Traduction de "bégayeur" à espagnol
Bégayeur
Exemples de traduction
Y t’a tout donné, ce salaud… Y voulait juste une moche petite bégayeuse alors que j’étais son fils.
Se lo dio todo, el muy cabrón. Él sólo quería a una tartamuda fea, pero yo era su hijo. ¡Su hijo!
Imaginez, non-bégayeur, la terreur de cette question si simple : “Comment t’appelles-tu, petite fille ?”
Imagina, no tartamudo, el terror que entraña esta pregunta tan sencilla: —¿Cómo te llamas, niñita?
Bégayeur, innocent, porté sur le vin rouge, il était si dépourvu de malice, si ignorant de la méchanceté du monde qu’il aurait été bien incapable de se défendre contre ses accusateurs anonymes.
Tartamudo, inmaduro y con debilidad por el vino tinto, estaba tan desprovisto de astucia e ignoraba hasta tal punto las malicias del mundo, que era incapaz de defenderse de sus acusadores anónimos.
Pas encore. Vénus, tu es sans doute émerveillée — je sais que moi, je le suis — par mon calme et ma bienveillance, ainsi que par la superbe courtoisie de mon échange fraternel avec le mari de la femme que j’aimais, le mari de Zoya, guérisseuse des bégayeurs.
Todavía no. Venus, es probable que te estés maravillando… —yo sé que yo sí, al menos— ante mi calma y mi solicitud, y la magnífica urbanidad de mi fraternal trato con el marido de la mujer que amaba, el marido de Zoya, sanadora de tartamudos.
— Eh bien, Padeen, dit Stephen en irlandais à son valet, un immense homme de Munster, très doux, grand bégayeur et ne connaissant pratiquement pas d’autre langue, avez-vous au moins marqué un point ? — Je crois, cher monsieur ; mais ensuite je suis retourné en arrière en courant, et est-ce que ça me sera compté ? Qui peut dire. — Qui, vraiment ?
–Padeen, ¿has hecho alguna carrera? – preguntó Stephen en irlandés a su sirviente, un hombre de Munster robusto, tartamudo y no muy inteligente. –Creo que sí, señor, pero después corrí hacia atrás. ¿Quién podría decirme si me la cuentan? –¿Quién?
Son oncle Claude ? Le bégayeur qui boitait ? Celui qui, Balbus, pour n’avoir érigé aucun mur n’en rédigea pas moins une énorme piles d’annales aussi douteuses que mal écrites ? Au moment où Caius accédait au trône, il n’était encore que simple chevalier : on l’éleva sans tarder au rang de consul, de « Compagnon de l’Empereur en Personne » pendant que le pauvre Tibère Gemellus qui, lui aussi, avait droit à la couronne, se voyait « adopté » et nanti du titre de « Prince des Jeunes ». Ses sœurs ?
Su tío Claudio —el tartamudo cojitranco, el Balbo que, en vez de edificar una muralla, erigió una pila de dudosos anales romanos, mal escritos— no pasaba de simple caballero en la época en que Cayo subió al trono; pero rápidamente lo ascendieron a cónsul, colega del propio Emperador. Al pobre Tiberio Gemelo, que poseía tanto derecho como él a reclamar para sí el Imperio, Calígula se limitó a adoptarlo, otorgándole el título de Príncipe de la Juventud.
L’homme s’appelait John Brown, c’était déjà l’un des plus célèbres agitateurs antiesclavagistes, et Arthur Bellefleur – qui à peine quelques années plus tôt était encore un jeune homme corpulent, timide, bégayeur, avec un penchant pour la religion, comme d’autres ont une prédisposition pour les maladies respiratoires, jusqu’au soir où, dans une salle d’église à Rockland, il entendit Brown en personne parler du mal de l’esclavage et de la nécessité pour l’homme d’assouvir la vengeance de Dieu sur les marchands d’esclaves, et fut transformé – « converti » –, Arthur, bégayant encore, mais ayant perdu sa timidité, ses formes de pingouin moulées dans un costume de daim, postillonnant et agitant les mains, paraissait discuter – et discutait bel et bien – avec son frère Raphael pour qu’il lui accordât non seulement la jouissance du pavillon du gardien et d’un certain nombre des chambres d’amis du manoir pour une durée indéterminée (et de fait certains des soldats de Brown – mais non Brown lui-même – avaient déjà envahi la cuisine, buvant et dévorant tout ce que Violet avait ordonné qu’on leur offrît : dix ou douze hommes barbus et échevelés, dont trois esclaves en fuite à l’air de brute et à la peau d’une noirceur inimaginable), et non seulement une généreuse somme d’argent pour soutenir la cause (car Brown, Old Osawatomie, bien qu’il fût, disait-on, blessé, allait bientôt sortir de sa cachette pour lancer une série de raids de guérillas dans les colonies d’esclaves, et il réclamait au moins deux cents fusils), et non seulement quelque cinq ou dix ou cinquante ou cent hectares de terres sauvages pour que Brown pût, quand il le souhaiterait, créer une nation rivale, établir un « second gouvernement » avec un centre de population qui rivaliserait avec celui de Washington D.C., à mesure que la lutte contre l’esclavage, cette abomination, gagnerait en férocité – mais aussi (et Samuel s’émerveilla de l’audace de son oncle) sa bénédiction personnelle.
El hombre se llamaba John Brown y era uno de los agitadores abolicionistas más famosos, y Arthur Bellefleur —que sólo unos años antes había sido un joven tímido, tartamudo y corpulento, con cierta inclinación por la clerecía, como otros tienen inclinación por las afecciones respiratorias, hasta que una tarde oyó en una iglesia de Rockland a Brown en persona hablar del mal de la esclavitud y de la necesidad del hombre de descargar la venganza de Dios sobre los esclavistas, momento en el que se transformó, «se convirtió», en el nuevo Arthur, todavía tartamudo pero no tímido, con un traje de gamuza ajustado a su cuerpo de pingüino y agitando las manos y escupiendo al hablar— parecía estar razonando, de hecho estaba razonando, con su hermano Raphael para que le permitiera no sólo usar las dependencias del cochero y varios cuartos de huéspedes de la mansión por tiempo indeterminado (de hecho, algunos de los soldados de Brown —pero no Brown— ya estaban allí, en la cocina, comiendo y bebiendo con voracidad todo lo que Violet había ordenado que les sirvieran: diez o doce hombres barbudos y desaliñados, tres de los cuales eran esclavos fugitivos, fornidos y brutos, con una piel de una negrura inimaginable), y no sólo una cuantiosa suma de dinero para la causa (porque Brown, el viejo Osawatomie, que estaba escondido y al parecer herido, pronto volvería para iniciar una serie de ataques guerrilleros en asentamientos esclavistas y necesitaba al menos doscientos rifles), y no sólo dos o cuatro o veinte u ochenta hectáreas de tierra virgen para que Brown pudiera, cuando lo deseara, establecer una nación rival, un «segundo gobierno» con un centro urbano que competiría con Washington, D. C., mientras la lucha contra la abominación y la esclavitud se tornaba más cruenta, sino que, además, quería (y frente a esto Samuel no podía más que maravillarse ante la audacia de su tío) el beneplácito personal de Raphael Bellefleur.
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