Traduction de "baisez" à espagnol
Exemples de traduction
Vous en mettez un peu sur vos chaussures, vous baissez les yeux et vous dites : “Oh, merde.”
Te manchas un poco los zapatos, bajas la vista y dices: “Oh, mierda”.
— Écoutez, Spunk, baisez-la donc un bon coup et oubliez cette connerie de mariage. » Il allait me balancer une droite, mais je la stoppai de mon regard d’adulte. Je n’en pouvais plus, de ces trucs-là, de ces confidences suaves, et j’étais bien content d’avoir réveillé sa vieille hostilité.
—Mira, Spunk —le dije—, ¿por qué no te la tiras unas cuantas veces seguidas, y luego olvidas todo este asunto? Spunk estuvo en un tris de largarme un puñetazo, pero yo estaba preparado, con mi mirada de adulto bien a punto. Me sentía incapaz de aguantar más mierda de ésa, más palabrería suave y feliz, y me alegró ver que volvía a ser mi enemigo de siempre.
Bosch leva les mains à la hauteur de la poitrine pour montrer qu’il ne le menaçait pas. — Du calme, dit-il. — Et vous aussi. Baissez les mains.
Bosch levantó las manos a la altura del pecho, adoptando una posición no amenazadora. – Cálmate. – Cálmate tú. Baja las manos, joder.
les portes s'ouvrirent et trois hommes vêtus de noir sautèrent de l'engin, portant des masques noirs et des tenues de commando en kevlar. — Baissez-vous ! cria Bryson. Merde ! On n'a pas d'armes !
De golpe se abrieron las puertas del Humvee y saltaron tres hombres vestidos de negro, con máscaras y atuendo de kevlar y nailon igualmente negros, típicos de los comandos. —¡Al suelo! —gritó Bryson—. ¡Joder! ¡No tenemos armas!
L’instant maudit où vous vous baissez pour prendre vos cigarettes, vous vous redressez et là, de l’autre côté du pare-brise, devant vous, il y a une silhouette, bouche bée, figée sur le passage piéton.
El maldito instante en que te inclinas a coger los cigarrillos, te incorporas y delante de ti, al otro lado del parabrisas, hay una figura boquiabierta despachurrada sobre las bandas blancas.
— Si vous me baisez, ça sera quelque chose de haineux.
—Si me follas, será un polvo de odio.
Je me suis souvenu de ce que j’avais écrit dans mon journal quelques semaines auparavant : « Vous ne saurez pas, sur le moment, que vous baisez pour la dernière fois ;
Recordé lo que había escrito en mi diario unas pocas semanas antes: «No puedes hacer una celebración especial con ocasión de tu último polvo, porque mientras lo estás echando no puedes saber que lo es;
L’autre l’a examinée froidement, détaillant son visage et sa robe imprimée sans un mot de reproche, puis elle s’est de nouveau tournée vers ses amies : « J’en ai ma claque, de ces premières-années ! Moi je suis là depuis déjà deux ans, j’ai pas de copain, alors qu’elles se baladent sur le campus du genre : “Hé, baisez-moi !”
La otra estudió su cara y su vestido estampado sin decir nada, ni siquiera una palabra de reproche. Luego se centró de nuevo en sus amigas y, como si Charlotte se hubiera desvanecido por arte de magia, dijo: —Las tías de primero es que me dan una rabia… Yo voy a tercero y no tengo novio, pero no me paso todo el día por ahí de guay en plan: «Tío, pégame un polvo». ¡Y ellos como que flipan! Les va la carne fresca cantidad.
Elle avait ce genre de chevelure blonde, raide et soyeuse qui provoque en toute fille brune ou rousse, dans le monde entier, sans exception, le besoin de se tordre les mains et de gémir sur la scandaleuse, l’aveugle, l’insouciante injustice du Destin. Bettina avait remarqué les nouvelles arrivantes, elle aussi, car elle s’est penchée vers Charlotte, les a montrées d’un signe de tête et, avec une nuance plus que condescendante, s’est interrogée : « Pourquoi elles se passent pas carrément une pancarte autour du cou, BAISEZ-MOI, JE SUIS UNE PREMIÈRE-ANNÉE ? » Charlotte a ri poliment mais sa bonne humeur était partie, d’un coup.
Tiene esa melena rubia larga, lisa y sedosa que hace que todas las demás mujeres del mundo que no son rubias (pero todas todas, sin excepción) se retuerzan las manos pensando en lo injusto, lo desconsiderado, lo inmotivado y lo arbitrario que es el destino». Bettina también se había fijado en las recién llegadas. Se acercó a Charlotte, las señaló y comentó con desdén: —¿No sería más sencillo que se colgaran un cartel del cuello que dijera: «Pégame un polvo, que soy de primero»? Charlotte se rio, pero se desanimó.
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