Phrases de contexte similaires
Exemples de traduction
Les cloches semblaient plus sonner que carillonner.
Las campanas más parecían doblar que repicar.
Un nom de fête carillonnée, enfin!
¡En fin, un nombre de fiesta de repicar campanas!
Et alors mon corps, comme une cathédrale, se mettait à carillonner.
Y entonces, mi cuerpo, como una catedral, se puso a repicar.
Le sonneur de cloches était vieux, et le carillon tintait en sourdine.
El campanero era un viejo y el repicar de sus campanas sonaba en sordina.
D’accablantes pensées et le carillonnement des cloches l’empêchaient de se concentrer ;
Los pensamientos que la atormentaban y el repicar de las campanas le impedían concentrarse;
Et le carillon argentin des voix dans sa tête le pousse aussi à se précipiter.
Y las campanas de plata que aquellas voces hacen repicar en su cabeza… ellas también le impulsan hacia delante.
On l’avait tué la veille, sans doute, après le carillon, car Jurema était sûre de l’avoir entendu.
Lo habían matado la víspera, sin duda, después de repicar las campanas, pues Jurema estaba segura de haberlas oído.
Il chantait d’une voix insinuante et d’une sensualité caressante accompagnée par un carillon joyeux et des fioritures raffinées des cordes.
Su voz, insinuante y acariciadoramente sensual, dominaba el alegre repicar de las campanas y las elegantes fiorituras de la sección de cuerda.
Des valets de Legoix, qui entraient avec des torches allumées dans la bâtisse ténébreuse, n’en savaient pas davantage sur la cause de ce carillonnement solennel ;
Los criados de Legoix, que entraron con antorchas encendidas en la semipenumbra del matadero, tampoco supieron indicar la causa de aquel solemne repicar;
Au-dessus d’eux, d’une grande distance, de l’extrémité du tunnel qu’ils avaient suivi peu de temps auparavant, arrivait à leurs oreilles le carillon joyeux de cloches sonnant dans le lointain.
Entonces, del fondo del túnel por donde habían venido, llegó hasta ellos un dulce repicar de campanas lejanas, alegres y estrepitosas.
et, avec un carillon joyeux, une bordée de furieux hurlements.
con el campaneo festivo un estallido de gritos feroces.
Mais il y avait une telle force dans cette odeur, dans cette lumière, dans ces visages ruisselants, dans les cris des enfants, c’était comme un vertige, comme un carillon, il n’y avait plus de place pour les sentiments.
Pero era tal la fuerza que radicaba en este olor, en esta luz, en estos rostros sudorosos, en los gritos de los niños; era una especie de vértigo, un campaneo, no quedaba ya espacio para los sentimientos.
Les lourdes cloches résonnaient encore du septième et dernier carillon de l'heure.
Todavía se oía el séptimo toque de las pesadas campanas.
Carillon et sonnerie de cloche isolés dans la ville qui rêve, profondément endormie.
Carillón y toque de campana solitarios en la ciudad que incuba dormida.
à Versailles les corbeaux lèvent brusquement la tête comme au carillon d’un clocher inconnu.
en Versalles los cuervos levantan de golpe la cabeza, como tras el toque de un campanario desconocido.
Il y eut une pause, puis un carillon scanda un rythme familier, et Cery relâcha le souffle qu’il n’avait pas eu conscience de retenir.
Hubo una pausa, luego sonó una campanilla con una combinación de toques conocida, y Cery soltó el aire que había estado conteniendo sin darse cuenta.
Je traînai mes valises dans le froid à travers les rues désertes – cela faisait longtemps que même les carillons de Noël s’étaient tus.
Arrastré las maletas en medio del frío, por calles desiertas, incluso los toques de campana navideños se habían apagado hacía rato en la noche.
La cloche de l’hôtel de ville égrène les heures de ce premier jour de juillet, un carillon aux mélodieux échos de cuivres. Je regarde un chauffeur de taxi qui me dévisage.
La campana de la torre del Ayuntamiento suena en el primer día de julio, profundos y melodiosos toques que el eco devuelve con una reverberación metálica, y me fijo en un taxista que me está mirando.
Il retint sa respiration pour qu’aucun son ne s’échappe, ne se perde, emporté par le flux et reflux du carillon, car il voulait savoir la vérité (« Futaki, tu n’es pas bien réveillé… ») et pour cela chaque son, même le plus isolé, lui était nécessaire.
Contuvo la respiración para no perderse ni uno de aquellos toques que iban y venían como una marea, pues quería averiguar su procedencia («Seguro que estás dormido todavía, Futaki…») y para ello necesitaba cada sonido por muy tenue que fuese.
Un carillon à vent était suspendu tel un orgue d’église miniature au plafond de la véranda, au-dessus du rocking-chair, comme pour capturer les rêves de son occupant, et il semblait tinter sans cesse, conférant une touche angélique, surréaliste, à la nuit.
Un carillón de viento colgaba, como un órgano de iglesia en miniatura, del tejadillo del porche justo encima de la mecedora como para atrapar los sueños de quien ocupara el asiento, y parecía sonar sin pausa, dando un toque surrealista y angelical a la noche.
Un peu moins grande que Buckingham Palace… en pierres grises – détail qui détonnait en Californie – elle devait compter un peu moins de fenêtres que le Rockfeller Center. Je me faufilai vers l’entrée latérale et appuyai sur un bouton ; quelque part dans le lointain, un carillon retentit avec à peu près autant de discrétion que les cloches de Notre-Dame un matin de Pâques.
Más pequeña que el palacio de Buckingham, más bien gris tratándose de California y, probablemente, con menos ventanas que el edificio Chrysler. Me deslicé hasta la entrada lateral, toqué un timbre y en algún lugar un carillón emitió un melodioso sonido profundo, como de campanas de iglesia.
Le voilà, comme un carillon. Un regard féminin nu.
Aquí está, como un repique de campanas: una mirada femenina desnuda.
Ils sortirent et leurs pas étaient ceux des danseurs argentins, et le carillon de la porte les cloches à la volée d’un jour de fête.
Al salir, sus pasos eran los pasos de los bailarines argentinos, y la campanilla de la puerta, el repique de campana en un día festivo.
(Son rire sonnait comme un carillon de clochettes d’un métal plus précieux que l’or.) C’est drôle, n’est-ce pas ?
—Se rió, y la risa era un lejano repique de campanas, campanas fundidas en un metal más precioso que cualquier oro—. ¿No es gracioso?
Au tréfonds des souvenirs, des fragments précis de mémoire s’éveillèrent dans l’esprit de Leto, et leurs images étaient comme autant de carillons aux échos vifs et pressants.
Las más intensas evocaciones atravesaron entonces la mente de Leto, haciendo surgir recuerdos como un repique de campanas.
L’espace d’un instant une idée lui vint à l’esprit : et si c’était une farce de Futaki ou de Halics ou de Kráner, mais il écarta vite cette hypothèse, aucun d’entre eux n’était capable d’imiter si bien un son de cloche… Pourtant son ouïe ne pouvait pas le tromper !… Si ?!… Serait-il possible que, suite à ses dispositions particulières, sa sensibilité soit devenue telle qu’il puisse percevoir à travers un bruit proche et sourd le son lointain et étouffé d’un carillon ?… Indécis il se mit à écouter le silence, alluma une cigarette et comme rien ne se passa, il décida d’en rester là et d’attendre qu’un nouvel élément vienne lui fournir la bonne explication.
Por un instante consideró que Futaki o Halics o Kráner podían entretenerse así en su aburrimiento, pero descartó esa hipótesis, ya que ninguno de ellos era capaz de imitar con tal pericia las campanas de una iglesia… ¡Pero su agudo oído no podía engañarlo!… ¿O quizá sí? ¿Era posible que, a raíz de una disposición especial, se hubiera vuelto tan sensible que confundía un suave zumbido de los alrededores con un lejano repique de campanas?… Desconcertado se quedó escuchando en medio del silencio, encendió un cigarrillo, pero como no ocurrió nada durante largo rato decidió aplazar la investigación hasta que una nueva señal lo guiara hacia la explicación correcta.
Ce n’était pas très étonnant, pensai-je en me réveillant, probablement à cause du carillon des églises dans le lointain, car mon lit étant sous les fenêtres, non seulement j’entendais distinctement chaque pas sur le trottoir, mais la maison était à un carrefour où les gens sortis en ville s’arrêtaient pour parler avant de se séparer, et sur le trottoir d’en face il y avait une cabine téléphonique dont l’utilisation était fréquente la nuit, tant par des gens qui voulaient commander un taxi, avec toute la bande d’amis autour, que par ceux qui voulaient dire quelques vérités à leur flirt, leur ami ou qui que ce soit qu’ils soupçonnaient de les avoir trahis et qu’ils engueulaient ou exhortaient à la réconciliation.
No era tan extraño, pensé cuando me desperté, seguramente con el repique de campanas en la lejanía, porque la cama estaba colocada junto a la pared de debajo de la ventana, y no sólo se oía con toda nitidez cada paso que se daba por la acera, sino que la casa se encontraba en un cruce donde la gente que iba en dirección contraria se paraba a charlar al volver de alguna juerga, y, además, al otro lado de la calle había una cabina telefónica que, me daría cuenta luego, también se usaba mucho por las noches, gente que pedía un taxi rodeada por toda la pandilla o gente decidida a decir unas palabras serias a una novia, un amigo o alguien que en su opinión le había engañado, y a quien en ese momento había que poner verde o suplicar la reconciliación.
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