Traduction de "father" à espagnol
Exemples de traduction
Yehuda Amichai, My Father
Yehuda Amichai, «Mi padre»
Said, "Saw ye my father ?
Decía: «¿Has visto a mi padre?
LETTERS BETWEEN A FATHER AND SON
NAIPAUL Cartas entre un padre y un hijo
– Best wishes from your father Benjamin ! Ester
—Muchos saludos de Benjamín, tu padre. Ester
Oh, her father led her down the stair,
Oh, su padre por la escalera la acompañó,
Ce Father Willis, fabriqué en 1888, aurait eu bien plus de prix s’il était resté dans son état original.
Construido en 1888, el Padre Willis habría sido considerado un instrumento más valioso de haber conservado su estado original.
Quelque chose de tout à fait invraisemblable, traité dans une ambiance de féerie, pas très loin de Father Brown.
Algo absolutamente inverosímil, tratado en una atmósfera de hadas, no muy alejado del Padre Brown.
Le Christ y serait allé, ainsi que Bouddha, Rama et sans doute Father Divine, Joseph Smith et Mary Baker Eddy.
Jesucristo estuvo allá, Buda y Rama también y, probablemente, el padre Divine, Joseph Smith y Mary Baker Eddy.
De la radio du chauffeur nous parvenaient les paroles emportées du fervent prêtre antisémite qui avait son émission tous les dimanches, Father Coughlin.
Por la radio del taxi se oían las palabras enardecidas del fervoroso sacerdote antisemita que hablaba todos los domingos, el padre Coughlin.
Il rêvait déjà de jouer de l’orgue, et l’orgue dont il rêvait, c’était le Father Willis d’Old Saint-Paul.
Por entonces soñaba ya con tocar el órgano, y el órgano con el que soñaba era el Padre Willis de Old St. Paul. Mientras que, en opinión de sus progenitores, ser segundo organista de Old St.
Dear Mother and Father, Behold Jojo eating fruits ! Saint-Exupéry en Petit Prince, demandant à Hedda Sterne si elle était libre à dîner et… allez, tu le reprendras plus tard… le feuilletant une dernière fois avant de le refermer, repéra l’autoportrait d’un homme perdu, voûté et la tête dans les mains, devant une photographie de sa belle. Oh !
Dear Mother and Father, Behold Jo joeating fruití Saint-Exupéry dibujado de Principito, preguntándole a Hedda Sterne si quería ir a cenar con él y… venga, ya lo seguirás viendo luego… hojeándolo una última vez antes de cerrarlo, vio el autorretrato de un hombre perdido, encorvado, sujetándose la cabeza entre las manos, ante una fotografía de su amada. Oh!
L’empereur Abul-Fath Jalaluddin Muhammad, Roi des Rois, connu depuis l’enfance sous le nom d’Akbar, ce qui signifie « le grand », et depuis peu désigné malgré la tautologie par le titre de Akbar le Grand, le très grand des grands, grand dans sa grandeur même, doublement grand, si grand que cette répétition à l’intérieur de son titre n’était pas seulement pertinente mais absolument indispensable pour exprimer tout l’éclat glorieux de sa gloire, lui l’empereur absolu couvert de poussière, fatigué par les combats, vainqueur, pensif, marqué par un début d’embonpoint, désenchanté, moustachu, poète, doté d’une puissance sexuelle extraordinaire, lui qui semblait à la fois trop magnifique et trop universel, en un mot trop pour n’être qu’un individu singulier, ce souverain capable d’engloutir des océans, cet avaleur de mondes, ce monstre à plusieurs têtes qui ne parlait de lui qu’à la première personne du pluriel, avait entrepris de méditer, au cours du long et ennuyeux voyage de retour, rapportant avec lui les têtes de ses ennemis vaincus ballottant dans des jarres à condiments scellées, à méditer donc sur les troublantes qualités de la première personne du singulier, le « Je ».
El emperador AbulFath Jalaluddin Muhammad, rey de reyes, conocido desde la infancia como Akbar, que significa «el grande», y más tarde, pese a la tautología inherente, como Akbar el Grande, el grande grande, grande en su grandeza, doblemente grande, tan grande que la repetición en su título no solo era apropiada sino incluso necesaria a fin de expresar la esplendidez de su esplendor: el Gran Mogol, el emperador absoluto, polvoriento, cansado del combate, victorioso, reflexivo, incipientemente metido en carnes, desencantado, bigotudo, amante de la poesía, libidinoso, que parecía en todos los sentidos demasiado magnífico, demasiado universal y, en suma, demasiado de todo para ser un solo individuo humano; y durante el largo y tedioso viaje de regreso, en el que lo acompañaban las cabezas de sus enemigos derrotados meciéndose dentro de tinajas herméticamente cerradas, esta arrolladora avalancha de soberano, este tragamundos, este monstruo multicéfalo que hacía referencia a sí mismo en primera persona del plural, empezó a meditar acerca de las inquietantes posibilidades de la primera persona del singular, el «yo».
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