Traduction de "bourres" à espagnol
Bourres
Phrases de contexte similaires
Exemples de traduction
Il portait sa serviette, bourrée comme toujours de liasses de papiers.
Llevaba consigo su maletín, lleno de los habituales fajos de papeles.
Il était bourré de liasses de billets qu'il a commencé à compter en mouillant son index avec sa langue.
Estaba atiborrada de fajos de billetes que empezó a contar humedeciéndose el dedo en la lengua.
Ils ressortent aussi sec, en rigolant, et ils se pavanent dans les rues, les poches bourrées de liasses de fric.
Y luego salen, riendo y pavoneándose por la calle, con grandes fajos de dinero en los bolsillos.
C’était un petit vieux qui avait les poches de son pourpoint et de son pantalon marron délavé bourrées de liasses de papier : les ballades qu’il vendait dans la rue.
Era un hombrecillo de edad, con los bolsillos de su desteñido jubón marrón y los pantalones llenos de fajos de papel, las baladas que vendía en la calle.
Ses poches sont bourrées de cash, des liasses de billets de vingt et un portefeuille rempli de chèques de voyage, d’euros et de livres sterling.
Tiene los bolsillos llenos de dinero en efectivo, fajos de billetes de veinte dólares y una cartera llena de cheques de viaje, euros y libras esterlinas.
Certains soldats ne peuvent pas s’en empêcher – les vieilles manies sont dures à endiguer – et se baladent les poches bourrées de liasses de billets, désormais inutiles.
Algunos de los pelotones no pueden evitarlo (cuesta olvidar las viejas costumbres) y llenan los bolsillos con fajos de billetes de cien dólares que no sirven para nada.
Y avait des négociants japonais qui se pointaient ici en limousine, ils attendaient les bateaux, achetaient la cargaison aux enchères et payaient cash, en billets de mille, comme je t’ai dit. Bourrés de fric, ils étaient. – Qu’est-ce qui s’est passé ? »
Los tratantes japoneses llegaban en limusina, esperaban a que regresaran las barcas, pujaban por el cargamento y pagaban en metálico en fajos como los que le he dicho antes: dinero como para volverse loco. —¿Qué pasó?
Le sac en était bourré : des liasses épaisses de billets de cent dollars liées par des élastiques, chaque liasse représentant trois, quatre ou cinq mille dollars.
La bolsa estaba abarrotada de dinero: gruesos fajos de billetes de cien dólares sujetos con cintas de goma, cada uno de los cuales representaba tres, cuatro o cinco mil dólares.
« Un homme de paille comme Charlie Rich, un ami proche de Gary Grant, avait une caisse tellement bourrée de rouleaux de dix mille dollars en billets de cent qu’un jour, quand il l’a ouverte devant moi, le couvercle a sauté comme mû par un ressort.
Existieron hombres de paja como Charlie Rich, El Cubo, íntimo amigo de Cary Grant, quien poseía una caja fuerte tan atestada de pilas de diez mil dólares formadas por fajos de billetes de 100 dólares que en una ocasión en que yo estaba presente en su apertura, la tapa saltó disparada.
J’étais tenté de remplir les poubelles, de bourrer les boîtes abandonnées, de me tromper souvent, d’en mettre des poignées de deux, cinq, dix au lieu d’un seul dans chacune ; mais il y aurait des plaintes, un contrôleur passait derrière moi, et j’aurais perdu ce travail qui me rapportait un centime par journal posé, quarante centimes par kilogramme transporté, et qui m’occupait le matin.
Estuve tentado también de llenar las papeleras, de atiborrar los buzones abandonados, de equivocarme a menudo, de meter fajos de dos, cinco o diez en lugar de uno solo en cada buzón, pero habría quejas, porque detrás de mí pasaba un controlador y habría perdido aquel trabajo que me aportaba un céntimo por folleto repartido, cuarenta céntimos por kilo transportado, y que me ocupaba toda la mañana.
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