber remate, y yo qué hago si no me cabe en mi departamento moderno y además las cosas estilo gótico ya no se usan dice el House and Garden que saca monadas pero eso sería lo de menos porque yo tengo mucha personalidad para poner mi casas según todas mis amigas así es que no comprendo y me ofendo un poco porque usted dice que este sitial no le sirve para nada, cómo va a ser, es bueno, de nogal, era del hall de la casa de mi mamá en la calle Dieciocho además dicen que no es verdad que van a demoler porque la Inés se va a venir a vivir aquí… dicen que hizo voto de pobreza… con sus millones… alguien que la vio en Roma, o en Suiza, no sé, en alguna de esas partes, dijo que ha cambiado mucho, dicen que se dejó de teñir el pelo, dicen que tiene el pelo de un canoso harto feo, dicen que al Mudito lo criaron para sacristán entre las asiladas y las monjitas aquí en la casa, por eso es que es tan bueno pero está tan concluido, tan cansado el pobrecito que parece que ya ni mirara, eso no es verdad, yo veo, miro, mi mirada nostálgica es lo único vivo que me queda de lo que siempre existió y me relaciona con el origen que ahora me queda porque dicen… dicen que una señora que antes vivía aquí en el patio del lavadero le oyó decir a una mujercita que se murió hace mucho tiempo y ésa a otra que me conoció entonces que yo era una guagua muy linda, con esas caras chiquitas y cerosas que ponía de niño enfermizo pero con los ojos muy grandes y tristes como si siempre estuviera a punto de llorar, y una mendiga en una población callampa me encontró un día en su puerta, desnudo, a la intemperie de la misma noche a la que la Iris me expulsa para que vaya a traérselo pero yo sólo puedo quedarme detrás del vidrio en la fachada mirando para adentro y lo miro desde la lluvia, en su biblioteca de sillones grises abriendo un paño de su biblioteca que no son cien tomos de un libro verdoso con mi nombre en el lomo sino que los simula, es sólo una puerta que cubre la caja de fondos cuyo contenido no me interesa, sólo me interesa regresar a la casa con un uno por ciento menos ahora que sé que mi nombre sólo existe en el lomo de esos cien libros simulados, quizá mi nombre mismo sea simulado, esperando que la Iris me deje entrar como esa mendiga que me encontró en su puerta en el frío de la intemperie una noche.
Ils étaient recouverts de leur housse de toile.
Estaban cubiertos con sus fundas.
Des meubles recouverts de housses.
Muebles cubiertos por sábanas.
certains étaient couverts de housses, d’autres non ;
algunos se hallaban cubiertos por fundas, otros, no;
Le salon était enseveli sous des housses. Sa chambre ?
El salón estaba con todos los muebles cubiertos de fundas. ¿En su alcoba?
Tout avait été laissé en place, recouvert de housses de protection.
Simplemente lo habían dejado todo donde estaba, cubierto con fundas.
Le mobilier était presque entièrement dissimulé sous des housses.
Todo el mobiliario estaba cubierto por fundas para protegerlo del polvo.
Divans et fauteuils sont recouverts de housses en nylon transparent.
Sofás y sillones están cubiertos con fundas de nailon transparente.
J’ôtai la housse de la machine à écrire, et commençai mon boulot.
Quité la cubierta a la máquina de escribir y me puse a trabajar.
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