Phrases de contexte similaires
Exemples de traduction
C’est là que les marchands ambulants qui approvisionnaient les cités troglodytes venaient faire halte, accédant aux chambres inférieures par de longs escaliers voûtés.
Los mercaderes que recorrían largas distancias hacían allí un alto en su viaje para ofrecer suministros a las ciudades subterráneas. Descendían a las estancias inferiores a través de pasadizos de escalones largos y suaves.
Après avoir fouillé un instant dans sa mémoire, une image lui revint : celle du manteau de fourrure d’un négociant ambulant juif qui était venu vendre des onguents lors de sa dernière visite à Hovmantorp.
Al cabo de un rato se acordó de que era el buhonero judío con el que un día viajó a Hovmantorp, cuyo abrigo de piel despedía el mismo hedor.
— Eh bien, les moines ne paient pas, bien sûr, ni les serviteurs du prieuré, ni les villageois. Il n’y a donc qu’un chevalier de passage ou un chaudronnier ambulant de temps à autre.
-Bueno, naturalmente los monjes no pagan ni los sirvientes del priorato ni los aldeanos, de manera que sólo quedan algún caballero que vaya de viaje o un calderero un día por otro.
La plupart des voyageurs connaissaient cette interruption de la voie, et, en descendant du train, ils s'étaient emparés des véhicules de toutes sortes que possédait la bourgade, palkigharis à quatre roues, charrettes traînées par des zébus, sortes de bœufs à bosses, chars de voyage ressemblant à des pagodes ambulantes, palanquins, poneys, etc.
La mayor parte de los viajeros conocían esa interrupción de la vía, y al apearse del tren se habían apoderado de los vehículos de todo género que había en el villorrio, paikigharis de cuatro ruedas, carretas arrastradas por unos zebús, especie de bueyes de giba, carros de viaje semejantes a pagodas ambulantes, palanquines, caballos, etc.
Bientôt, les plates-formes ambulantes sont si proches qu’elles l’écrasent et qu’il doit lever les yeux pour apercevoir les reflets des axes graissés, les vieilles roues cerclées de fer, dont chaque rayon est presque aussi grand que l’une des tours d’Imrryr, l’odeur, l’odeur forte de la vie dans toute sa variété.
Las plataformas de viaje no tardan en estar tan cerca que lo empequeñecen y tiene que levantar la vista para ver el brillo de los ejes engrasados, las viejas ruedas calzadas de metal, cada uno de cuyos radios es casi tan alto como una de las torres de Imrryr, con el olor, el profundo olor de la vida en toda su diversidad.
Je me disais que c’était sans doute ainsi qu’un condamné en route vers l’échafaud regarderait le monde. Je prenais congé de chaque colporteur, de chaque portier, de chaque marchand ambulant – même des chevaux des droshkys, dont les grands yeux à la pupille noire semblaient exprimer un mélange d’angoisse et d’acceptation, comme s’ils savaient qu’ils en étaient à leur dernier voyage.
Pensaba que así era como miraría al mundo un hombre condenado a muerte camino del patíbulo. Me estaba despidiendo de cada buhonero, de cada mozo de cuerda, de cada vendedora del mercado…, incluso de los caballos de los droshkies. Veía en ellos expresiones que nunca había advertido. Hasta los caballos parecían saber que aquél era su último viaje. En sus grandes ojos de oscuras pupilas había conocimiento y aceptación.
Morveuse va, pense Marcelo, crampe, presque frisson (lui donner l’aspirine au moment du café, effet plus rapide) mais ça l’ennuyait, elle, ces distances verbales, ces comment ça se fait que tu voyages seule comme ça, si jeune, au milieu de la soupe elle s’était mise à rire : la jeunesse, tu parles, des fossiles, des cadavres ambulants comme dans ce film de Romero.
Mocosa, pensó Marcelo calambre, casi cosquilla (darle las aspirinas a la altura del café, efecto más rápido) pero a ella le molestaban esas distancias verbales, esos vos tan joven y cómo puede ser que viajes así sola, en mitad de la sopa se había reído: la juventud, fósiles, fíjate, cadáveres vagando como en esa película de Romero.
C’était faire preuve d’une extraordinaire agilité d’esprit et sa rapidité de décision ainsi que son habileté à déchiffrer les horaires de chemins de fer ne laissèrent pas de m’impressionner, mais je découvris bientôt que Jolan Chang était une espèce d’abaque ambulant et que ses déplacements reposaient, de façon la plus stricte, sur les principes de Chuang Tzu (dans les écrits duquel le voyageur traverse l’espace, invisible et silencieux, sans soulever la moindre poussière).
Había pensado con mucha velocidad y me quedé intrigado por esa rapidez de decisión y por el conocimiento experto de los horarios que ponía de manifiesto (pronto iba a descubrir que Jolan Chang era una especie de ábaco caminante y que sus viajes se basaban estrictamente en los principios de Chang Tzu, en cuyo texto el viajero siempre debe pasar en forma invisible, sin que levante polvo su paso silencioso).
Tout semblait inévitable avant même d’être survenu, tout était d’une certaine façon irréel, faisait partie de la vie allégée que lui procurait sa condition d’étrangère, exonérée de la pesanteur de son propre pays, exaltée par l’ivresse sommaire de s’immerger dans une langue étrangère comme dans une atmosphère trop riche en oxygène, tellement dépouillée de souvenirs que tout y brillait paré de couleurs excessives. Avant d’écrire un seul mot sur la rutilante Smith Corona portative qui se trouvait toujours sur la table, dans la chambre de sa pension, elle avait déjà vécu comme si elle rêvait un roman, détail par détail : celui du voyage en Europe d’une héroïne à la Henry James, celle qu’elle s’était imaginé devenir en lisant ses romans à la bibliothèque publique, près d’une fenêtre par où entraient tous les bruits et toutes les voix de son quartier, même si elle cessait de les entendre, cris en yiddish, en russe et en italien des marchands ambulants, hennissements des chevaux, klaxons des voitures.
todo era de algún modo irreal, parte de la vida en suspenso que le regalaba su condición de extranjera, absuelta de la gravitación del propio país, enaltecida por la ebriedad parcial de sumergirse en una lengua extranjera, como en una atmósfera demasiado rica en oxígeno, tan limpia de memoria que todas las cosas brillaban en ella con colores excesivos.Antes de escribir una sola palabra en la reluciente Smith Corona portátil que estaba siempre sobre su mesa en el cuarto de la pensión ya había vivido como si soñara con todo detalle una novela: la del viaje europeo de una heroína de Henry James que era ella misma; quien ella había imaginado que sería leyendo esas novelas en la biblioteca pública, cerca de una ventana por la que entraban todos los ruidos y las voces de su barrio, aunque ella dejaba de oírlos, los gritos en yiddish y en ruso y en italiano de los vendedores callejeros, los relinchos de los caballos, las bocinas de los coches.
L’un était une architecture ambulante ;
Uno era arquitectura ambulante;
C’est un cadavre ambulant. »
Era un cadáver ambulante».
— C’est mon jardin ambulant.
—Es mi jardín ambulante.
Un photographe ambulant.
Un fotógrafo ambulante.
Je ne suis qu’un musicien ambulant.
No soy más que un artista ambulante.
– Le règlement ambulant.
–El reglamento ambulante.
La pinacothèque ambulante !
¡Una pinacoteca ambulante!
C’était un ordinateur ambulant.
Era un ordenador ambulante.
C'est de la dynamite ambulante.
Son bombas ambulantes.
tu es un cadavre ambulant.
eres un cadáver ambulante.
– Pas de transit pour qui que ce soit, marmonne le vendeur ambulant.
—Nadie puede viajar —murmura el vendedor.
Malheureusement, elle était à une heure de métro du centre-ville. Le métro ressemblait à un salon ambulant recouvert de peluche pourpre ;
Por desgracia, estaba a una hora del centro en metro, que era lo mismo que viajar en el primer vagón-salón de un tren forrado de felpa;
là où les trottoirs, couverts de neige ou non, sont plus larges que les grandes rues des villes où ils sont nés et où des gens parfaitement ordinaires peuvent attendre à l'arrêt, monter dans le tramway, donner une pièce au conducteur et aller partout où ils veulent, même si on n'a pas envie d'aller si loin parce que tout ce qu'on veut est sur place : l'église, la boutique, la fête, les femmes, les hommes, la boîte à lettres (mais pas de lycée), le marchand de meubles, le vendeur de journaux ambulant, les bistrots clandestins (mais pas de banque), les instituts de beauté, les coiffeurs, les bars à juke-box, les voitures à glace, les chiffonniers, les salles de billard, les marchés couverts, les vendeurs de la loterie, et tous les clubs, organisations, syndicats, sociétés, fraternités, sororités ou associations imaginables. Les ornières de ces services.
estar allí donde las aceras, cubiertas o no de nieve, son más anchas que las calles principales de los pueblos donde nacieron y las personas corrientes y molientes pueden esperar en la parada, subir al tranvía, pagarle los cinco centavos al hombre y viajar hasta el lugar que más les guste, aunque a nadie le apetezca demasiado ir a otros lugares porque todo cuanto se pueda desear está precisamente ahí: la iglesia, la tienda, la tertulia, las mujeres, los hombres, el buzón de correos (aunque no haya escuela superior), el almacén de muebles, los vendedores callejeros de periódicos, los bares y licorerías clandestinos (aunque no haya tampoco bancos), los salones de belleza, las barberías, los prostíbulos, los carros repartidores de hielo, los traperos, las oficinas de apuestas, los mercados de comestibles al aire libre, los vendedores de lotería y todos los clubes, organizaciones, grupos, órdenes, sindicatos, sociedades, hermandades masculinas, hermandades femeninas y asociaciones imaginables.
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