Traduction de "arépa" à espagnol
Arépa
  • arepa
Exemples de traduction
arepa
Chacun recevait aussi son arepa ronde et grande, bien dorée.
A cada uno le correspondía, también, una arepa redonda y grande, bien asada.
Il avait accueilli Elaine une bière à la main et, dans l’autre, une assiette contenant de petites arepas d’une texture inconnue de la jeune fille.
Le había dado la bienvenida a Elaine con una cerveza en la mano y un plato de pequeñas arepas de una textura que para ella era novedosa.
Des employés venaient de dresser une table sur le balcon, avec des fruits, des œufs, des arepas, à côté de la table des alcools.
Un grupo de empleados acababa de sacar una mesa de frutas, huevos y arepas al balcón, al lado de la mesa de licores.
Pas d’arepas au fromage, de chorizo ou de boudin, de chocolat crémeux, de brouillade d’œufs ni de petits pains de manioc de là-bas.
No las arepas con quesito, los chorizos, las morcillas, el chocolate espumoso, los huevos pericos ni los pandeyucas de allá.
Si je rapporte des arepas congelées, elles n’ont pas le même goût, et à New York on trouve des fromages à pâte dure, mais pas de fromage frais.
Si me traigo arepas congeladas no me saben igual, y en Nueva York hay grandes quesos curados de todo el mundo, pero no quesito.
Avec les braises du bois, sur un feu allumé sur un côté et dans un grand plat rôtissaient des arepas, à base de maïs cuit à la cendre.
Con los rescoldos que se iban formando de la leña, en un fogón prendido a un costado y sobre una callana, iban asando arepas de mote, es decir, de maíz pelao con ceniza.
Et toujours une arepa blanche ou jaune à côté, à la façon du pain dans le Vieux Monde, parce que, comme disait un voyageur allemand, « là où le maïs ne se trouve, on ne trouve pas non plus d’Antioquègne ».
Y siempre una arepa blanca o amarilla al lado, al estilo del pan en el Viejo Mundo, porque, como decía un viajero alemán, “donde no se da el maíz, tampoco se da el antioqueño”.
« Vous avez des enfants, vous, Antonio ? » Nous avions pris notre petit déjeuner tôt dans la matinée : du café et du jus d’orange frais en abondance, des tranches de papaye, d’ananas et de zapote, du riz, des œufs, des saucisses et une arepa que j’ai fourrée trop chaude dans ma bouche et qui m’a laissé une ampoule que je sentais quand je frottais la langue contre mes dents.
—¿Usted tiene hijos, Antonio?— Habíamos desayunado temprano: mucho café, mucho jugo de naranjas frescas, muchas tajadas de papaya y de piña y de zapote, y una arepa con calentado que me metí a la boca demasiado caliente y me dejó una ampolla que volvía a la vida cada vez que me frotaba la lengua con los dientes.
La seule nourriture dont je me souvienne est celle que j’ai dévorée en la tenant dans mes mains : une tranche de pastèque mûre et un épi de maïs tendre en été au Chili, des arepas farcies au Venezuela, du poulet à la cannelle au Maroc, des mangues sauvages à Bali… Lorsque nous pensons à un repas aphrodisiaque, nous oublions aussitôt l’étiquette : imaginons une orgie romaine dans le style de Fellini, au cours de laquelle les convives se jettent des fruits et des pâtisseries à la tête, essuient leurs mains aux cheveux des esclaves, forniquent avec les canards rôtis et se chatouillent le palais avec des plumes pour vider leur estomac et recommencer à bâfrer.
La única comida que recuerdo es la que he devorado a mano: sandía madura y maíz tierno en el verano chileno, arepas rellenas de Venezuela, un pollo con canela en Marruecos, mangos silvestres en Bali__Al pensar en una comida afrodisíaca descartamos de inmediato la etiqueta: imaginamos una orgía romana al estilo de Fellini, en que los comensales se lanzan frutas y dulces por la cabeza, se limpian las manos en el cabello de los esclavos, fornican con los patos asados y se rascan el paladar con plumas para vaciar el estómago y volver a tragar.
Mon grand-père disait qu’à l’école on leur avait appris que pour manger il fallait penser au drapeau d’Antioquia et à celui de la Colombie, de la manière suivante : « Il faut manger quelque chose de blanc (riz, arepa, mazamorra, lait, fromage), un peu de vert (légumes et salade), un peu de rouge (haricots, viande, fruits et chocolat), et un peu de jaune (œufs, banane, épi de maïs, manioc, céleri, pomme de terre et d’autres fruits). » Alors tout le monde demandait ce qu’était le bleu, et la réponse était facile : « Le bleu n’est rien d’autre que l’eau pure et limpide des ruisseaux de montagne, non contaminée par les déjections des hommes ni les crottes d’animaux. »
Decía mi abuelo que a ellos les enseñaron en la escuela que para comer había que pensar en la bandera de Antioquia y en la de Colombia, de la siguiente manera: “Hay que comer algo blanco (como arroz, arepa, mazamorra, leche, queso), algo verde (verduras y ensaladas), algo rojo (frisoles, carne, frutas, chocolate), y algo amarillo (huevos, plátano, chócolos, yuca, arracacha, papas, más frutas)”. En ese punto todo el mundo preguntaba por lo azul, y la respuesta era fácil: “El azul no era más que el agua pura y limpia de los nacimientos de la montaña, que no estuviera contaminada por caca de hombres ni cagajón de animales”.
How many English words do you know?
Test your English vocabulary size, and measure how many words you know.
Online Test