Traduction de "sursauter sur" à espagnol
Exemples de traduction
La réponse le fit sursauter.
La respuesta le hizo saltar.
(Sa voix me fit sursauter.
Su voz me hizo saltar.
Ses mots me firent sursauter.
Sus palabras me hicieron saltar.
La voix de la bibliothécaire le fait sursauter sur sa chaise.
La voz de la bibliotecaria lo hace saltar sobre su silla.
La détonation les fit sursauter. Le sol trembla.
El estallido les hizo saltar. El suelo tembló.
Un bruit violent m’a fait sursauter.
El sonido de la madera astillada me hizo saltar.
dans un dernier sursaut d'énergie, l'araignée bondit.
Con un violento esfuerzo final, la araña volvió a saltar.
Le fils de pute, il se vengeait, maintenant, parce qu’il l’avait vu sursauter.
El hijo de puta se la estaba devolviendo, porque lo había visto saltar.
Un léger coup frappé à sa porte le fit sursauter.
Unos golpecitos discretos en la puerta lo hicieron saltar de la silla.
Soudain une lueur apparut sur ma gauche, me faisant sursauter.
De repente apareció un brillo a mi izquierda que me hizo saltar.
La voix de la bibliothécaire le fait sursauter sur sa chaise.
La voz de la bibliotecaria lo hace saltar sobre su silla.
Un cri dans la nuit le fit sursauter.
Un grito en la oscuridad le hizo ponerse en pie de un salto.
Il met fin à la communication et le bruit des moteurs qui démarrent me fait sursauter.
Aprieta el botón de fin de llamada, y el ruido de los motores al ponerse en marcha me sobresalta.
Toran eut un vain sursaut, que le prince de la couronne ignora, et Bayta sentit un frisson la parcourir.
Toran intentó fútilmente ponerse en pie, pero el príncipe heredero le ignoró. Bayta sintió que un escalofrío recorría todo su cuerpo.
Un soudain cliquetis d’acier fit soudain sursauter Mathew, qui faillit bondir sur ses pieds, pensant qu’on venait les chercher.
Un repentino entrechocar de aceros hizo a Mateo ponerse casi en pie de un salto, pensando que ya iban a buscarlos.
Épuisée, elle se tendit pour retenir le spasme qui précède le sommeil, ce sursaut du corps qui se sent sombrer. Il ne vint pas.
Y como estaba cansada, tuvo que ponerse en tensión para vencer aquel espasmo, aquel ataque repentino que era como una caída, que le sobrevenía cada noche mucho antes de dormir, como un anuncio del sueño. Esa vez no llegó.
Elle fut réveillée en sursaut par quelqu’un qui lui criait dessus. Paniquée, elle tenta de se lever, mais ses jambes la trahissant, elle trébucha et retomba en se cognant l’épaule contre le mur.
Se despertó sobresaltada a causa de los gritos que alguien le dirigía. Intentó ponerse en pie a pesar del pánico. No obstante, sus piernas la traicionaron y tropezó y cayó. Se golpeó el hombro contra la pared.
Puis, cadeau de la longue période de réservoir de mon enveloppe et des images du corps d’Anémone pressé contre le verre dépoli de la biocabine, mon pénis a eu un sursaut et a commencé à gonfler de nouveau.
Luego, como consecuencia del período que mi funda había pasado en el tanque y las húmedas imágenes de Anémona apoyada contra el cristal de la biocabina, mi pene volvió a hincharse y a ponerse duro.
Les palmiers en furent pliés en deux, les pétales et les feuilles tombèrent en pluie de toutes parts, l’eau déborda des margelles émaillées des bassins. Usti, réveillé en sursaut, plongea dans une plate-bande.
Las altas palmeras se combaron casi hasta doblarse mientras el aire se llenaba de una lluvia de hojas y pétalos y el agua se desbordaba con violencia por las embaldosadas orillas de los estanques ornamentales. Bruscamente despertado, Usti se lanzó a ponerse a cubierto bajo un arriate de flores.
Mais Adam refusait de laisser la conversation s’égarer vers les excentricités du corps professoral de Dupont et il a donc vociféré : « L’AUTRE ASPECT DE LA CONFIANCE EN SOI… – Randy a sursauté, pris une mine penaude. Ayant eu gain de cause, Adam a baissé le ton. – … C’est de ne jamais faire de fleur à personne, ou en tout cas pas de manière ouverte. Le gars cool ne flatte pas, ne lèche pas, n’est pas impressionné par qui que ce soit – à moins qu’il s’agisse d’un sportif, peut-être.
Adam, sin embargo, no estaba dispuesto a dejar que el tema derivara hacia las excentricidades pedagógicas de Dupont, así que pisoteó a Randy a voz en cuello: —¡La otra cara de tener aplomo —Randy se quedó de una pieza— es no complacer nunca a la gente!… —Deshancado Randy, Adam bajó el tono— al menos de una manera obvia. El tío guay no halaga a nadie ni se muestra obsequioso ni impresionado con nadie… a menos que sea algún jugador de algo, quizá, quizás… Y no hay que entusiasmarse con nada a menos que tenga que ver con el deporte, el sexo o ponerse ciego.
Je sursaute, genre mon crâne heurte le plafond inexistant et je retombe sur pieds.
Me pega un susto de muerte, de esos que el esqueleto se te sale de la piel y baila una pequeña jiga antes de volver a meterse.
Il remit le portefeuille dans sa poche, puis réalisa avec un sursaut qu’il était en cuir naturel, pas en plastique.
Volvió a meterse la cartera en el bolsillo y notó con un sobresalto que no era de plástico sino de piel de becerro.
C’est tout à fait logique, au contraire, rétorque la voisine, de mauvaises relations vous laissent toujours un goût de ratage, on s’en veut de ce qu’on n’a pas fait, on en ressort rongé par la colère et la culpabilité mais privé de la possibilité de réparer quoi que ce soit, on ne peut plus rien, souligne-t-elle d’une voix menaçante, comme si elle avait été envoyée pour le mettre en garde, il sursaute devant l’index pointé vers lui, recule et se tourne vers sa voiture, toujours en équilibre au-dessus du ravin. Il faut que j’y aille, s’excuse-t-il, passez mon bonjour à Élishéva et espérons que nous nous reverrons dans de plus joyeuses circonstances, il regrette aussitôt cette formule toute faite d’autant qu’elle le reprend, on se reverra à la journée d’études, oui, oui, bien sûr, s’empresse-t-il de confirmer mais il n’est pas encore entré dans sa voiture que du précipice déboule sur eux une ombre noire qui grandit de plus en plus, langue pendante et souffle court, une ombre qui le pousse d’un bond pour s’installer avant lui à sa place, sur le siège du conducteur. Oh, il aime tellement rouler, ce chien, lui explique la voisine en s’esclaffant, allez, sors de là, gros bêta, tu ne vas nulle part.
Pero la vecina dictamina, suena lógico, de una mala relación sales con un sentimiento de frustración, te corroe el corazón pensar en todas esas cosas que no hiciste, sientes ira, culpa y ya no tienes posibilidad alguna de reparar nada, nada, subraya con una voz amenazante, como advirtiéndole. Abner se retrae ante aquel dedo acusador, retrocede y se dirige al automóvil que bordea el abismo. Debo irme, dice, envíale mis saludos a Elisheba, espero que nos veamos en ocasiones más alegres, agrega, y ella lo corrige, detallista: nos veremos en el simposio. Él asiente rápidamente, claro, por supuesto, pero antes de poder meterse en el vehículo se abalanza sobre ellos una gran sombra negra que emerge desde el valle, avanza pesadamente, por poco lo empuja al adelantársele para entrar al coche y sentarse en el asiento del conductor, ella ríe, qué perro este, cómo le gusta pasear, sal de ahí, tontín, no irás a ninguna parte. Rafael solía sacarlo de paseo a veces, en el coche o a pie, le encantaban los perros, fue él el que nos regaló a Casanova, ¿no es cierto?, le pregunta con voz aniñada al animal, que apoya sus patas sobre el volante y dibuja en sus fauces una sonrisa babeante.
La première fois que j’ai baisé, pourquoi pas, oui, pas de problème, sa petite culotte… La première chose qui me revient, c’est elle en train de faire glisser sa culotte sur ses reins… le regard par en dessous qu’elle me jetait à travers ses cheveux lui tombant devant le visage, j’étais hypnotisé, je n’avais jamais vu une femme se déshabiller… sauf dans les films, bien entendu… mais à l’époque il était exclu de voir à l’écran une femme retirer vraiment sa culotte, d’ailleurs je ne suis pas sûr d’avoir jamais… je veux dire qu’on voit par exemple le slip projeté à travers la chambre ou bien gisant sur le tapis, en gros plan, mais pas la femme l’enlever vraiment… c’est peut-être une action trop ordinaire, trop gauche, difficile à faire de façon gracieuse ou érotique, se baisser, se courber, se tenir en équilibre sur une jambe puis sur l’autre… Les strip-teaseuses ont toujours un système de bouton-pression ou de velcro pour pouvoir envoyer ça promener d’un seul geste… hé hé, la fille dans cette boîte à Soho comment ça s’appelait déjà qui avait retiré son string avant son soutien-gorge… elle avait fait ça sans y penser, elle pensait à autre chose, elle rêvassait, c’était le milieu de l’après-midi, une heure creuse, guère de clients, Dieu sait ce que je fichais là, peut-être tuer le temps entre deux rendez-vous, ou bien un peu beurré, allumé en sortant d’un déjeuner d’affaires, je ne me souviens plus, toujours est-il qu’on était là avec une demi-douzaine de branleurs solitaires affalés sur nos fauteuils dans la pénombre violacée, à mater cette fille sous le faisceau d’un projecteur qui exécutait son numéro comme une somnambule, qui épluchait son costume morceau par morceau tout en bougeant les pieds et en tortillant des hanches au rythme d’une musique disco, jusqu’à ce qu’elle n’ait plus sur elle que son soutien-gorge et son string… après quoi, distraitement, elle a retiré le string avant le soutif, hé hé… et nous les mecs dans la salle on a tous sursauté comme sous l’effet d’une petite décharge électrique… le visage de la fille a exprimé un embarras extrême, elle a marqué un temps d’arrêt dans sa danse et perdu le tempo en se rendant compte de ce qu’elle venait de faire, elle a rougi, réellement rougi, et elle a marmonné « Excusez-moi », les premiers mots qu’elle prononçait sur cette estrade ou sur toute autre, sans doute, une strip-teaseuse ne parle jamais, puis elle a remis son string en place et poursuivi son numéro de robot… Oui, de robot, si on arrivait à loger le hardware dans une enveloppe convaincante de chair synthétique il serait relativement facile de fabriquer un robot effeuilleuse, quoi, ce serait si simple à programmer… Mais pendant un instant, rien qu’un instant, elle avait eu l’air d’un être humain, imprévisible, faillible, vulnérable… quelqu’un a lâché un rire dans la pénombre, une espèce d’aboiement qui a entraîné des gloussements en chaîne parmi les rares spectateurs, et l’ambiance d’érotisme, d’onanisme morose a été rompue… Car le protocole du striptease est strict, il impose un certain ordre dans le dévoilement des parties du corps… en portant atteinte au cadre établi de la scène, tout écart la fera paraître naturelle… comme un simple déshabillage chez soi pour se mettre au lit… chacun se déshabille à sa façon, dans un ordre qui lui est propre, et il lui arrive d’en changer si ça l’arrange… Carrie, par exemple, elle enlève parfois son slip avant son soutien-gorge et elle se balade comme ça dans la chambre si elle s’apprête à se servir du bidet, enfin c’est ce qu’elle faisait avant, maintenant c’est rare qu’elle se promène à poil, elle ne tient pas à exhiber son embonpoint… Martha avait retiré sa culotte en dernier, mais c’était une sorte de strip-tease qu’elle pratiquait devant moi, sans me quitter du regard, jouissant du pouvoir qu’elle exerçait… j’étais assis sur le lit avec une érection grosse comme l’Everest sous mon slip, les yeux écarquillés, le souffle coupé, la bouche sèche, la gorge nouée… Je guettais les bruits du dehors, même si j’avais vu Tom Beard se tirer ce matin-là au volant de sa vieille camionnette avec Sol occupant la place du passager et la remorque remplie de brebis guettées par le retour d’âge qu’il allait fourguer à la foire… oui, même si je savais qu’il ne rentrerait que tard dans la soirée, je craignais quand même qu’il arrive quelque chose, une panne, un accident, à cause de quoi il reviendrait inopinément… « T’inquiète pas, chéri, avait-elle dit en m’entraînant par la main hors de la cuisine vers l’escalier, on entend venir les voitures à des kilomètres, et les grincements de cette vieille grille réveilleraient un mort… » Elle m’a emmené dans sa chambre où elle a fermé les rideaux mais ça n’a guère obscurci la chambre, le soleil de l’après-midi luisait à travers la mince cotonnade et répandait une lumière rosée sur Martha, telle une strip-teaseuse en scène… et elle s’est mise à se dénuder, à ôter ses vêtements un par un en les pliant soigneusement sur le dossier du fauteuil en bois… « Eh ben alors qu’est-ce que t’attends ?
Mi primer polvo, qué tal eso, sí, no hay problema, sus bragas… Lo primero que me vuelve es ella deslizando las bragas por sus caderas… mirándome con picardía desde debajo del pelo que le tapaba la cara, yo estaba paralizado, nunca había visto a una mujer desnudarse… salvo en las películas, por supuesto… pero en aquellos tiempos nunca veías realmente a una mujer quitándose las bragas en la pantalla, ahora que lo pienso no sé seguro si alguna vez… Me refiero a que sí las veías flotando por el aire o un primer plano de unas bragas en el suelo, pero no a la mujer real… Quizás sea un acto demasiado torpe o feo, difícil de hacer con gracia o con erotismo, encorvarse y agacharse y sostenerse sobre una sola pierna mientras la otra… Las bailarinas de striptease, por ejemplo, siempre tienen algún tipo de broche o de velero que les permite deshacerse de ellas con un solo movimiento… ah, aquella chica en aquel local de Soho que se quitó el tanga antes que el sujetador… no pensaba en nada, o mejor dicho estaba pensando en otra cosa que en su destape, soñando despierta, era a media tarde, una hora muerta, y sólo había unos cuantos clientes en el local, a saber qué diablos hacía yo allí, entre una reunión y otra, quizás un poco bebido y cachondo después de un almuerzo de trabajo, quizás, no me acuerdo, pero allí estaba yo con media docena de pajeros solitarios, desplomados en nuestros asientos en la penumbra tintada de violeta contemplando a aquella chica que ejecutaba su rutina como una sonámbula bajo el cono de un foco, que se despojaba de prendas y telas de su vestimenta mientras arrastraba los pies y cimbreaba las caderas al compás de música disco grabada, hasta quedarse en sujetador y tanga, ah… y nosotros los hombres del público nos incorporamos de un brinco como si nos hubieran aplicado una suave descarga eléctrica… una expresión de vergüenza intensa se pintó en la cara de la chica, que dio un traspié en su baile y perdió el ritmo en cuanto se percató de lo que había hecho y se ruborizó, se sonrojó de verdad, y murmuró “Perdón”, la primera vez que hablaba en aquel escenario o apuesto que en cualquier otro, las strippers nunca hablan, y luego se puso otra vez el tanga y continuó su ritual robótico… Robótico, sí, si se pudieras colocar el hardware en una envoltura convincente de carne sintética sería relativamente fácil fabricar un robot que hiciera striptease, quiero decir que el programa sería muy sencillo… Pero por un momento, sólo durante un momento, ella pareció un ser humano real, imprevisible, falible, vulnerable… alguien se rió en la oscuridad, una breve carcajada parecida a un ladrido, que provocó otras pocas risotadas en el público disperso, y se rompió el ambiente de sombrío erotismo onanista… Porque el protocolo del striptease es estricto, hay que observar cierto orden en la exposición de miembros… cualquier desviación quebrará el marco del suceso, hará que parezca natural… como desnudarse para meterse en la cama en casa… todo el mundo tiene su propia manera de hacer eso, su propio orden, y a veces lo cambias si te conviene… Carrie, por ejemplo, algunas veces se quita las bragas antes que el sujetador, y deambula por el dormitorio así, como si fuese a utilizar el bidé, al menos solía hacerlo, ya no se pasea desnuda muchas veces, se siente cohibida por su silueta… Martha se quitó las bragas al final, pero aquello fue una especie de destape, me miraba todo el rato, disfrutando de su poder sobre mí… Yo estaba sentado en la cama con una erección que producía un pico como el Everest en mis calzoncillos, con los ojos abiertos como platos, sin respirar apenas y con la boca seca pero incapaz de tragar… los oídos me escocían por los sonidos que venían de fuera, aunque hubiera visto a Torn Beard salir esa mañana en su vieja camioneta con Sol en el asiento del pasajero y un remolque lleno de ovejas que ya habían rebasado su época de esplendor y de las que iba a deshacerse en el mercado, cómo le llaman a eso… “selección de edad”, sí, aunque yo supiera que iba a estar ausente hasta la noche, seguía temiendo que ocurriese algo, una avería, por ejemplo, o un accidente, y que volviera a casa inesperadamente… “No te preocupes, amor”, dijo ella, mientras me llevaba de la mano desde la cocina a la escalera. “A un coche se le oye desde kilómetros de distancia, y esa cafetera chirría como un demonio…”. Me llevó arriba a su dormitorio y corrió las cortinas, pero apenas oscurecieron el cuarto, el sol de la tarde que brillaba a través de la fina tela bañaba a Martha en una suave luz rosa, como a una stripper en un escenario… Y ella empezó a desvestirse, despojándose de cada prenda y doblándola con cuidado en el respaldo de una silla windsor… ¿A qué estás esperando?», me dijo, y yo la miré boquiabierto como un idiota. «No seas tímido, no será la primera vez que te veo sin ropa», dijo ella, refiriéndose a la tarde en que me vio nadando en el arroyo con los perros… Un día sofocante, acabábamos de conducir el rebaño a otro pasto, las ovejas pacían ávidamente en la suculenta hierba fresca.
Elle sursaute : elle n’a pas d’autre choix que de passer la première, d’avancer lentement vers la grille ouverte, comme vers la bouche d’un monstre dévorant.
Ella se estremece. No tiene otra opción más que meter primera, ir despacio hacia el cancel, ya abierto, como si se tratara de la boca de un monstruo devorador.
Il tâchait de ne pas mettre les pieds dans les flaques, il contournait soigneusement les tas de neige damée et sale qui subsistaient partout, et tout lui faisait peur : le battement des ailes d’un oiseau sur une branche le faisait sursauter.
Procuraba no meter los zapatos en los charcos, rodeaba con cuidado los montones de nieve apelmazada y sucia que persistían por todas partes y todo le daba miedo: el aleteo de un pájaro en una rama le asustaba muchísimo.
Elle en profita pour jeter un rapide coup d’œil à son reflet dans la porte vitrée à présent assombrie, coup d’œil qui suscita en elle un bref sursaut de dégoût, sur quoi elle quitta la position de profil pour s’examiner bien en face, les joues rentrées.
Ella aprovechó la oportunidad para echar un breve vistazo a su reflejo en el ahora oscuro cristal de la puerta vidriera. Esto le provocó un breve espasmo de repugnancia hacia sí misma antes de cambiar su posición de perfil por otra de frente y meter hacia dentro los carrillos.
C’était une nuit à faire peur, vraiment épouvantable. Comme un coup de tonnerre plus déchaîné que les autres secouait les vitres des fenêtres, Gerd Hoffer, pas encore dix ans, se réveilla en sursaut en s’apercevant par la même occasion qu’irrésistiblement, il fuyait. C’était une vieille histoire, cette fuite de pipi : les médecins avaient diagnostiqué que le minot souffrait, depuis sa naissance, d’une faiblesse de la continence, c’est-à-dire des reins, et qu’en conséquence, il était naturel qu’il se libérât au lit. Mais son père, l’ingénieur des mines Fridolin Hoffer, n’avait jamais voulu l’entendre de cette oreille, il ne se pardonnait pas d’avoir mis au monde un fils allemand manqué, et il soutenait donc qu’il s’agissait d’administrer non pas des soins, mais une éducation kantienne de la volonté, c’est pourquoi chaque matin que Dieu envoyait sur la terre, il se lançait dans une inspection du lit filial, soulevant couverture ou drap suivant la saison, et, quand la main inquisitoriale qu’il avait glissée, aussitôt, immanquablement, rencontrait un marais, il réagissait par une mornifle au gamin dont la joue gonflait à vue d’œil comme une fougassette sous l’effet de la levure de bière.
Era una noche espantosa, verdaderamente pavorosa. Gerd Hoffer, que aún no había cumplido los diez años, ante un trueno que retumbó más que los otros e hizo temblar los cristales de las ventanas, se despertó con un salto, percatándose, en el mismo momento, de que irresistiblemente se le escapaba. Era una vieja historia, ésta de la escapadita de pipí: los médicos habían diagnosticado que, desde su nacimiento, el chiquillo era lento de encaje, es decir, de riñones. Por tanto, era natural que se liberase en la cama. Pero el padre, el ingeniero de minas Fridolin Hoffer, que de eso no quería ni oír hablar, no se daba paz por haber traído al mundo un hijo alemán de saldo y, por tanto, sostenía que no era cuestión de tratamientos sino de kantiana educación de la voluntad, por lo que cada mañana que Dios mandaba a la tierra se ponía a inspeccionar, levantando la manta o la sábana, según la estación, la cama de su hijo y, tras meter la mano inquisitorial, ante la súbita e infaltable mojadura reaccionaba con una poderosa bofetada al niño, cuya mejilla golpeada empezaba a hincharse a simple vista como un bizcocho por obra de la levadura de cerveza.
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