Traduction de "faconde" à espagnol
Exemples de traduction
Bunsen avait une façon de se comporter qui accaparait l’attention générale avec sa voix claironnante, ses manières joviales, sa faconde, flattant les femmes, taquinant les hommes.
Bunsen tenía una gran habilidad para tomar bajo su control cualquier evento social, convirtiéndose en el centro de atención gracias a su vozarrón y sus maneras joviales y chistes pasados de moda, engatusando a las mujeres y fastidiando a los hombres.
Il décida avec sa faconde italienne le préposé au guichet à reprendre le billet déjà pris et jura qu’on allait télégraphier, qu’on ne négligerait rien pour recouvrer la malle à bref délai, coûte que coûte, et ainsi se produisit cette chose singulière, que le voyageur se revit, vingt minutes après son arrivée à la gare, dans le grand canal, en route pour retourner au Lido.
Y se fue a la ventanilla, donde le devolvieron el precio del billete. Aseguró que telegrafiaría, que haría todo lo posible para recuperar el baúl rápidamente. De esa manera s.u-cedió el extraño acontecimiento de que el viajero, a los cinco minutos de su llegada a la estación, volvió a encontrarse en el Gran Canal, en viaje de regreso al Lido.
Se détournant des tourbillons de vapeur qui montaient de la soupière, il versait à la ronde un breuvage ambré, du punch à l’arak, dans les verres qu’on lui tendait, donnant libre cours à sa joyeuse faconde, si bien que des salves de rire accompagnaient le service tout autour de la table. « Le sieur Urian siège au sommet du mont1 », souffla Settembrini en guise d’explication, et il désigna Behrens avant d’être entraîné avec Hans. Le docteur Krokovski était lui aussi de la partie : courtaud, robuste et trapu, il avait une allure de domino, sa blouse de lustrine noire jetée sur les épaules, les manches pendouillantes, et, tenant son verre à hauteur des yeux, la main de travers, il devisait gaiement avec un groupe de travestis qui singeaient l’autre sexe.
Hacía manar el oscuro brebaje, un ponche azucarado al arrak, en un chorro curvo, desde el cucharón a los vasos que se le tendían, pronunciando discursos ininterrumpidos en su jerga cómica, de manera que las risas le acompañaban continuamente. —El señor Urian preside —explicó en voz baja Settembrini, haciendo un movimiento con la mano en dirección al doctor. Luego se separó del lado de Hans Castorp. El doctor Krokovski se encontraba también presente. Pequeño, rollizo y decidido, con su blusa de lustrina negra sobre los hombros y las mangas colgantes, cobraba así vestido un aspecto de dominó.
Marie fut fort étonnée de cette nouvelle, dont la substance, heureusement, ne se perdit pas dans l’élocution confuse de l’ange, et elle demanda, Alors Jésus est mon fils et celui du Seigneur, Femme, quel manque d’éducation, tu dois respecter la hiérarchie, les préséances, tu devrais dire le fils du Seigneur et de moi, Du Seigneur et de toi, Non, du Seigneur et de moi, Ne m’embrouille pas les idées, réponds à ce que je t’ai demandé, Jésus est-il fils, Fils, ce qui s’appelle fils, il l’est seulement du Seigneur, toi, dans cette histoire, tu n’as été qu’une mère porteuse, Alors, le Seigneur ne m’a pas choisie, Qu’est-ce que tu racontes, le Seigneur ne faisait que passer, quelqu’un d’attentif se serait aperçu de son passage à la couleur du ciel, mais le Seigneur remarqua que Joseph et toi étiez des gens robustes et sains et alors, si tu te souviens encore de la façon dont ces besoins se manifestent, son appétit s’est réveillé et le résultat fut Jésus, neuf mois plus tard, Et on a la certitude, ce qui s’appelle la certitude, que c’est vraiment la semence du Seigneur qui a engendré mon premier fils, Bon, la question est délicate, ce que tu me demandes n’est ni plus ni moins qu’une recherche de paternité alors qu’à la vérité dans ces mariages mixtes on a beau faire des flopées d’analyses, des tas de tests, des masses de comptages de globules, on n’a jamais de certitude absolue, Pauvre de moi qui à t’entendre m’étais imaginée que le Seigneur m’avait choisie ce matin-là pour être son épouse alors que finalement tout a été l’œuvre du hasard, et la réponse peut être aussi bien oui que non, alors moi je te dis qu’il aurait mieux valu que tu ne descendes pas ici à Nazareth pour venir me plonger dans ce doute, d’ailleurs, si tu veux que je te parle franchement, un fils du Seigneur, même avec moi pour mère, cela se serait vu dès sa naissance et, plus tard, en grandissant, il aurait eu de ce même Seigneur le port, la figure et la parole, or, bien qu’on dise que l’amour d’une mère est aveugle, mon fils Jésus ne remplit pas ces conditions, Marie, ta première grande erreur c’est de penser que je suis venu ici uniquement pour te parler de ce vieil épisode de la vie sexuelle du Seigneur, ta deuxième grande erreur c’est de croire que la beauté et la faconde des hommes sont à l’image et à la ressemblance du Seigneur alors que le système du Seigneur, je te le dis moi qui suis de la maison, c’est d’être toujours à l’opposé de la façon dont les hommes se l’imaginent et d’ailleurs, tout à fait entre nous, je pense même que le Seigneur ne pourrait pas vivre autrement, le mot qui sort le plus fréquemment de sa bouche ce n’est pas oui, c’est non, J’ai toujours entendu dire que c’est le Diable qui est l’esprit qui nie, Non, ma fille, le Diable est l’esprit qui se nie, si dans ton cœur tu ne saisis pas la différence tu ne sauras jamais à qui tu appartiens, J’appartiens au Seigneur, Eh bien justement, tu prétends appartenir au Seigneur et tu es tombée dans la troisième erreur, la plus grave, qui est de ne pas avoir cru en ton fils, En Jésus, Oui, en Jésus, aucun parmi tes autres enfants n’a vu Dieu ni ne le verra jamais, Dis-moi, ange du Seigneur, s’il est vraiment vrai que mon fils Jésus a vu Dieu, Oui, et comme un enfant qui a découvert son premier nid, il est accouru pour te le montrer, et toi sceptique, et toi méfiante, tu as dit que cela ne pouvait être vrai, que si nid il y avait, il était vide, que si œufs il y avait, ils étaient gâtés et que s’il n’y en avait pas, c’était parce qu’un serpent les avait mangés, Pardonne-moi, cher ange, d’avoir douté, En ce moment je ne sais pas si c’est à moi que tu parles ou à ton fils, À lui, à toi, à tous les deux, que puis-je faire pour défaire le mal qui est fait, Que te conseille ton cœur de mère, D’aller à sa recherche, de lui dire que je crois en lui, de lui demander de me pardonner et de revenir à la maison, où le Seigneur viendra l’appeler, l’heure venue, Franchement, je ne sais pas si tu arriveras à temps, il n’y a rien de plus susceptible qu’un adolescent, tu risques d’entendre des paroles brutales et de te voir claquer la porte au nez, Si pareille chose arrive, ce sera la faute de ce démon qui l’a ensorcelé et égaré, je ne sais vraiment pas comment le Seigneur, étant son père, lui a permis de prendre tant de libertés, comment il a pu lui lâcher ainsi la bride, De quel démon parles-tu, Du berger que mon fils a fréquenté pendant quatre ans, s’occupant d’un troupeau dont personne ne sait à quoi il sert, Ah, le berger, Tu le connais, Nous avons été à la même école, Et le Seigneur permet qu’un démon comme lui continue à exister et qu’il prospère, Le bon ordre du monde l’exige, mais le dernier mot appartiendra toujours au Seigneur, simplement nous ne savons pas quand il le prononcera, mais tu verras qu’un jour nous nous réveillerons et nous découvrirons que le mal n’existe pas dans le monde, et maintenant il faut que je m’en aille, si tu as d’autres questions à poser, profite de l’occasion, Juste une, Très bien, À quelle fin le Seigneur veut-il mon fils, Ton fils est une manière de parler, Aux yeux du monde Jésus est mon fils, À quelle fin le veut-il, demandes-tu, eh bien, c’est une bonne question, oui, parfaitement, l’ennui c’est que je ne sais pas quoi te répondre, la question, au stade actuel, est entièrement entre eux deux, et je ne crois pas que Jésus en sache plus que ce qu’il t’a dit, Il m’a dit qu’il aura la puissance et la gloire après sa mort, De cela aussi je suis informé, Mais que devra-t-il faire de son vivant pour mériter les merveilles que le Seigneur lui a promises, Allons, allons, femme ignorante, crois-tu que ce mot existe aux yeux du Seigneur, que ce que tu appelles avec présomption des mérites puisse avoir une valeur quelconque et un sens, en vérité je ne sais pas ce que vous vous imaginez, vous qui n’êtes que de misérables esclaves de la volonté absolue de Dieu, Je ne dirai rien de plus, je suis véritablement l’esclave du Seigneur, que sa parole s’accomplisse en moi, dis-moi simplement où je pourrai trouver mon fils, après que tant de mois ont passé, Cherche-le, c’est ton devoir, lui aussi a cherché la brebis égarée, Pour la tuer, Tranquillise-toi, il ne te tuera pas, mais toi, en revanche, tu le tueras en n’étant pas présente à l’heure de sa mort, Comment sais-tu que je ne mourrai pas la première, Je suis suffisamment proche des centres de décision pour le savoir, et maintenant adieu, tu as posé les questions que tu voulais poser, peut-être n’en as-tu pas posé une que tu aurais dû poser, mais cela est une affaire qui ne me regarde pas, Explique-moi, Explique-le-toi à toi-même.
Se asombró mucho María con la noticia, cuya sustancia, felizmente, no se perdió en la confusa alocución del ángel, y preguntó, Entonces Jesús es hijo mío y del Señor, Mujer, qué falta de educación, a ver si tienes más cuidado con las jerarquías, con las precedencias, del Señor y mío tendrías que haber dicho, Del Señor y tuyo, No, del Señor y tuyo, No me confundas la cabeza, respóndeme a lo que te he preguntado, si Jesús es hijo, Hijo, lo que se dice hijo, es sólo del Señor, tú, para el caso, no pasaste de ser una madre portadora, Entonces, el Señor no me eligió, Bueno, el Señor estaba sólo de paso, quien estuviera mirando lo habría notado sólo por el color del cielo, pero se dio cuenta de que tú y José erais gente robusta y saludable y entonces, si todavía reecuerdas cómo estas necesidades se manifestaban, le apeteció, el resultado fue, nueve mese más tarde, Jesús, Y hay certeza, lo que se dice certeza, de que fue realmente la simiente del Señor la que engendró a mi primer hijo, Bueno, la cuestión es delicada, lo que pretendes tú de mí es nada menos que una investigación de paternidad, cuando la verdad es que, en esos connubios mixtos, por muchos análisis, por muchas pruebas, por muchos recuentos de glóbulos que se hagan, la seguridad nunca es absoluta, Pobre de mí, que llegué a imaginar, al oírte, que el Señor me había elegido aquella madrugada para ser su esposa, y, al fin y al cabo, fue todo obra del azar, tanto podrá ser que sí como que no, te digo que mejor sería que no hubieras bajado hasta Nazaret para dejarme con esta duda, por otra parte, si quieres que te hable con franqueza, de un hijo del Señor, hasta teniéndome a mí por madre, notaríamos algo al nacer, y cuando creciera, tendría, del mismo Señor, el porte, la figura y la palabra, pero, aunque se diga que el amor de madre es ciego, mi hijo Jesús no satisface las condiciones, María, tu primer gran error es creer que he venido aquí sólo para hablarte de este antiguo episodio de la vida sexual del Señor, tu segundo gran error es pensar que la belleza y la facundia de los hombres existen a imagen y semejanza del Señor, cuando el sistema del Señor, te lo digo yo que soy de la casa, es ser siempre lo contrario de como los hombres lo imaginan y, aquí entre nosotros, yo creo que el Señor ni sabría vivir de otra manera, la palabra que más veces le sale de la boca no es el sí, sino el no, Siempre he oído decir que el espíritu que niega es el Diablo, No, hija mía, el Diablo es el espíritu que se niega, si en tu corazón no descubres la diferencia, nunca sabrás a quién perteneces, Pertenezco al Señor, Bien, dices que perteneces al Señor y has caído en el tercero y mayor de los errores, que es el de no haber creído en tu hijo, En Jesús, Sí, en Jesús, ninguno de los otros vio a Dios, ni lo verá, Dime, ángel del Señor, es verdad que mi hijo Jesús vio a Dios, Sí, y como un niño que encuentra su primer nido, vino corriendo a mostrártelo, y tú, escéptica, y tú, desconfiada, dijiste que no podía ser verdad, que si nido había, estaba vacío, que si huevos tenía, estaban malogrados, y que si no los tenía, es que se los comió la serpiente, Perdóname, ángel mío, por haber dudado, Ahora no sé si estás hablando conmigo o con tu hijo, Con él, contigo, con los dos, qué puedo hacer para enmendar mi error, Qué es lo que tu corazón de madre te aconseja, Ir a buscarlo, ir a decirle que creo en él, pedirle que me perdone y vuelva a casa, adonde vendrá a llamarlo el Señor, llegada la hora, Francamente, no sé si estás a tiempo, no hay nada más sensible que un adolescente, te arriesgas a oír malas palabras y a que te dé con la puerta en las narices, Si esto ocurre, la culpa la tiene aquel demonio que lo embrujó y lo perdió, no sé cómo el Señor, siendo padre, le consintió tales libertades, tanta rienda suelta, de qué demonios hablas, Del pastor con quien mi hijo anduvo durante cuatro años, gobernando un rebaño que nadie sabe para qué sirve, Ah, el pastor, Lo conoces, Fuimos a la misma escuela, Y el Señor permite que un demonio como él perdure y prospere, Así lo exige el buen orden del mundo, pero la última palabra será siempre la del Señor, lo que pasa es que no sabemos cuándo la dirá, pero cualquier día nos levantamos y vemos que no hay mal en el mundo, y ahora tengo que irme, si tienes alguna pregunta más, aprovecha, Sólo una, Muy bien, Para qué quiere el Señor a mi hijo, Tu hijo es una manera de decir, A los ojos del mundo Jesús es mi hijo, Para qué lo quiere, preguntas, pues, mira, es una buena pregunta, sí señor, lo malo es que no sé responderte, la cuestión, en su estado actual, está toda entre ellos dos, y Jesús no creo que sepa más de lo que a ti te haya dicho, Me dijo que tendrá poder y gloria después de morir, De eso también estoy informado, maravillas que le prometió el Señor, Bueno, bueno, tú, ignorante mujer, crees que esa palabra pueda existir a los ojos del Señor, que pueda tener algún valor y significado lo que presuntuosamente llamáis merecimientos, la verdad es que no sé qué os creéis cuando sois solo míseros esclavos de la voluntad absoluta de Dios, No diré nada más, soy realmente la esclava del Señor, cúmplase en mi según su palabra, dime sólo, después de pasados tantos meses, dónde podré encontrar a mi hijo, Búscalo, que es tu obligación, también él fue en busca de la oveja perdida, Para matarla, Calma, que a ti no te va a matar, pero tú si lo matarás a él no estando presente en la hora de su muerte, Cómo sabes que no voy a morir yo primero, Estoy bastante próximo a los centros de decisión para saberlo, y ahora adiós, hiciste las preguntas que querías, tal vez no hayas hecho alguna que debías, pero eso es ya un asunto en el que no me meto, Explícame, Explícate tú a ti misma.
Elle aimait son charme enjoué typiquement écossais, sa faconde.
Le gustaba su desenfado irlandés y su forma de dar coba.
Elle ne convenait toujours pas de ce qu’elle avait interrompu, mais forte d’un pouvoir qui la divertissait, elle continuait à bavarder avec une faconde irrésistible.
Aun así, no hizo mención a lo que acababa de interrumpir y, en cambio, ejerciendo un poder que le divertía, continuó conversando sobre banalidades de forma irresistible.
Ses faits et gestes au cours des mois précédant le conflit et pendant les trois années qu’il dura ne peuvent être reconstitués qu’à travers des témoignages partiels – allusions brèves dans les mémoires et documents de l’époque, récits oraux de ceux qui partagèrent en partie ses aventures, souvenirs de parents et d’amis auxquels il les raconta – et qu’à travers le voile d’une légende constellée d’équivoques, de contradictions et d’ambiguïtés que la faconde sélective de Sánchez Mazas sur cette période turbulente de sa vie alimenta de manière décisive.
Su peripecia durante los meses previos a la contienda y durante los tres años que duró ésta sólo puede intentar reconstruirse a través de testimonios parciales -fugitivas alusiones en memorias y documentos de la época, relatos orales de quienes compartieron con él retazos de sus aventuras, recuerdos de familiares y amigos a quienes refirió sus recuerdos- y también a través del velo de una leyenda constelada de equívocos, contradicciones y ambigüedades que la selectiva locuacidad de Sánchez Mazas acerca de ese periodo turbulento de su vida contribuyó de forma determinante a alimentar.
Le type de Clovis Dardentor n’est pas rare en cette bonne ville de province. Qu’on se figure un homme d’une taille au-dessus de la moyenne, carré des épaules, vigoureux de charpente, le système musculeux dominant le système nerveux, en parfaite eusthénie – c’est-à-dire pour ceux qui ont oublié le grec, en complet équilibre de ses forces – la tête ronde, les cheveux ras poivre et sel, la barbe brune en éventail, le regard vif, la bouche grande, la denture superbe, le pied sûr, la main adroite, bien trempé moralement et physiquement, bon enfant quoique de nature impérieuse, de belle humeur, d’une faconde intarissable, très débrouillard, très expéditif, enfin méridional autant que peut l’être un individu qui n’est pas originaire de cette Provence dans laquelle tout le Midi français se résume et s’absorbe.
El tipo de Clovis Dardentor no era raro en aquella excelente capital de provincia. Era hombre de estatura más que mediana, anchos hombros, el sistema muscular dominando al nervioso, en perfecta eustenia, es decir, para aquellos que han olvidado el griego, en completo equilibrio de sus fuerzas; la cabeza redonda, el pelo cortado al rape, la barba negra en forma de abanico, la mirada viva, la boca grande, la dentadura soberbia, el pie seguro, la mano diestra, bien templado física y moralmente, buen muchacho, aunque de naturaleza imperiosa, de buen humor, de inagotable facundia, muy francote, en fin, todo lo más meridional que puede serlo quien no es originario de esa Provenza, en la que se absorbe y resume todo el Mediodía francés.
L’étonnante faconde d’Ambros, qui contrastait tellement avec le mutisme apparemment total de Cosmo, était elle aussi le prétexte à toutes sortes de conjectures.
También la asombrosa facilidad de palabra de Ambros, que contrastaba de modo tan flagrante con el aparente mutismo absoluto de Cosmo, dio pie a todo tipo de especulaciones.
il y a des images peintes à l’or sur les murs… j’imagine comment Monseigneur Charles de Navarre, avec toute sa faconde et son aisance à protester l’amitié, dut s’employer à séduire Charles de France.
hay imágenes pintadas de oro sobre los muros... Imagino de qué modo mi señor Carlos de Navarra, con toda su facundia y su desenvoltura para formular promesas de amistad, se esforzó por seducir a Carlos de Francia.
— Ainsi, je ne provoque personne, répondit Tristelune avec faconde. En proclamant mes faiblesses, je ne cours aucun danger, tandis que si je vantais mes talents, quelqu’un pourrait prendre cela pour un défi et décider de me donner une leçon.
–Pero de este modo no ofrezco provocación alguna -le espetó. Moonglum, desenvuelto-. Si le canto a mis defectos, estoy a salvo. Pero si me jactara de mis talentos, alguien podría considerarlo como un reto y decidir darme una lección.
Il trouvait une raison de le croire dans leur bizarrerie sociale, leur babillage polyglotte, leur gaieté et leur bonne humeur, leurs musardises sans fin (ils étaient toujours en train de se lever mais n’en finissaient jamais, et Pemberton avait une fois trouvé Mr Moreen se faisant la barbe dans le salon), leur français, leur italien et leur faconde étrangère où se glissaient çà et là des tranches froides et coriaces d’américain.
Su singularidad en el modo de relacionarse era un indicio de ello: su cotorreo de lenguas, su alegría y buen humor, su constante holgazanería -estaban siempre levantándose de la cama pero nunca terminaban de hacerlo, y Pemberton encontró una vez al señor Moreen afeitándose en el salón—, su francés, su italiano y, en medio de todo ello, sus toques fríos y toscos de inglés norteamericano.
Le voyageur regarde à son tour la page incriminée, fait semblant de chercher ce tampon qui n'a pourtant aucune chance d'y surgir par miracle, précise être arrivé en empruntant le couloir routier réglementaire Bad Ersfeld-Eisenach (affirmation partiellement exacte), et finit par hasarder qu'un militaire thuringien, pressé ou incompétent, a sans doute omis de l'apposer au passage, qu'il aurait oublié, ou bien qu'il n'avait plus d'encre… Ascher parle avec faconde dans une langue approximative, dont il n'est pas certain que l'autre suive les méandres, ce qui lui semble sans importance.
El viajero examina por su parte la hoja mencionada, finge buscar ese tampón que en modo alguno puede surgir milagrosamente, precisa que ha llegado a través del corredor reglamentario Bad Ersfeld-Eise-nach (afirmación parcialmente exacta), y acaba aventurando que un militar turingio, impaciente e incompetente, sin duda se abstuvo de estamparlo, o se olvidó de hacerlo, o se quedó sin tinta… Ascher habla con locuacidad en una lengua aproximada, sin tener la certeza de que el otro sigue sus vericuetos verbales, lo cual se le antoja sin importancia.
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